Tourcoing

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Image:Tourcoing logo.jpg
Blason de Tourcoing
D'argent à la croix de sable chargée de cinq besants d'or
Pays
drapeau de la France
     France
Région Nord-Pas-de-Calais
Département Nord
Arrondissement Lille
Canton chef-lieu des cantons de :
Tourcoing-Nord
Tourcoing-Nord-Est
Tourcoing-Sud
Code Insee 59599
Code postal 59200
Maire
Mandat en cours
Michel-François Delannoy (PS)
2008-2014
Intercommunalité Lille Métropole Communauté urbaine
Coordonnées
géographiques
50° 43′ 56″ Nord
         3° 06′ 14″ Est
/ 50.7323, 03.1040
Altitudes moyenne : 42 m
minimale : 24 m
maximale : 49 m
Superficie 1 519 ha = 15,19 km²
Population sans
doubles comptes
92 000 hab.
(2005)
Densité 6 057 hab./km²
Carte de localisation de

Tourcoing (picard : Tourcó et néerlandais : Toerkonje), commune française située dans le département du Nord (59). Elle est le chef-lieu de trois cantons. Ses habitants sont appelés les Tourquennois.

Forte d'une population d'un peu moins de cent mille âmes[1], limitrophe de la Belgique, Tourcoing forme une grande métropole avec ses deux partenaires, Lille et Roubaix, auxquelles on ajoute parfois Mouscron.

La ville demeure célèbre pour le prodigieux essor économique qu'elle a connu durant la Révolution industrielle au XIXe siècle, grâce au textile. Elle est surnommée « la cité du Broutteux ».

Sommaire

[modifier] Géographie

Tourcoing fait partie intégrante de la plaine des Flandres.

Relief de la région de Lille

Le relief de Tourcoing est donc essentiellement plat, à une hauteur d'un peu moins d'une cinquantaine de mètres au-dessus du niveau de la mer.

Par rapport aux villes voisines de moindre importance (Roncq, Halluin, Neuville-en-Ferrain et Mouscron), Tourcoing donne l'impression d'être un "vallon" entouré de quelques rares collines (Mont d'Halluin, Mont-à-Leux à Wattrelos...). La ville possède néanmoins des quartiers avec un peu plus de relief, tel le Brun-Pain et les Francs.

Tourcoing n'est traversé par aucune rivière d'importance. Cette terre humide comporte par contre de nombreux ruisseaux de plus ou moins grand débit d'eau, entre autres l'Espierre et la Becque de Neuville. Ces cours d'eau sont à présent souterrains suite à l'expansion urbaine. La seule voie navigable et actuellement à l'air libre est le canal de Tourcoing, creusé au XIXe siècle suite à l' industrialisation et au prodigieux essor économique de la ville. Ce canal, qui est une ramification du canal de Roubaix qui joint la Deûle à l'Escaut, sera en partie rouvert à la navigation touristique en 2008 (programme Blue Links). Il sert de cadre durant la saison estivale au festival de Tourcoing Plage.

[modifier] Histoire

Pour plus de détails, voir l'article Histoire de Tourcoing.

Église Saint-Christophe de Tourcoing
Église Saint-Christophe de Tourcoing

La première mention de Tourcoing dans un texte officiel remonte à 1080 : il s'agit d'un acte de donation de l'abbaye d'Harelbecque, qui a pour témoin un certain Saswalus de Turconium.[2]

En 1130, la première église, dédiée à Saint Vaast (qui deviendra par la suite l'église Saint Christophe), est construite. La seigneurie de Tourcoing, qui se compose d'un bourg agricole dont les habitants augmentent leurs revenus en faisant de la draperie, surmonte difficilement les ravages de la Guerre de Cent Ans et des guerres de religion. En 1360, ses habitants obtiennent un sceau royal attestant la qualité de leurs draps. En 1491, Maximilien d’Autriche, qui domine alors la Flandre, lui accorde une franche foire. En 1668, la châtellenie de Lille, dont fait partie Tourcoing, est définitivement rattachée à la France. À la Révolution, la ville compte près de 15 000 habitants.

Au XIXe siècle, elle prendra un essor extraordinaire suite à la révolution industrielle et sera l'une des « reines du textile »[3]. Sa population atteint bientôt les cent mille habitants. En 1860, l'église Saint Christophe est considérablement agrandie et devient l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord. En 1885, construction de l'actuel hôtel de ville. En 1906 enfin, à l'occasion de l'exposition internationale des industries textiles (qui se déroulent à Tourcoing), est édifié le beffroi de la Chambre de commerce[4]. La ville est particulièrement marquée par le mandat du maire Gustave Dron (maire de 1899 à 1919 et 1925 à 1930), qui entreprit une grande œuvre sociale.[5]

La Place de la Victoire
La Place de la Victoire

Par la suite, Tourcoing subit les difficiles occupations allemandes durant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre mondiale. La "Cité du Broutteux" a été gravement touchée par la crise textile des années 1970.

[modifier] Administration

L'échevinage de Tourcoing existe au moins depuis 1432. Le premier bailli fut Gautier des Prés, et les premiers échevins Pierrart de Falempin et Jean Noblet. En 1447, on trouve comme échevins : Jean du Castel, Arnoul le Maître, Jean Noblet et comme bailli Guillaume du Bus.[6]
Il existait également un échevinage spécifique au quartier des Poutrains, qui était à l'époque une baronnie indépendante (il faut préciser que Tourcoing, sous l'Ancien Régime, constituait une seule et même paroisse mais se divisait en un véritable imbroglio de fiefs féodaux).[7]

Tourcoing et tous ses quartiers devinrent administrativement une Ville avec conseil municipal en 1790.[8]

Liste des maires successifs[9]
Périodes Identité Parti Qualité
1790-1791 Louis Desurmont
1791-1792 Pierre Motte-Florin
1792-1795 Louis Desurmont
1795-1798 Antoine Lehoucq
1798 Jean-Baptiste Wattel-Florin
1798 Antoine Lehoucq
1798-1799 Charles Delzenne
1799-1800 Philippe-François Suin
1800 Jean Wattine
1800-1808 Louis Desurmont fils
1808-1816 Pierre Delahaye
1816-1822 Fidèle Dewavrin-Frys
1822-1830 Laurent Destombes-Roussel Monarchiste légitimiste
1830-1837 Auguste Cordonnier Conservateur catholique
1837-1847 André Delahaye fils Conservateur catholique
1847-1849 Carlos Masurel
1852-1853 Louis Wattine
1853-1855 Carlos Masurel
1857-1870 Charles Roussel
1870-1879 André Delahaye
1879-1881 Désiré Debuchy
1881-1899 Victor Hassebroucq
1899-1919 Gustave Dron Radical
1919-1925 François Leduc
1925-1930 Gustave Dron Radical
1930 Jules Brassart
1930-1935 Albert Inghels Socialiste
1935-1941 Edmond Salembien
1944-1947 Fernand Lamblin Maire à la Libération
1947-1959 Louis Paris Socialiste
1959-1977 René Lecocq Gaulliste
1977-1979 Guy Chatiliez Socialiste
1979-1983 Maurice Devloo PS
1983-1989 Stéphane Dermaux UDF
1989-2008 Jean-Pierre Balduyck PS
2008- Michel-François Delannoy PS
Tourcoing et ses quartiers
Tourcoing et ses quartiers

La ville est chef-lieu de trois cantons :

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[10])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
12 110 11 380 11 999 14 661 17 973 19 966 22 503 26 834 27 615
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
29 646 33 498 38 262 43 322 48 634 51 895 58 008 65 477 73 353
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
79 243 81 671 82 644 78 600 81 379 81 972 78 393 76 080 83 416
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
89 258 98 755 102 239 96 908 93 765 93 540 - - -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Graphique d'évolution de la population

[modifier] Monuments et architecture

Édifices tourquennois majeurs :

Hôtel de ville de Tourcoing
Hôtel de ville de Tourcoing
  • Église Saint Christophe[11] (XIe ‑ XIIIe siècles, XVe ‑ XVIe siècles et XIXe siècle) : Remarquable association de pierres et de briques, récemment restaurée, agrémentée d'un clocher haut de 80 mètres et d'un carillon de 62 cloches, l'église Saint Christophe est considérée comme l'un des plus beaux édifices néo-gothiques du Nord.
  • Hôtel de ville[12] (1885): Construit sur les plans de l'architecte Charles Maillard, l'hôtel de ville de Tourcoing est caractéristique du style Napoléon III. De vastes proportions, il s'agit d'un des plus beaux témoignages de la réussite économique d'une époque. À noter, son grand hall en atrium et la décoration intérieure des salles
Icône de détail Article détaillé : Hôtel de ville de Tourcoing.
  • L'Ancienne Chambre de commerce et son beffroi[13] (1906) : Ce beffroi d'angle, de style éclectique, rappelle la Renaissance Flamande. Il fut édifié à la gloire de la prospérité de Tourcoing à l'occasion de l'Exposition internationale des Industries textiles de 1906.
  • L'hospice d'Havré[14] (XVIIe siècle) : fondé en 1260 par Mahaut de Guisnes, le cloître et la chapelle datent du XVIIe siècle. Réhabilité en "Maison Folie" à l'occasion de Lille 2004 (capitale européenne de la culture cette année-là), l'hospice d'Havré est actuellement un haut lieu culturel tourquennois.

Architecture civile :

  • La gare de Tourcoing (1906), construite à l'occasion de l'Exposition internationale textile.
  • Le lycée d'État Gambetta[15] (1885), typique de la fin du XIXe siècle.
  • Le lycée Colbert[16] (1935), dans un style néo-flamand.
  • Stand de Tir (1905).
  • Hôpital Gustave-Dron (1905).
  • Le Bureau de Bienfaisance (1894).
  • Centre-ville et alentours (particulièrement rue Nationale et rue de Lille) : un grand nombre d'hôtels particuliers (anciennes résidences des familles industrielles textiles) en cours de restauration (notamment l'hôtel Rasson-Wattine), construits à la fin du XIXe siècle dans un style éclectique inspiré de la Renaissance.

Architecture religieuse :

  • Église Notre-Dame des Anges[17] (1850), dont l'intérieur témoigne d'un style Napoléon III flamboyant.
  • Chapelle Notre-Dame de la Marlière[18], ensemble des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle, lieu de pèlerinage.
  • Institution libre du Sacré-Cœur[19], hall d'entrée et Cour d'Honneur (1885), Chapelle (1859).
Église Sainte-Anne dans le quartier du Brun-Pain
Église Sainte-Anne dans le quartier du Brun-Pain
  • Dans tous les quartiers de la ville, des églises (généralement en briques) datées de la deuxième moitié du XIXe siècle, notamment l'église Sainte-Anne au Brun-Pain et l'église Notre-Dame de la Consolation au Pont de Neuville.

[modifier] Personnalités liées à la Ville

[modifier] Enseignement

Pour plus de détails, voir Liste des établissements d'enseignement à Tourcoing.

Tourcoing draine la majeure partie des élèves de son bassin de population, qui se compose des communes plus ou moins limitrophes de Roncq, Neuville-en-Ferrain, Halluin, Mouvaux, Linselles, Bondues, Bousbecque et Comines ; en témoigne le réseau de transport scolaire qui débouche toujours sur le centre-ville de Tourcoing.

Tourcoing compte deux prestigieux établissements d'enseignement secondaire, historiquement liés à la ville : pour l'enseignement privé catholique, l'Institution libre du Sacré-Cœur[20], fondée en 1666 ; pour l'enseignement public, le Lycée d'Etat Gambetta[21], créé en 1885.

La carte scolaire de Tourcoing est riche : une vingtaine d'établissements secondaires, dont deux lycées d'enseignement général, deux lycées d'enseignement technologique, et un lycée d'enseignement professionnel. On notera le nombre relativement important de collège privés catholiques.

[modifier] Sport

[modifier] Vie culturelle

La Ville compte également de nombreuses structures artistiques et culturelles (liste non-exhaustive) :

Beffroi de la Chambre de commerce de Tourcoing
Beffroi de la Chambre de commerce de Tourcoing

[modifier] Théâtre

  • Le Théâtre Municipal (à l'italienne), le Salon de Théâtre et le Théâtre de l'Idéal pour les infrastructures communales.
  • La Compagnie théâtrale transfrontalière de la Virgule, dirigée par Mr Jean-Marc Chotteau, troupe professionnelle.[28]
  • Théâtre du Broutteux (marionnettes).[29]
  • L'Hospice d'Havré, centre culturel polyvalent.

[modifier] Musique

  • Le Conservatoire de Musique et de Danse.[30]
  • L'Atelier Lyrique de Mr Jean-Claude Malgoire.
  • Les Crick-Sicks, Chorale d'Hommes.[31]
  • L'Orchestre d'Harmonie de la Ville.[32]
  • Le Grand Mix, salle de concert.[33]
  • Tourcoing Jazz Festival Planètes. 22ème édition en 2008. www.tourcoing-jazz-festival.com

[modifier] Musées

[modifier] Arts

  • Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains.[37]
  • L'Ecole Régionale Supérieure d'Expression Plastique (ERSEP) : enseignement supérieur des Beaux-Arts.

[modifier] Avenir

Tourcoing, sinistrée par la crise des années 1970, remonte lentement la pente depuis quelque temps, malgré un taux de chômage élevé et une forte insécurité dans certains quartiers. Elle souffre cependant de la comparaison avec Lille, la capitale régionale qui a réussi sa reconversion économique, ainsi que Roubaix, la "rivale" de toujours, qui a enclenché le processus de relèvement plus tôt grâce à l'aide de la Communauté Urbaine Lille Métropole.

La Ville a cependant accompli divers travaux de grande ampleur :

  • La prolongation de la ligne de métro jusqu’à l'hôpital Dron, situé près de la frontière belge avec Mouscron.
  • Il y a déjà quelques années, la restauration complète de l'église Saint-Christophe, considérée comme le joyau de la ville.
  • La récente rénovation de l'hospice d'Havré et sa reconversion en centre artistique et culturel.[38]

Sont encore en projet ou en chantier :

  • La création d'un centre commercial et de galeries marchandes dans le centre-ville, afin de redynamiser ce dernier. (Ce centre commercial devrait voir le jour d'ici à 2009)[39]
  • La construction d'une nouvelle piscine (dans le respect des façades anciennes de l'ex-caserne des pompiers du XIXe siècle) à côté de l'hôtel de ville, laquelle sera un centre nautique multifonctions (bassin à vagues, tobbogans, saunas... Un autre bassin de dimensions olympiques sera construit dans les prochaines années à Tourcoing par la Communauté Urbaine de Lille : ce centre de natation communautaire (qui devrait donc gérer l'ensemble de la population de la métropole de Lille, Roubaix et Tourcoing) sera terminé en 2008.[40]

Ce dernier projet répond à la tradition tourquennoise en matière de natation : c'est à l'initiative de Gustave Dron, le fameux maire de Tourcoing, que la première piscine de la ville fut construite en 1904 : ce bâtiment, typique de l'architecture locale du début du XXe siècle, subsiste toujours aujourd'hui, mais est actuellement fermé et n'a pas encore de nouvelle affectation.

[modifier] Jumelage

La ville de Tourcoing est jumelée avec neuf villes[41] :

[modifier] Festivités

[modifier] Bibliographie

(fr) Leblanc, Henri, Histoire du Collège de Tourcoing, Imprimerie Jean Mathon (Tourcoing), 1870.[48]

(fr) Van Den Driessche, J-E, Histoire de Tourcoing, Editions La Découvrance, impression originale 1928.[49]

(fr) Watteeuw, Jules, Chansons, fables et pasquilles tourquennoises, Tourcoing, Imprimerie Frère-Glorieux, 1883.

[modifier] Notes et références

  1. Tourcoing en chiffres, sur le site de la ville [1]
  2. Histoire de Tourcoing, sur le site de la Ville[2]
  3. Tourcoing, fiche pratique sur le site de Lille Métropole [3]
  4. Chambre de Commerce, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [4]
  5. Biographie de Gustave Dron, sur le site du Sénat de la République française [5]
  6. Histoire de Tourcoing, J-E Van Den Driessche (1928)
  7. Ibid.
  8. Ibid.
  9. Ibid.
  10. Tourcoing sur le site de l'Insee
  11. Patrimoine tourquennois sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [6]
  12. Patrimoine de Tourcoing, sur le site de la Ville [7]
  13. Le Centre d'Histoire Locale, sur le site de la Ville [8]
  14. L'Hospice d'Havré, sur le site de la ville [9]
  15. Site internet du lycée Gambetta (Tourcoing) [10]
  16. Site internet de l'Institut Colbert (Tourcoing) [11]
  17. Patrimoine religieux, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [12]
  18. Patrimoine religieux, sur le site de l'office de tourisme de Tourcoing [La Chapelle Notre-Dame de la Marlière, sur le site de l'Office de Tourisme de Tourcoing [13]
  19. Site internet de l'Institution Libre du Sacré-Cœur [14]
  20. Par tradition séculaire, encore surnommée simplement Collège de Tourcoing.
  21. le plus souvent surnommé lycée de Tourcoing ; le "Collège" ecclésiastique et le "Lycée" laïc se livraient autrefois une lutte féroce, ce qui n'est plus le cas de nos jours.
  22. Site internet du TFC [15]
  23. Site internet du TLM [16]
  24. Page Sports, sur le site internet de la Ville de Tourcoing[17]
  25. Site internet de l'Union sportive tourquennoise [18]
  26. Le Lutteur Club de Tourcoing, sur l'Annuaire des Sports [19]
  27. Le Centre d'Initiation à l'Escrime de Tourcoing, sur le site de la Ville [20]
  28. Site internet de la Compagnie théâtrale "La Virgule" [21]
  29. Le Théâtre du Broutteux sur le site de l'Office du Tourisme de Tourcoing [22]
  30. Le Conservatoire de Musique à Rayonnement Départemental (site internet de la Ville de Tourcoing [23]
  31. Site de l'association musicale des Cricks-Sicks [24]
  32. Site officiel de l'Harmonie Municipale de Tourcoing[25]
  33. Le Grand Mix, site officiel [26]
  34. Musée des Baux-Arts de Tourcoing, fiche pratique sur le site "Amis des Musées"[27]
  35. Site officiel du Musée "Message Verlaine" à Tourcoing
  36. Le Musée du Carillon sur le site de l'office du tourisme de Tourcoing [28]
  37. Le Fresnoy, sur son site officiel [29]
  38. Les grands projets de la Ville sur le site de la Ville de Tourcoing [30]
  39. Ibid.[31]
  40. Ibid. [32]
  41. Jumelages tourquennois sur le site internet de la Ville de Tourcoing[33]
  42. Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le site de la Ville [34]
  43. La Franche Foire sur le site de l'office du tourisme de Tourcoing [35]
  44. Site officiel de l'opération "Tourcoing Plage" [36]
  45. Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le ste de la Ville [37]
  46. Site officiel du "Tourcoing Jazz Festival" [38]
  47. Clubs sportifs de haut niveau à Tourcoing sur le site de la Ville [39]
  48. Site de l'Université de Lille III [40]
  49. Site de l'Université de Lille III [41]

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

Géographie Histoire et patrimoine Personnalités Autres

[modifier] Liens externes



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