Oloron-Sainte-Marie
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Oloron-Sainte-Marie | ||
Pays | France | |
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Région | Aquitaine | |
Département | Pyrénées-Atlantiques | |
Arrondissement | Arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie (chef-lieu) |
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Canton | chef-lieu de 2 cantons | |
Code Insee | 64 422 | |
Code postal | 64400 | |
Maire Mandat en cours |
Bernard Uthurry 2008-2014 |
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Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Oloronais | |
Latitude Longitude |
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Altitude | 194 m (mini) – 1 280 m (maxi) | |
Superficie | 68,31 km² | |
Population sans doubles comptes |
11 984 hab. (2007) |
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Densité | 175,5 hab./km² | |
Localisation sur la carte départementale
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Oloron-Sainte-Marie est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Aquitaine.
Son nom en béarnais est Auloron-Senta-Maria en norme classique ("Aulourou" en graphie mistralienne-phébusienne).
Les habitants sont appelés Oloronais.
Sommaire |
[modifier] Géographie
[modifier] Situation
Située au contact de l'Aquitaine et des Pyrénées, à 50 km de l'Espagne, et au confluent de deux gaves (torrents, dans les Pyrénées occidentales). Capitale du Haut-Béarn, la ville se situe à la naissance des trois vallées du Haut-Béarn : la vallée d'Aspe, la vallée d'Ossau et la vallée de Barétous.
[modifier] Accès
La commune est le terminus provisoire de la ligne Pau-Canfranc avec 8 rotations TER quotidiens. Le service est assuré au delà d'Oloron par autocar.
Elle dispose d'un aéroport (aérodrome d'Oloron-Herrère).
[modifier] Hydrographie
Les terres de la commune sont arrosées[1] par le gave d'Oloron (affluent du gave de Pau) formé dans la ville par la confluence du gave d'Aspe et du gave d'Ossau et par certains de ces affluents : le Vert (et ses tributaires, les ruisseaux le Littos, Coste-Darré et Bélandre), les ruisseaux l'Auronce, l'Escou, la Mielle, le Laberou, de Lamiellotte, l'Arrigastou, l'Ascle, de Rachette et du Termy.
Des affluents du gave d'Aspe, les ruisseaux l'Ourtau (et son tributaire, le ruisseau de Laguns), Branas traversent également la commune.
Le ruisseau la Lèze, tributaire du Luzoué[2] et son affluent, le ruisseau l'Artigaus sont en outre présents sur le territoire de la commune.
[modifier] Lieux-dits et hameaux
[modifier] Communes limitrophes
Esquiule, Moumour, Ledeuix, Estos, Cardesse, Monein, Goès, Précilhon, Escout, Herrère, Ogeu-les-Bains, Buziet, Arudy, Escot, Asasp-Arros, Lurbe-Saint-Christau, Eysus, Gurmençon, Bidos, Agnos, Ance et Féas.
[modifier] Toponymie
Le toponyme Oloron apparaît[3] sous les formes Iluro (borne militaire), civitas Lurunensium : Elarona et civitas Elloronensium : Elinia (notice des provinces[3]), Oloro civitas (506, concile d'Agde), Loron (1009, cartulaire de Saint-Sever), Elloreus (1073, inscription de Moissac), Holorna (vers 1080, cartulaire de Morlaàs), Eleron (XIe siècle, cartulaire de Bigorre[4]), Oleron (1208, titres de Barcelone[5]), Olero (1212, synode de Lavaur), Pagus Oloronensis (1235, réformation de Béarn[6]), Sent-Grotz d'Oloron (1271, notaires d'Oloron[7]), Oleiron (1286, registres de Bordeaux[8]), Olaro (XIIIe siècle, chronique des Albigeois), Diœcesis Oleronensis (1289[9]), Oloronium (1290, titres de Béarn[10]), Oloroo (1343, notaires de Pardies[11]), Oron (XIVe, Jean Froissart, livre III) et le Loron (1442, contrats de Carresse[12]).
Le toponyme Sainte-Marie apparaît[3] sous les formes Maria in Eleron (XIe siècle, cartulaire de Bigorre[4]), Sancta-Maria de Olorno (1215, cartulaire d'Oloron[13]), Nostre-Done de Lasee de Sancta-Maria et Nostre-Done de Lassee à Sente-Marie (1466, notaires d'Oloron[14]) et Sainte-Marie-Légugnon (depuis la réunion de Légugnon, du 14 avril 1841 au 18 mai 1858).
Le toponyme Légugnon apparaît[3] sous les formes Lugunhoo (1375, contrats de Luntz[15]), Lugunhon (XIVe siècle, censier de Béarn[16]), Sanctus-Johannes de Legunhon et Sanctus-Petrus de Legunhon (respectivement 1612 et 1619, insinuations du diocèse d'Oloron[17]).
[modifier] Histoire
Création romaine au Ier siècle de notre ère sur la voie du col du Somport, elle doit son nom, Iluro, aux peuples aquitains apparentés aux Ibères. Établie pour l'essentiel à Sainte-Marie sur la terrasse alluviale sur laquelle sera établie la future cathédrale, c'est aussi une citadelle dotée de remparts sur la butte de Sainte-Croix d'Oloron. Le promontoire de Sainte-Croix en est l'oppidum. En 506, Gratus, premier évêque connu assiste au Concile d'Agde et devient Saint-Grat, dont la fête est aujourd'hui encore célébrée à l'automne.
Les grandes invasions vont plonger l'histoire d'Iluro dans l'oubli. Mais vers 1058, il semblerait que quelques habitats aient subsisté car l'évêque Étienne de Lavedan s'installe sur la terrasse alluviale où se dresse encore une chapelle dédiée à la Vierge. En 1080, le vicomte Centulle V le Jeune vient bâtir la nouvelle ville d'Oloron (nom médiéval dérivé d'Iluro) sur l'ancien oppidum romain.
En ces temps médiévaux, aucun autre emplacement ne pouvait être plus sûr que ce promontoire bordé sur les côtés est-ouest par des cours d'eau. Ce vicomte incite les populations à venir résider et commercer à Oloron en instaurant des privilèges juridiques et économiques contenus dans l 'acte de « poblacion » (ou peuplement), privilèges qui seront repris et renforcés en 1220 créant ainsi le For d'Oloron, le plus ancien du Béarn.
Entre temps, l'ancienne cité d'Iluro renaît de ses cendres et porte désormais le nom de sa cathédrale, Sainte-Marie.
Les descendants du vicomte s'employèrent à la construction des monuments à leur retour de la Reconquista ou des Croisades. Cependant, en 1214, Gaston VI Moncade dut céder les terres de Sainte-Marie, puis plus tard, celles des villages environnants aux évêques, car il était compromis avec les Albigeois hérétiques.
En 1385, Oloron comptait 366 feux, Légugnon 11 et Sainte-Marie 85. Paul Raymond[3] note que Légugnon comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
On assiste alors à une séparation des deux parties : Oloron, ville vicomtale et Sainte-Marie, ville épiscopale, qui deviennent rivales durant huit siècles environ, Sainte-Marie demeurant économiquement dépendante d'Oloron. Au XIIIe siècle, profitant de la croisade des Albigeois, l'évêque obtient la seigneurie sur Sainte-Marie et son hameau de Saint-Pée ; Oloron fait élargir ses privilèges avec son fort, puis se voit dotée d'une enceinte et de deux ponts. Aux XIVe siècle et XVe siècle, elle obtient droit de marché et de foires et sa croissance aboutit à la création de faubourgs. C'est bientôt la capitale économique du Béarn, grâce à son commerce de transit avec l'Espagne et à l'essor de son artisanat textile.
Les Guerres de religion puis la Révolution suspendent à deux reprises cette prospérité. La rivalité entre les deux villes ne prend fin qu'avec la réunion de Sainte-Marie à Oloron, imposée en 1858 par le Second Empire, favorisant l'arrivée du chemin de fer en 1883 et la substitution de l'industrie à l'artisanat.
Il faut noter que, du 11 octobre 1795 au 5 mars 1796, Oloron eut le statut de chef-lieu du département des Basses-Pyrénées que détenait Pau.
Oloron, Légugnon et Sainte-Marie se sont unies le 18 mai 1858.
[modifier] Le Sport
-F.C.O rugby(couleur, bleu et Blanc): Le club loronais évolue en 3ème division de rugby français, la Fédérale 1, ce qui est rare pour une ville de cette taille, le club a été gagné La finale de Fédérale 1 face à Alby(club de top 14) en 2000 mais leur monté en Pro D2 n'a pas été possible pour cause économique. 6 ans plus tard le club se retrouve en finale de Fédérale 1 face a Colomiers(club de Pro D2) mais chute face a une équipe professionelle.
-F.C.O football(couleur, bleu et blanc)
-F.C.O cyclisme(couleur, bleu et blanc)
-H.B.C.O handball(couleur orange et noir)
-F.C.O escrime
-F.C.O Tennis
-F.C.O natation
-J.A.O basketball(couleur, bleu et blanc)
-F.C.O escalade: Manu Lopez est champion de france junior et vice champion d'europe junior
-F.C.O karaté
-F.C.O gymnastique
...
chaque année la ville elit le meilleure sportif oloronais de l'année
Oloron a été elu "ville la plus sportive de france 2002"
[modifier] Héraldique
Les armes d'Oloron-Sainte-Marie se blasonnent ainsi : d'argent à la vache de gueules, accornée, colletée et clarinée d'azur, surmontée d'une croisette tréflée du même. |
[modifier] Administration
Liste des maires successifs | ||||
Période | Identité | Parti | Qualité | |
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1935 | 1940 | Jean Mendiondou | Gauche indépendante | Député |
1940 | 1944 | André Dabadie | ||
1944 | 1959 | Jean Mendiondou | ||
1949 | 1959 | André Dabadie | ||
1956 | 1959 | François Patie | ||
1959 | 1965 | Albert Rioux | ||
1965 | 1977 | Guy Ebrard | UDF | |
1977 | 1983 | Henri Laclau | PS | conseiller général |
1983 | 2001 | Raymond Dieste | PS | conseiller général Canton Est 1983-1992 |
2001 | 2008 | Hervé Lucbéreilh | UMP | conseiller général Canton Ouest depuis 1988 |
2008 | 2014 | Bernard Uthurry | PS | |
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
La commune est l'une des aires urbaines françaises, ensemble continu de communes constitué par un pôle urbain (agglomération offrant au moins 5 000 emplois) et par des communes adjacentes (la couronne périurbaine) dont au moins 40 % de la population résidente active travaille dans le pôle urbain ou cette couronne.
La commune dispose d'un conseil des prud'hommes.
Un peloton de gendarmerie de haute montagne y est stationné.
[modifier] Intercommunalité
La commune fait partie de six structures intercommunales :
- communauté de communes du Piémont Oloronais
- SIVU de l'écrêteur des crues d'Agnos
- syndicat AEP d'Ogeu-les-Bains
- syndicat de télévision d'Oloron-Vallée d'Aspe
- syndicat départemental d'électrification
- syndicat intercommunal d'études et d'aménagements du bassin versant du Vert et de ses affluents
[modifier] Jumelage
Jaca (Espagne), située dans la province d'Aragon de l'autre côté des Pyrénées. Les liens historiques entre les deux cités sont très forts et aujourd'hui encore ils se manifestent en de multiples occasions tout au long de l'année. Jusqu'en 2005, les deux cités accueillaient à tour de rôle le festival international de folklore des Pyrénées.
[modifier] Démographie
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[modifier] Économie
L'économie oloronaise repose principalement sur deux entreprises prestigieuses :
- Lindt & Sprüngli: fabrication de chocolat, en particulier des célèbres Pyrénéens.
- Messier-Dowty : cette entreprise, implantée à Bidos, fabrique des trains d'atterrissage.
Mais Oloron est aussi connue comme étant la capitale du béret basque, qui comme son nom ne l'indique pas est d'origine béarnaise. Autrefois florissante, cette activité a subi de plein fouet la crise de l'industrie textile. Aujourd'hui, il ne reste qu'une seule société, Béatex, employant environ 80 personnes, sous la marque Pierre Laulhère.
La commune a également une activité fortement agricole (élevage, polyculture, maïs).
- Centre d’activités économiques d’Oloron-Sainte-Marie de la chambre de commerce et d'industrie Pau Béarn.
[modifier] Culture et patrimoine
La ville a obtenu le label Ville d'art et d'histoire en novembre 2006.
Le festival du film web amateur a lieu chaque année au printemps à Oloron-Sainte-Marie. Son objectif est de montrer sur grand écran les meilleurs courts-métrages amateurs diffusés sur Internet et de récompenser le talent et l'inventivité de leurs jeunes réalisateurs.
Le festival d'Oloron, « Confluence des musiques et danses du monde », a lieu tous les deux ans (première édition : du 28 juillet au 3 août 2008) pour accueillir des artistes venus des quatre coins du monde afin de mélanger cultures et traditions.
La commune dispose d'un théâtre (espace culturel Pierre Jéliote) et d'une médiathèque intercommunale.
[modifier] Patrimoine civil
- l'ancien hôtel de ville et prison[19], classé aux monuments historiques depuis 1987.
- les remparts
- le château de Légugnon[20] date du XVIe siècle.
- l'immeuble[21] de la rue Pomone date du XVIIe siècle et est classé monument historique depuis 1943.
- le parc Pommé
- la maison du Patrimoine
- le symposium de sculptures contemporaines
[modifier] Patrimoine religieux
- la cathédrale Sainte-Marie[22]
- l'église Sainte-Croix d'Oloron[23]
- l'église Notre-Dame[24] date de la fin du XIXe siècle.
- l'église Saint-Pierre[25] date du XIXe siècle.
- l'ancien séminaire Sainte-Marie[26] date du XVIIIe siècle et est inscrit aux monuments historiques depuis 1976.
- La commune se situe sur la via Tolosane (ou voie toulousaine), nom latin d'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
- La légende de saint Grat
- L'évêque d'Oloron mourut à Jaca au VIe siècle. Les Aragonais et les Béarnais se disputèrent sa dépouille. Pour trancher, on proposa de confier, depuis le col du Somport, le choix de la destination finale du corps à la mule aveugle de l'évêque. Celle-ci ramena Grat bien ficelé sur son dos jusqu'à Sainte Marie.
- Une sculpture de Pierre Castillou vient d'être érigée près de la cathédrale Sainte Marie.
[modifier] Patrimoine environnemental
La commune a été récompensée de trois fleurs au concours des villes et villages fleuris 2006.
[modifier] Équipements
- Clubs et équipements sportifs
- En rugby, le Football club oloronais évolue en Fédérale 1 pour la saison 2007-2008.
- L'association "Le Mur" (escalade) est avec ses 500 adhérents la plus importante de la ville[réf. nécessaire]. Elle possède l'une des plus grandes et plus haute salle d'escalade de France[réf. nécessaire]. Son équipe compétition est l'une des toutes meilleures du pays[réf. nécessaire].
- Éducation
La commune dispose de cinq écoles primaires, d'une école élémentaire confessionnelle, de deux collèges (collèges Tristan Derême et des Cordeliers), d'un lycée (lycée Jules Supervielle), d'un lycée confessionnel, de deux lycées professionnels (lycées Guynemer et du IV septembre 1870) et d'un lycée d'enseignement professionnel agricole.
La commune possède une école Calandreta (Calandreta Auloronesa).
[modifier] Personnalités liées à la commune
- M. de Tréville, de son vrai nom Jean-Armand du Peyrer, comte de Tréville (ou de Troisville), officier français né à Oloron en 1598, lieutenant-commandant de la compagnie des Mousquetaires sous Louis XIII.
- Barthélemy-Jean-Baptiste Sanadon fut un évêque constitutionnel et un député à la Convention, né le 5 février 1729 à Évreux (Eure) et décédé le 9 février 1795 à Oloron-Sainte-Marie.
- Paul-Marie Leroy est un ingénieur français, né vers 1733 à Guyancourt (Yvelines) et décédé le 2 janvier 1795 à Oloron-Sainte-Marie. Son œuvre majeure est l’aménagement du chemin de la Mâture du Pact, en face du fort du Portalet, extraordinaire exploit technique pour l’époque, qui permit l’exploitation de la forêt du Pact de 1774 à 1778.
- Antoine Germain Labarraque (1777-1850), pharmacien, inventeur de la Liqueur de Labarraque, un antiseptique, qui est l'eau de javel.
- Vastin Lespy (1817-1897), auteur d'une cinquantaine d'ouvrages (Grammaire et dictionnaire béarnais, Dictons et proverbes...). Il est enterré au vieux cimetière de Sainte-Croix dans la tombe de la famille "de Dufourcq/Galtier d'Auriac"
- Louis Barthou (1862-1934) homme politique et académicien, né à Oloron, fut assassiné à Marseille.
- Xavier Navarrot, poète chansonnier républicain, janvier 1799-décembre 1862.
- Anna Larroucau Laborde de Lucero (1864-1956), philanthrope d'Argentine, née au quartier Sainte-Croix, dame fondatrice de la Première société de bienfaisance de San Martín, Mendoza. Elle introduit les premiers pieds de vigne d'origine française dans la région de San Martín, à Mendoza, en Argentine.
- Jacques Dyssord (1880-1952), poète et écrivain. Une rue de la ville porte son nom.
- Jules Supervielle (1884-1960), poète, romancier et dramaturge, né à Montevideo en Uruguay, repose en son cimetière.
- Tristan Derème né à Marmande en 1889 et mort à Oloron-Sainte-Marie en 1941 est un poète français.
- Jean Mendiondou est un homme politique français né le 25 juin 1885 à Oloron-Sainte-Marie et mort le 26 octobre 1961 à Biarritz.
- André S. Labarthe est un critique, producteur, réalisateur et scénariste français né le 18 décembre 1931 à Oloron-Sainte-Marie.
- Alain Maleig est né le 10 juillet 1952 à Oloron-Sainte-Marie. C’est un ancien joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France et le Stadoceste tarbais
- Bernard Becaas est un ancien coureur cycliste français, né le 23 mai 1955 à Oloron-Sainte-Marie et décédé le 25 août 2000 à Lasseube.
- Michel Clémente, est né le 3 novembre 1955 à Oloron-Sainte-Marie. C’est un ancien joueur de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France et le FC Oloron.
- David Laperne est un joueur français de rugby à XV, né le 13 septembre 1972 à Oloron-Sainte-Marie.
- Antoine Vignau-Tuquet né le 27 juillet 1981 à Oloron-Sainte-Marie, est un joueur de rugby à XV et à sept français qui évolue au poste d'arrière, centre ou demi d'ouverture au sein de l'effectif de l'US Dax.
- Guillaume Bergos, né à Oloron-Sainte-Marie le 2 octobre 1983, est un joueur de rugby à XV évoluant au poste de pilier.
- Stéphan Vitalla, né le 23 mars 1984 à Oloron-Sainte-Marie, est un joueur de rugby à XV évoluant au poste de talonneur.
- Sébastien Tillous-Borde, né le 29 avril 1985 à Oloron-Ste-Marie, est un joueur international de rugby à XV évoluant au poste de demi de mêlée au Castres olympique.
[modifier] Notes
- ↑ Notice du Sandre sur Oloron-Sainte-Marie
- ↑ Noté Luzouré par le Sandre
- ↑ a b c d e Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- ↑ a b Cartulaire de Bigorre - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Titres publiés dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- ↑ Manuscrit du XVIe au XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Extrait des registres de Bordeaux, publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- ↑ Histoire de France, volume XXI, page 544 - Citée par Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- ↑ Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Contrats retenus par Carresse, notaire de Béarn - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Titres publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- ↑ Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur la tour de Grède
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'ancien hôtel de ville
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le château de Légugnon
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'immeuble de la rue Pomone
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Marie
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Croix
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Notre-Dame
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le séminaire Sainte-Marie
[modifier] Pour approfondir
[modifier] Articles connexes
- Cathédrale Sainte-Marie d'Oloron
- Église Sainte-Croix d'Oloron
- Festival du film web amateur
- Liste des évêques d'Oloron
- Route nationale 618a
- Route nationale 134
- Route nationale 636
- Autoroute française A650
- Ligne Pau - Canfranc
- Ligne Toulouse-Bayonne
- TER Aquitaine