Neuilly-sur-Seine

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Neuilly-sur-Seine
Carte de localisation de Neuilly-sur-Seine
Pays France France
Région Île de France Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Canton Chef-lieu de 2 cantons (Neuilly-Nord, Neuilly-Sud)
Code Insee 92051
Code postal 92200
Maire
Mandat en cours
Jean-Christophe Fromantin (DVD)
2008-2014
Intercommunalité sans
Latitude
Longitude
48° 53′ 17″ Nord
         2° 16′ 07″ Est
/ 48.8880555556, 2.26861111111
Altitude 27 m (mini) – 39 m (maxi)
Superficie 3,73 km²
Population sans
doubles comptes
61 100 hab.
(2005)
Densité 16 380 hab./km²
Neuilly-sur-Seine sur le plan de Paris et proche banlieue

Neuilly-sur-Seine est une commune française située dans le département des Hauts-de-Seine et la région Île-de-France. Elle est limitrophe de la ville de Paris au nord-ouest, sur la rive droite de la Seine.

Les habitants de Neuilly-sur-Seine sont appelés les Neuilléens.

Sommaire

[modifier] Géographie

La commune est délimitée à l'est et au sud par Paris (de l'est au sud : Porte de Champerret, Porte des Ternes, Porte Maillot, bois de Boulogne), à l'ouest par la Seine et au nord par la commune de Levallois-Perret.

Elle englobe une île, l'île de la Jatte (à l'exception de sa pointe nord rattachée à Levallois-Perret), et l'extrémité nord-est de l'île de Puteaux, dont la partie neuilléenne est aussi connue sous le nom de l'île du Pont.

Elle est traversée par une route nationale, la N13, et 2 routes départementales, la D908 et la D1.

La N13, plus communément appelée « avenue Charles de Gaulle », constitue un prolongement, vers la Défense et l'ouest de l'agglomération parisienne, de l'avenue des Champs-Élysées et de l'avenue de la Grande-Armée à Paris ; elle connaît un trafic de près de 200 000 véhicules par jour. Elle a été partiellement enterrée en 1992 à l'occasion du prolongement de la ligne n° 1 du métro pour faciliter la circulation automobile. Un projet d'enfouissement total existe, soutenu par l'association « Maillot Sablons Madrid ».

La D908 (boulevard Bineau), également très fréquentée, joint la Porte de Champerret à l'île de la Jatte, Courbevoie (avenue de Verdun) et La Garenne-Colombes (rond-point de l'Europe).
La D1 correspond au quai de Seine, rive droite, entre le bois de Boulogne et Levallois-Perret.

[modifier] Transports

[modifier] Histoire

[modifier] Le quartier du pont

Le nom de Portum Lulliaco apparaît pour la première fois sur une charte de l'abbaye de Saint-Denis. En 1140, les moines établissent un bac qui permettait le passage de la Seine, probablement un peu au nord de l'avenue Charles De Gaulle actuelle. Un village se forme autour de leur ancienne ferme appelée "Nully" en 1316. Nully devient un lieu de passage entre Paris et la Normandie. Un pont en bois sera construit suite à la chute du bac du carrosse d'Henri IV et de Marie de Médicis en juin 1606. En 1772, un pont en pierre de 219 mètres de long est construit par Jean-Rodolphe Perronet sous Louis XV (une statue de ce dernier se dresse au pied du pont sur la pointe orientale de l'île de Puteaux). En 1942, un pont métallique réalisé par L. A. Lévy le remplacera. En 1992, les trottoirs du pont seront rétrécis pour permettre le passage aérien du prolongement de la ligne 1 du métro jusqu'à la Défense.

[modifier] Le quartier de Bagatelle-St James

En 1527, François Ier fait construire en bordure de la forêt de Rouvray (dont le bois de Boulogne correspond à ce qui en reste) le château de Madrid dont les restes furent détruits en 1795 sous la Révolution. Il n'en reste aucun vestige. Seul le nom d’une avenue en garde le souvenir. En 1777, Claude Baudard de Vaudésir de Saint Gemmes (il anglicisera son nom de Saint Gemmes (propriété lui appartenant près d'Angers) en Saint James), trésorier général de la marine de Louis XV, qui sera révoqué pour détournement de fonds, fait construire et aménager un domaine planté d'arbres et d'arborescences recherchées ou Folie (du latin Folia) la Folie Saint-James.Ce parc donnera la possibilité d'y réaliser le lycée de la Folie Saint-James dans les années 1950, modernisé en 2007.

[modifier] La plaine des Sablons

C'est en 1785 à Neuilly, sous Louis XVI, que l'apothicaire Antoine Parmentier tentera les premières cultures de la pomme de terre dans la plaine des Sablons. Au XVIIIe siècle « port Neuilly » devient une commune ; le 7 février 1790, c'est l'élection de la première municipalité avec Nicolas Jean Delaizement comme maire. La municipalité tient sa première réunion dans l'église Saint-Jean-Baptiste (reconstruite de 1827 à 1831). En 1809, la mairie est transférée rue Madrid (actuellement rue du Château) puis en 1836[1] place Parmentier, dans un bâtiment qui deviendra, tour à tour, justice de paix, bibliothèque municipale et aujourd'hui centre culturel Louis de Broglie.

[modifier] Le quartier du Parc

Le château de Neuilly construit à partir de 1751 et modifié par la suite par Joachim Murat qui l'acheta en 1802, sera la résidence favorite du roi Louis-Philippe et de sa famille de 1830 à 1848. En 1842, c'est en se rendant à Neuilly que le prince héritier Ferdinand-Philippe d'Orléans fut victime d'un accident mortel. La chapelle commémorative, près de la porte des Ternes, a été déplacée de son emplacement originel lors du percement du boulevard périphérique. Neuilly a récupéré, après l'indépendance de l'Algérie, la statue équestre du Prince qui se trouvait à Alger. Elle a été remontée au milieu du carrefour Inkermann-Victor Hugo. Le château fut incendié lors de la Révolution de 1848. Ne subsiste qu'une des ailes occupée aujourd’hui par la Congrégation des Sœurs Saint-Thomas de Villeneuve (52, boulevard d'Argenson). De nombreuses rues de Neuilly (rue Louis-Philippe, rue d'Orléans, rue de Chartres, rue de l'Amiral-de-Joinville, …) rappellent l'attachement de la municipalité avec la famille d'Orléans. Le parc du château fut loti au Second empire.

[modifier] Le Second Empire

En 1859, le quartier des Ternes est détaché de la commune pour être absorbé dans le nouveau Paris d'Haussmann. En 1866, les environs de la porte de Champerret seront détachés pour constituer une partie de la nouvelle commune de Levallois-Perret.

Les funérailles de Victor Noir, en 1870, attirent à Neuilly cent mille personnes. Cette manifestation est un prélude à la chute du Second Empire.

[modifier] Depuis 1870

Les combats de la Commune sont violents à Neuilly et les bombardements principalement des Versaillais détruiront une grande partie des habitations (cinq cents maisons) où les fédérés s'étaient retranchés.

Les années 1870 à 1890 voient la construction de nombreux bâtiments de Neuilly : la synagogue de la rue Jacques Dulud (l'agrandissement sur la rue Ancelle sera réalisé en 1937), œuvre d'Émile Ulmann, sera inaugurée en 1878, la mairie actuelle, en 1886, (œuvre de Victor Dutocq et Charles Simonet). La construction de l'église Saint-Pierre, œuvre d'Henri Alfred Dauvergne, débutera en 1887.

Neuilly eut un aérodrome ! Il était apparemment réservé aux ballons
Neuilly eut un aérodrome ! Il était apparemment réservé aux ballons

Le lycée Pasteur, boulevard d'Inkermann, œuvre de style Louis XIII de Gustave Umbdenstock, sera achevé en 1914, mais n'ouvrira ses portes qu'en 1923. Le bâtiment servira d'hôpital à l'Ambulance américaine pendant la première guerre mondiale.

Prolongement du traité de Versailles, le traité de Neuilly entre les Alliés et la Bulgarie fut signé, le 27 novembre 1919, dans la salle des fêtes de la mairie.

Comme partout en France de nombreux Neuilléens sont victimes des deux guerres mondiales. Citons Édouard Nortier, ancien maire et député, tombé au champ d'honneur en novembre 1914, le rabbin de Neuilly Robert Meyers et son épouse Suzanne Bauer déportés en 1943 et Madeleine Michelis, jeune professeur de lettres et résistante. La 2e division blindée du général Leclerc perd trois hommes à Neuilly[2] lors des combats pour la libération de Paris.

Le 12 juin 1940, Edmond Bloud s'oppose aux Allemands et fait afficher partout : « Ville de Neuilly-sur-Seine - Quoi qu'il arrive, je reste au poste d'honneur que vous m'avez confié. Mes fils se battent à côté des vôtres… On les aura ! Dieu protège la France. Edmond BLOUD Maire, Ancien député ». Bien que les Allemands aient installé 550 centres à Neuilly et tenté de faire partir les édiles, Edmond Bloud les en dissuade dans leur propre langue et empêche ainsi la réquisition de la mairie et de l'hôpital de Neuilly, qu'il avait fait construire en 1935. En raison de ces actes de résistance, il est révoqué en 1942 par le gouvernement de Vichy (qui nomme Max Roger) mais est réhabilité en 1945 jusqu'à l'élection d'Achille Peretti en 1947. Edmond Bloud meurt le 16 mai 1948, matin de la Pentecôte, dans sa maison du passage Saint-Ferdinand. En 1949, son petit-fils Denis Bloud (8 ans) coupe le ruban tricolore inaugurant la rue Edmond Bloud, qui longe l’hôtel de ville de Neuilly.

Le 7 août 1991, Shapour Bakhtiar, dernier premier ministre du shah d'Iran Mohammad Reza Pahlavi est assassiné dans son domicile du boulevard Bineau.

Le 13 mai 1993, une prise en otage d'une classe d'enfants à l'école de rue de la Ferme par un déséquilibré fait la une des média (l'affaire de la maternelle de Neuilly).

La campagne pour les élections présidentielles de 2007 attire l'attention à plus d'un titre sur Neuilly-sur-Seine. Le candidat UMP qui sera finalement élu, Nicolas Sarkozy, a été maire, député et conseiller général de Neuilly et y est électeur. Le candidat de la Ligue communiste révolutionnaire Olivier Besancenot y est employé de la Poste. Enfin et surtout, l'application de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) y a fait polémique. Le journal Neuilly indépendant a publié en mai 2007 les informations suivantes : « La ville de Neuilly s'est acquittée de ses engagements en matière de logements sociaux. Les réalisations et les projets en cours lui permettent de ne pas payer la pénalité au titre de la loi SRU. Le nombre de logements sociaux sur la ville va passer de 391 en 2001, à 1165 en 2007 puis 1344 en 2008 ». Neuilly-sur-Seine compte actuellement 800 habitations HLM, soit à peine 2,5% de son parc immobilier alors que la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) fixe l'objectif à 20%.

[modifier] Élections municipales 2008

Louis-Charles Bary (UMP), 81 ans, ne briguera pas un nouveau mandat en tant que maire de Neuilly.

Contre toute attente, le candidat choisi par l'UMP à la mairie de Neuilly-sur-Seine, est David Martinon, porte-parole de Nicolas Sarkozy à l'Elysée[3]. Cette nomination d'une personnalité réputée peu intéressée par la commune est qualifiée de parachutage par une partie conséquente des militants UMP locaux qui lui préfèrent Arnaud Teullé, secrétaire de la section UMP et adjoint au maire chargé des affaires scolaires et de la jeunesse[4].

Son principal adversaire pour cette élection est le candidat divers droite Jean-Christophe Fromantin. Chef d'entreprise et père de 4 enfants, il a su profiter de cette contestation puisque la moitié de son équipe est composée de membres de l'UMP. Au sein de son équipe figurent des personnalités du monde de l'entreprise telles que Christophe Aulnette, actuel dirigeant de Streamezzo et ancien président de Microsoft France, ou Jean-François Minne, ancien président de l'agence de publicité TBWA aujourd'hui à la retraite[5].

Le 30 septembre 2007, lors de sa nomination officielle, David Martinon reçoit le soutien du président de la République. Cette soirée soulève la polémique lorsque les militants UMP de la ville commencent à scander « Martinon, non, non », obligeant ce dernier à abréger sa visite[6]. Le dimanche 10 février 2008, Jean Sarkozy, fils du président de la République, Arnaud Teullé et Marie-Cécile Ménard se désolidarisent de David Martinon. Le lundi 11, ce dernier annonce qu'il retire sa candidature. Le mardi 12, l'UMP fait savoir qu'elle accorde son investiture à Jean-Christophe Fromantin, mais Arnaud Teullé annonce à son tour qu'il conduira une liste dissidente. Quant à Jean Sarkozy, il se présente à l'élection cantonale de Neuilly-sud qui se tient le même jour, qu'il emporte dès le premier tour, avec 51,9 % des suffrages, devenant le benjamin du conseil général des Hauts-de-Seine. Le premier tour des municipales est agité[7] : pour la première fois depuis la première élection d'Achille Peretti, en 1947, un second tour a lieu, qui oppose la liste de Jean-Christophe Fromantin (61,67% des voix) et celle d'Arnaud Teullé (38,33%).

[modifier] Héraldique

Blason de Neuilly-sur-Seine

De gueules au pont d'or, maçonné de sable, au vaisseau d'argent brochant sur le pont et flottant sur des ondes du même mouvant de la pointe, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs parmentières tigées et feuillées d'or.

La devise de la ville est : præteritis egregia quotidie florescit ce qui peut se traduire par : déjà illustre par son passé, de jour en jour plus florissante.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : Cassini[8] et INSEE[9])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 477 1 573 2 162 2 744 5 599 7 654 9 493 13 063 15 894
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
23 583 13 216 17 545 16 277 20 781 25 235 26 596 29 444 32 730
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
37 493 41 145 44 616 51 590 52 433 53 491 56 938 60 172 66 095
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
72 773 70 995 65 983 64 170 61 768 59 848 - - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

[modifier] Économie

La ville compte plusieurs sièges sociaux et grands immeubles de bureaux (M6, Havas, Deloitte, FIDAL, Landwell, UGC, JCDecaux, Cartoon Network, Boomerang…).
Neuilly ville quartier d'affaires compte 6480 commerces et 2 400 entreprises, soit 550 000 m² de bureaux pour 49 000 emplois.

[modifier] Enseignement

La ville de Neuilly est réputée pour ses grands établissements :

[modifier] Administration

La Sixième circonscription des Hauts-de-Seine couvre Neuilly-sur-Seine et Puteaux ; elle est détenue par Joëlle Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux et ancienne suppléante de Nicolas Sarkozy.

Neuilly-sur-Seine est divisée en deux cantons :

[modifier] Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
Toutes les données ne sont pas encore connues.
1790 1790 Nicolas Delaizement - 1er maire de Neuilly
1808 1813 Jean-François Delabordère - -
1814 1829 Jean-François Delabordère - -
avant 1882 - Victor Daix - -
1888 1901 Général Henrion Bertier - -
avant la guerre de 1914 1914 Edouard Nortier - Mort pour la France le 6 novembre 1914
autour de 1923 - Ernest Deloison - -
1927 1947 Edmond Bloud PDP (Parti démocratique populaire, devenu à la Libération le Mouvement républicain populaire (MRP)) Editeur - Fondateur du Comité Catholique des Amitiés françaises à l'Etranger (1915) - Conseiller général (1920) et Député (1928) de la Seine
1947 1983 Achille Peretti RPF puis tout parti gaulliste (UNR, UDR, RPR) Compagnon de la Libération, président de l'Assemblée nationale de 1969 à 1973, membre du Conseil constitutionnel de 1977 à 1983
1983 2002 Nicolas Sarkozy RPR Président de la République depuis le 16 mai 2007
2002 2008 Louis-Charles Bary UMP
23 mars 2008 Jean-Christophe Fromantin divers droite Chef d'entreprise

[modifier] Budget et fiscalité

La fiscalité directe locale est située sous la moyenne départementale pour les communes de population équivalente. La taxe d’habitation en 2006 s’élevait à un taux de 4,81 % pour la part communale et 5,80% pour la part départementale. Les taux communaux étaient de 2,34% pour le foncier bâti, et de 3,17% pour le foncier non bâti[10].

La ville est la 1re de France de plus de 20 000 habitants pour la proportion d'assujettis à l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), soit 116,6 redevables pour mille habitants en 2006[11]'[12].

Neuilly ne respecte pas la loi. L'article 55 de la loi SRU (rénovation urbaine) impose aux communes de plus de 3.500 habitants de disposer de 20% logements sociaux dans leur parc locatif alors que Neuilly n'a pas dépassé le cap des 5%.

[modifier] Jumelages

[modifier] La vie en ville

En 2003, on comptait 450 RMIstes, mais 5 800 redevables de l'Impôt de solidarité sur la fortune. Compte tenu de l'histoire de la commune, il n'y a pas de véritable centre-ville à Neuilly, mais des quartiers différenciés. On peut distinguer par exemple le quartier de la place du marché-Sablonville, le quartier de Bagatelle-Saint-James, le quartier du pont, les alentours de la rue Louis-Philippe, les alentours de la rue des Huissiers et le quartier de l'île de la Jatte.

Le secteur le plus prisé est le pourtour du Bois de Boulogne, et dans une mesure moindre ceux de Saint-James et du Parc. Le secteur le plus recherché par ses facilités (commerces, écoles) reste le voisinage de l'avenue du Roule. L'île de la Jatte, secteur anciennement industriel, a pris ces dernières années de la valeur malgré son enclavement et la faiblesse de ses commerces.

Aucune zone piétonne n'a encore été réalisée sur la commune mais de nombreuses avenues bordées de larges trottoirs souvent plantés d'arbres permettent une circulation aisée aux piétons.

Trois voies ont été aménagées en voie à 30km/h : la rue des Huissiers, une section de la rue Madeleine-Michelis et une section de la rue de Longchamp. Un début de récupération des trottoirs livrés au stationnement automobile dans les années 1960-70 a été mise en œuvre sur l'avenue du Roule. La circulation en vélo est délicate, voire dangereuse, en ville compte tenu de l'absence de piste cyclable.

[modifier] Monuments et lieux de visite

  • La folie Saint-James (34, avenue de Madrid)
  • Le château de Neuilly (Boulevard d'Argenson) - il ne reste qu'une aile aujourd'hui transformée en couvent.
  • Le temple de l'amour (île de la Grande Jatte)
  • L'église Saint-Pierre
  • L'église Saint-Jean-Baptiste
  • La chapelle Notre-Dame-de-la-Bonne-Délivrance

[modifier] Personnalités vivant ou ayant vécu à Neuilly

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes et références de l'article

  1. Neuilly, journal indépendant, n° 1154, page 17
  2. Liste des victimes de la 2e DB tombées pour la libération de Paris
  3. Nicolas Sarkozy intronise David Martinon comme son successeur à la mairie de Neuilly, Xavier Ternisien, Le Monde, 2 octobre 2007
  4. « Neuilly "scandalisée" par le parachutage de David Martinon », Libération, 1er octobre 2007.
  5. « Fromentin le challenger », Le Nouvel Observateur, 20 décembre 2007.
  6. « Martinon chahuté : Martinon, non, non », 13 heures de France 2, 1er octobre 2007.
  7. La mairie en délire
  8. http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
  9. INSEE: Population depuis le recensement de 1962
  10. Site officiel de la direction générale des Impôts
  11. Site officiel de la direction générale des Impôts
  12. L'Express - Le classement des villes par l'ISF
  13. Liste des élus du Conseil Municipal de Neuilly-sur-Seine
  14. La plage de Saint Aubin, Musée Courbet d'Ornans. Consulté le 4 novembre 2007
  15. Hommage à Henri Troyat (1911-2007) sur le site de l'Association des Anciens Élèves du Lycée Pasteur

[modifier] Liens externes

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