Colombes

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Colombes
Carte de localisation de Colombes
Pays France France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Canton Chef-lieu de 3 cantons
Code Insee 92025
Code postal 92700
Maire
Mandat en cours
Philippe Sarre (PS)
2008-2014
Intercommunalité aucune
Latitude
Longitude
48° 55′ 25″ Nord
         2° 15′ 08″ Est
/ 48.9236111111, 2.25222222222
Altitude 23 m (mini) – 44 m (maxi)
Superficie 7,81 km²
Population sans
doubles comptes
83 100 hab.
(1999)
Densité 10 640 hab./km²
Colombes sur le plan de Paris et proche banlieue

Colombes est une ville francilienne située dans la banlieue nord-ouest de Paris. Avec ses 83 100 habitants, Colombes est la septième commune d'Île-de-France et la troisième ville des Hauts-de-Seine. Plus grande cité pavillonnaire de la petite couronne parisienne, elle demeure néanmoins un territoire diversifié.

Sommaire

[modifier] Histoire

  • Les historiens pensent que la première agglomération est contemporaine de Paris, Des fouilles qui ont eu lieu vers 1828, ont permis de retrouver des outils en silex et des haches de pierre taillée. Plusieurs auteurs soutiennent qu’une cité et un atrium gallo-romains existaient dès le VIe siècle à l’emplacement de l’Ilot 14, Des druidesses se seraient alors installées dans les îles de la Seine.
  • 1160 : La mention la plus ancienne témoignant de l’existence de Colombes date de 1160. C’est une bulle du pape Alexandre III confirmant ces biens que possédait la léproserie de Saint-Lazare où il est question de la dîme de Colombes.
  • Présence d'un ancien cimetière mérovingien sous la vieille église (en centre-ville)
  • Dépendance de l' abbaye de Saint-Denis dès le XIIe siècle. Le bourg se construit alors autour de l'artère y menant (l'actuelle rue Saint-Denis).
  • Implantation de grands domaines autour du bourg à l'époque de la construction du pont de Neuilly.
  • La reine Henriette, fille d'Henri IV, épouse du roi d'Angleterre, Charles Ier Stuart, a vécu à Colombes de 1657 jusqu'à sa mort en 1669. Son neveu Louis XIV venait la consulter pour les affaires concernant l'Angleterre. Une rue et une école élémentaire de la commune ont été nommées en sa mémoire.
  • Louis XVI se serait intéressé au "parc du Moulin Joly" (en place de l'actuelle Île Marante) qui abritait des jardins anglo-chinois aménagés par le receveur des finances, graveur et littérateur Claude-Henri Watelet.
  • La construction de ponts (pont de Bezons en 1811 et pont d'Argenteuil en 1832) sur la Seine coulant en contrebas du bourg ainsi que la construction de deux gares ferroviaires reliées à la gare Saint-Lazare (gare de Colombes en 1854 et gare de Bois-Colombes en 1857) permettent une extension et une plus grande fréquentation de la commune.
  • Le port des canotiers du Petit Gennevilliers attire les impressionnistes de Marly (Monet, Caillebotte, Sisley). Par ailleurs le peintre et graveurThéodule Ribot et l'artiste peintre Gustave Bienvêtu ont participé à l'essor de la ville.
  • L'île Marante, qui abrite aujourd’hui le parc Lagravère, était un lieu de canotage et de promenade avant 1870, Guy de Maupassant en parle dans l'une de ses nouvelles : Deux amis.
  • Jean-Baptiste Clément s'est inspiré des nombreux cerisiers de Colombes pour composer le temps des cerises en souvenir de l'époque où il habitait cette ville. Il existe une rue des Cerisiers, une école élémentaire et un collège Jean-Baptiste Clément, ainsi qu'une fête annuelle des cerises à Colombes.
  • La commune cède des terrains à Bois-Colombes en 1896 et à La Garenne-Colombes en 1910
  • En 1907, construction sur l'emplacement d'un ancien hippodrome datant de 1885, du premier stade de France (le stade Yves du Manoir) où se déroulent les JO de 1924. Le stade abrite les plus importantes rencontres nationales de rugby et de football (y compris la coupe du monde de football de 1938) jusqu'à la rénovation du Parc des Princes en 1970.
  • D'importants ateliers industriels s'installent à partir du début du siècle dernier sur le territoire de la commune (pneus BFGoodrich (Kléber), avions Félix Amiot, téléphones Ericsson, moteurs Gnome et Rhône, parfums Guerlain, Sauzé et Dorin). Pour héberger la main-d'œuvre nécessaire, de grands ensembles immobiliers à bon marché mais de bonne facture sont construits dans l'entre-deux guerre.
  • Suite à la maîtrise des crues de la Seine par un système de bassins de retenue en amont de Paris les terrains proches des berges ont accueilli d'importantes infrastructures telles que l’hôpital Louis-Mourier et le passage de l’autoroute A86 au courant des années 1970. L'Île Marante a alors été redessinée pour y créer le parc départemental Pierre Lagravère[1].

[modifier] Population

La structure démographique de Colombes est marquée, comme de nombreuses villes de banlieues, par un héritage industriel. Si la ville n'a cessé de s'accroître au rythme de l'économie, "la population n'a pas toujours suivie l'économie". Symptomatique de la "crise post-industrielle", le peuplement des cités de bords de Seine, marqué par le chômage, le faible niveau de scolarité et cumulant toutes sortes de difficultés. "Spécialisés" dans les emplois industriels, ces populations ont été les premières touchées par la crise lors de la fermeture ou le départ des usines, alors que les "promus" des 30 glorieuses poursuivaient leur trajectoire de vie ailleurs, parfois dans la commune même. Les grands ensembles accueillent aujourd'hui les populations les plus en difficulté.

Le nombre d'habitants à Colombes était d'environ 83000 personnes en 2004. Le nombre moyen d'individu par ménages est de 2,53.

Les communes d'origine des Colombiens :

- Colombes
- Asnières-sur-Seine
- Courbevoie
- La Garenne-Colombes
- Nanterre

Les lieux de travail des Colombiens:

- Colombes
- Nanterre (La Défense)
- Courbevoie (La Défense)
- Paris 8e
- Paris 17e

Dans le territoire colombien, les inégalités socio-économiques sont fortes : chaque mois, il reste à disposition du ménage le plus pauvre de Colombes 280 euros par individu impôts exclus, ce chiffre s'élève à 4000 euros pour le ménage le plus riche. La population de la ville reste jeune, la tranche d'âge la plus représentée étant celle des 39-59 ans, puis celle des 29-59 ans. Le nombre total d'emploi salarié privé à Colombes à baissé entre 2002 et 2004.


Les politiques de renouvellement du peuplement sont aujourd'hui au cœur de l'action municipale. Il s'agit d'attirer des ménages solvables afin de tirer de nouvelles sources de revenus pour alimenter le budget de la ville. Une telle politique engagerait la ville vers des « investissements » indispensables : crèches, écoles, équipements publics... Cette nouvelle politique de peuplement s'accorde avec une politique en matière d'urbanisme, faisant la part belle à la densification du bâti.

[modifier] Héraldique

Blason de Colombes
Blason de Colombes
  • Blasonnement : D'azur au colombier d'or, ouvert, ajouré et maçonné de sable, posé sur un mur crénelé de treize pièces d'argent maçonné de sable et mouvant de la pointe, accosté de deux colombes essorantes et affrontées aussi d'argent.
  • Devise : «Dulcis ascendo pertinax volo» : Je vole avec persévérance et monte avec douceur.

En savoir plus sur les armoiries de Colombes : COLOMBES : HISTORIQUE-LES ARMES

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[2] et INSEE[3])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 863 2 430 1 627 1 584 1 643 1 557 1 548 1 658 1 649
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 906 2 805 3 678 5 133 6 640 9 877 14 254 18 918 16 798
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
23 061 29 143 22 862 32 271 42 590 57 313 61 944 61 047 67 909
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
76 918 80 357 83 390 78 777 78 513 76 757 - - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

[modifier] Administration

Colombes fut amputée de certains quartiers pour former les communes de Bois-Colombes en 1896 et La Garenne-Colombes en 1910. Elle est jumelée à la ville allemande de Frankenhtal.

La ville est divisée en trois cantons :

…et en deux circonscriptions législatives, circonscriptions partagées avec les villes voisines :

  • 1re circonscription des Hauts-de-Seine (canton Colombes-Nord-Est; canton Colombes-Nord-Ouest; Gennevilliers; Villeneuve-la-Garenne). Député : Roland Muzeau (Parti communiste français)
  • 2e circonscription des Hauts-de-Seine (canton Colombes Sud; Asnières-sur-Seine). Député : Manuel Aeschlimann (Union pour un mouvement populaire)

Le maire actuel de Colombes est Philippe Sarre (PS), élu en mars 2008 à la tête d'une liste d'union rassemblant le Parti Socialiste, le Parti Communiste Français, Les Verts et le Parti Radical de Gauche. La liste obtiendra 53,60% des suffrages contre 46,40% pour la liste conduite par Nicole Gouéta, maire sortante élue en 2001 sous l'étiquette RPF, rassemblant l'UMP et le Modem au 2nd tour (le Modem rassemblera 8,60% des suffrages au 1er tour).

La ville de Colombes était équipée dans l'ensemble de ses bureaux de votes de machines de vote électronique (Nedap) lors des élections de 2007.[4].

La dernière révision du Plan local d’urbanisme date de l'année 2003. La partie nord de Colombes, inondée lors de la crue centennale au début du XXe siècle, est classée au Plan de Prévention des Risques (PPR). Les Opérations Programmées d'Amélioration de l'Habitat (OPAH) tendent à équiper les derniers logements du sud de la commune encore peu équipés en équipements « de confort » (douches, wc,…). 3 quartiers de la commune bénéficient des aides de l'ANRU en matière de renouvellement urbain. Il s'agit des quartiers "Grèves", "Fossés-Jean", et "Europe-Ile-Marante". 2 bâtiments sont classés au Patrimoine historique; l'usine d'épuration des eaux et le clocher de la vieille église. La ville de Colombes bénéficie de la délégation de compétences relative à l'attribution de logements du contingent préfectoral.

Un conseil communal des jeunes se réunit régulièrement et propose de nouvelles idées et projets pour la ville.

La politique menée en matière d'urbanisme depuis 2002 par la majorité municipale à Colombes consiste pour beaucoup en la gestion de stock foncier. La préemption consiste en un outil destiné à une revente quasi immédiate du foncier aux promoteurs immobiliers par la mairie. Les projets entamés depuis 2006 commencent à présenter une certaine réflexion en matière d'urbanisme, et peuvent se voir attribuer le terme de "projet urbain".

[modifier] Sport

La ville possède un stade, le stade olympique Yves-du-Manoir, inauguré en 1907, qui accueillit les Jeux olympiques de 1924 (voir le film Les Chariots de feu), la Coupe du monde de football en 1938, et de nombreuses autres rencontres sportives internationales. Des titres de presses datant de 1923, à propos du choix de Colombes comme site olympique, font état de la compétition Paris-Banlieue qui existait alors: "Verra-t-on la ville de Paris battue par sa banlieue?" ou encore "Aujourd'hui doit se disputer dans la salle du conseil municipal à l'Hotel de Ville la match Colombes contre Paris". Le stade Yves du Manoir perdit de son importance après la rénovation d'un autre grand stade de la région parisienne, le parc des Princes, dans les années 1970. Il put accueillir jusqu'à 60 000 spectateurs, mais sa capacité a été largement réduite, les tribunes les plus vétustes ayant été détruites.

Colombes fut candidate avec Paris à l'organisation des jeux Olympiques d'été de 2012. La ville aurait accueilli les épreuves de base-ball et softball sur le site de l'actuel stade Yves-du-Manoir (sports qui, de toute manière, ne feront finalement pas partie de ceux qui se dérouleront aux JO de 2012…)[5].

[modifier] Urbanisme

La rue des Vallées.
La rue des Vallées.

Colombes est la première commune pavillonnaire de la petite couronne parisienne. L'arrivée des voies ferrées et l'essor industriel constituent deux des étapes clés dans l'urbanisation de la ville. Le développement des aires d'attraction de La Défense et de Paris depuis la fin des années 1990 tendent à placer Colombes dans une nouvelle dynamique sur laquelle les politiques d'urbanisme se sont orientées, à l'image de l'immeuble du boulevard Charles-de-Gaulle Sud qui accueille le siège sociale de l'entreprise Oracle depuis 2001. Colombes est l'un des sites de production de la Snecma. Elle a accueilli par le passé les usines Guerlain, et Kleber. Elle abrite également certains sites d'Alcatel, de Thales communication et depuis quelques années le siège d'Oracle France. Le virage tertiaire entamé sous la mandature de Dominique Frelaut, maire de 1965 à 2001, puis repris par Nicole Gouéta, s'inscrit dans les dynamiques régionales consécutives à l'expansion du pôle d'activité de La Défense dans les années 1990 (1er pôle d'emploi français).

Bénéficiant au long du XXe siècle de la vitalité des industries, le nord de Colombes, intégré dans "la Boucle d'Or" des Hauts-de-Seine, s'affronte aujourd'hui à la crise industrielle. Conséquence, les taux de chômage sont beaucoup plus élevés dans les grands ensembles de bords de Seine, à l'image du mauvais niveau des indicateurs socio-économiques plus généralement. Les écarts de revenus au sein de la commune sont importants : alors qu'une unité de consommation du ménage le plus riche du quartier des Vallées touche jusqu'à 4000 euros par mois, l'unité de consommation du ménage le plus modeste habitant le nord du boulevard Charles-de-Gaulle ne bénéficiera que de 280 euros par mois.

De nombreux projets sont en cours : sous l'impulsion de la région Île-de-France, le prolongement de la ligne de tramway T2 ((T) 2) entre La Défense et Bezons, devrait passer par Colombes en empruntant le boulevard Charles-de-Gaulle. La prévision de l'arrivée du tramway a provoqué, outre les retards successifs, le lancement du renouvellement des rives du boulevard Charles-de-Gaulle. La construction d'immeubles de bureaux a été impulsée en ce sens à partir des années 1990. Achevé en 2001, un immeuble du boulevard Charles-de-Gaulle accueille le siège social de l'entreprise Oracle. Par synergie, le nouvel immeuble La Défense Ouest a été inauguré en 2007. Outre ces aménagements, le "périmètre d'étude Charles de Gaulle" prévoit la préemption de pavillons à l'intérieur des espaces pavillonnaires de l'ouest du boulevard Charles-de-Gaulle. Source de rejet des habitants, l'érosion du tissu pavillonnaire à l'ouest de Colombes a provoqué la création d'une association de quartier de défense des habitants.

La politique foncière menée depuis le tournant politique de 2001 provoque de nombreux débats. L'acteur promoteur immobilier a acquis une place centrale dans la fabrique de la ville, et les compétences d'urbanisme dont disposent la ville participent à cette rupture libérale dans la gestion du stock foncier municipale (modifications du P.O.S, droit de préemption). La concession d'un programme de logements situé Pont de la Puce en 2001 à un promoteur immobilier, originellement prévu pour accueillir des logements étudiants, ou encore l'élargissement du périmètre d'étude "Charles-de-Gaulle/Colbert" entre 2001 et 2006, marquent une nouvelle politique municipale en matière d'urbanisme.

Trois projets financés par l'ANRU pourraient entraîner dans les prochaines années la réhabilitation de deux grands ensembles situés en bord de Seine (Les Grèves et le quartier Fossés-Jean), ainsi que la destruction d'un autres grand ensemble d'habitat collectif, Europe-Ile-Marante. Il existe des tensions autour de ces projets. Le rapport numéro 456 du Sénat coécrit par Roger Karoutchi fait état de lacunes en matière de concertation et de mauvais cours des relogements [6]. L'Etat a également reproché à la ville de Colombes ses lenteurs et ses difficultés à mener les projets ANRU.

[modifier] Équipements

[modifier] Sports et loisirs

  • Stade Olympique Yves-du-Manoir
  • Parc départemental Lagravère
  • Patinoire olympique
  • Piscine olympique
  • 13 salles omnisports
  • 3 bibliothèques et 2 discothèques municipales
  • Maison des Jeunes et de la Culture-théâtre : sont notamment venus jouer ici Jacques Brel, Renaud,Léo Ferré…[7]
  • Cinéma "Les 4 clubs"
  • Divers équipements (Roller Parc, tennis, salle d'arme, dojo…)
  • Salle des fêtes et théâtre polyvalents
  • Conservatoire de musique et de danse, auditorium

[modifier] Éducation

  • 7 crêches municipales
  • 20 écoles maternelles
  • 18 écoles élémentaires
  • 5 collèges

Un nouveau collège Robert Paparemborde sera construit en septembre 2008, au croisement des rues Moslard et Gros Grès,sur les anciens ateliers municipaux, sur le modèle des "collèges 500".

  • 3 lycées généraux et professionnels
    • Lycée Guy de Maupassant (anciennement lycée Robert-Schuman) : Le lycée Guy de Maupassant de Colombes est en convention avec l'institut d'Etudes Politiques de Paris « Science Po »[8].
    • Lycée professionnel Valmy
    • Lycée polyvalent Claude-Garamont (formation aux métiers de l'édition, imprimerie, et arts graphiques)
    • Institution_Jeanne_d'arc_de_Colombes (privé)
  • 2 établissements d'enseignements spécialisés

[modifier] Transports

L'extrémité sud de la gare de Colombes.
L'extrémité sud de la gare de Colombes.

Perspectives sous l'impulsion du Conseil régional d'Île-de-France, deux lignes de tramway devraient traverser la ville. Début des travaux prévu à partir de l'année 2008. La fin des travaux est prévue pour l'année 2011.

[modifier] Divers

[modifier] Personnalités de la ville

Ils vivent, ont vécu ou sont nés à Colombes.

[modifier] Culture

  • L'acteur Michel Roux est né à Colombes en 1929 et a été enterré, après son décès, au cimetière communal en 2007.
  • L'acteur de théâtre Patrick Préjean est colombien.
  • Le présentateur de télévision Philippe Dana est colombien.
  • Le présentateur de télévision Alexandre Debanne vit également à Colombes.
  • Le groupe Trust, Nanterrois, a souvent répété et joué à Colombes.
  • Le groupe Triumviro a été créé, a souvent répété et a donné de nombreux concerts à Colombes.
  • Le chanteur Daniel Balavoine a vécu à Colombes.
  • Son ex voisin est le réalisateur et photographe Robert Dangas.
  • Le dessinateur Philippe Druillet
  • La chanteuse du groupe Il était une fois
  • Clémentine Célarié.
  • Le présentateur Philippe Risoli a fait sa scolarité au Lycée Guy de Maupassant (ancien Robert Schuman).
  • Le rappeur Amara est originaire de Colombes.
  • Mohammed le participant à la 5e saison de Koh Lanta est colombien.
  • Le journaliste Nordine Mohamedi (Canal+, France 3) a vécu 18 ans à Colombes.
  • Martine Storti, journaliste et écrivaine est originaire de Colombes.
  • Victorine Meurent, la modèle la plus fréquemment utilisée par le peintre Édouard Manet (notamment dans Olympia) a vécu à Colombes.
  • François-Eric Gendron, que l'on aperçoit entre autre dans la série "Avocats et associés" pour France 2
  • Adeline Blondieau, ex Adeline Halliday

[modifier] Politique

Le 16 mars 2008 Philippe Sarre (PS) est élu à la mairie avec 53,60% des suffrages[9].

(par ordre alphabétique)

  • Maurice Chavany (PRS), maire de Colombes, conseiller général
  • Dominique Frelaut (PCF), maire honoraire de Colombes
  • Michèle Fritsch (PCF), conseillère municipale, conseillère générale des Hauts-de-Seine
  • Nicole Gouéta (UMP-RPF), conseillère municipale, conseillère générale des Hauts-de-Seine
  • Maurice Lobry (PS), conseiller régional (président de la Commission Environnement), conseiller municipal.
  • Roland Muzeau (PCF), député
  • Dominique Frager (Verts), maire adjoint
  • Rama Yade (UMP), conseillère municipale, secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée des affaires étrangères et des droits de l'Homme

[modifier] Sport

  • André Chéron, joueur d'échecs, champion de France, est né à Colombes.
  • Philippe Candeloro s'est beaucoup entraîné à la patinoire de Colombes, ainsi que la patineuse Surya Bonaly.
  • François Faber, vainqueur du Tour de France 1909, a vécu à Colombes et était surnommé le geant de Colombes[10].
  • Stéphane Porato, gardien de but professionel, à notamment joué à l'AS Monaco, est né à Colombes.
  • Brahim Hemdani, Joueur de football professionel, à notamment joué à AS Cannes, Strasbourg,Marseille et maintenant Glasgow Rangers, Brahim est né à Colombes.
  • Zoumana Camara, Défenseur du Paris Saint Germain est né à Colombes.
  • Mickaël Ciani, Défenseur du FC Lorient est né a Colombes

[modifier] Social

  • Le président du CNPF au début des années 1970, M. Huvelin, était directeur de Kléber Colombes...


[modifier] Annexes

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Colombes.

[modifier] Bibliographie

Plan d'occupation des Sols (POS) de Colombes - date de révision inconnue

Formation économique, sociale et politique d'une banlieue: Colombes de 1830 à 1930. Thèse universitaire de Matéo Poletti écrite sous la direction de Francis Demier; Université Paris 10 - Nanterre.

Colombes Historique, (1984), Matéo Poletti, MJC Théâtre de Colombes.

Colombes à travers les âges, Léon Quénéhen.

Colombes, Daniel Legros.

La Guerre de 1870 et la commune. Vie quotidienne à Colombes, Christian Lebrument.

Colombes - La Garenne Colombes, (2007), Jean-Marc Daudans, collection Mémoire en images.

Regards d'hier et d'aujourd'hui sur Colombes (2007), publication de la mairie de Colombes.

Mémoire universitaire sur les interventions en faveur de la réhabilitation-rénovation de deux ilôs sensibles: Petit Nanterre et Colombes (1986)

Mémoire universitaire sur la presse municipale de Colombes et l'Urbanisme (1955-2006)

Mémoire universitaire sur le relogement lors de la rénovation de la cité Ile-Marante dans la perspective de la mixité sociale (2004-2006).

Mémoire universitaire sur les nouvelles mixités emploi/résidences en milieu urbain dense (1998).

Mémoire universitaire sur la communauté algérienne à Colombes.

"Logement insalubre, l'urgence d'une mobilisation", Gazette des communes (2004).

"Saturnisme, l'importance du travail en réseau", Gazette des communes (2006).

"Plan vert" (1996), Ville de Colombes, 60 pages, tableaux, photos, bibliographie.

Cartographie des élections à Colombes

Publication mensuelle de la mairie Colombes notre ville anciennement Colombes Informations.

La Voix populaire, journal hebdomadaire d'informations.

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et références

  1. Colombes : historique-chronologie
  2. http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
  3. INSEE: Population depuis le recensement de 1962
  4. Liste des communes équipée de machines de vote électronique dans le 92
  5. 100 ans de sports a Colombes
  6. cf. rapport 456 du Sénat
  7. Maison des Jeunes et de la Culture-théâtre
  8. Lycée Guy de Maupassant (anciennement lycée Robert-Schuman)
  9. Voir résultats communiqués par Le Parisien
  10. Le geant de Colombes