Cusset
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Cusset | |
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Pays | France |
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Région | Auvergne |
Département | Allier |
Arrondissement | Vichy |
Canton | Chef-lieu de 2 cantons : Cusset-Nord et Cusset-Sud |
Code Insee | 03095 |
Code postal | 03300 |
Maire Mandat en cours |
René Bardet (PCF) 2008 - 2014 |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier |
Coordonnées géographiques |
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Altitudes | moyenne : 310 m minimale : 255 m maximale : 483 m |
Superficie | 3 193 ha = 31,93 km² |
Population sans doubles comptes |
13 385 hab. (1999) |
Densité | 419,2 hab./km² |
Cusset est une commune française, située dans le département de l’Allier et la région Auvergne.
Selon le recensement de 1999 (Insee), c’est la quatrième ville du département, derrière Montluçon, Vichy et Moulins.
La ville vit de l’agriculture et de petites et moyennes industries.
Cusset fait partie de l’aire urbaine de Vichy.
Sommaire |
[modifier] Géographie
Située sur le Sichon, affluent de l’Allier, sur les contreforts de la Montagne bourbonnaise, Cusset est mitoyenne de Vichy.
[modifier] Histoire
De la période gallo-romaine ont été découverts des vestiges d'aqueducs et d'hypocauste qui attestent de la présence d’une villa.
En 886, Eumène, évêque de Nevers, fonde une abbaye bénédictine de femmes (le bâtiment est aujourd’hui occupé par l’hôtel de ville).
Le 17 juillet 1440, le dauphin Louis, futur Louis XI, s’y réconcilia avec son père Charles VII, mettant ainsi fin à la Praguerie.
Louis XI devenu roi, il fait rebâtir les fortifications de la ville par le maître d’œuvres Vauzy de Saint-Martin, de 1476 à 1483. Avec leurs murs à bossages, leur canonnières à embrasures à la française (en X), elles constituent le prototype de la fortification moderne, capables de répondre aux attaques des boulets métalliques ; Vauban s’en servira de modèle. Détruites petit à petit à partir du XVIIe siècle, il n’en subisiste qu’une tour (qui abrite le musée) et les « souterrains », c’est-à-dire les galeries de rez-de-chaussée des portes qui se sont retrouvées enterrées lors du comblement des fossés.
Jusqu’en 1866, date à laquelle le nombre d’habitants de Vichy dépasse celui de Cusset, Cusset est la grande ville de la région, avec des commerçants, des artisans, des foires attirant toute la montagne bourbonnaise.
Située en bordure d’une zone riche en sources minérales, elle commence à en forer à partir de 1840 et ouvre un établissement thermal en 1853 ; mais elle ne peut résister à la concurrence de Vichy. L’activité thermale cesse au début du XXe siècle.
De 1960 à 1977, une importante rénovation urbaine est menée.
Cusset a la particularité curieuse d’avoir connu deux sorcières :
- Marie Filastre, brûlée vive sous Louis XIV pour avoir tenté d’empoisonner Mademoiselle de Fontanges à la demande de Madame de Montespan vieillissante et délaissée par le roi qui lui préférait sa jeune rivale.
- Gabrielle Pagnat, emprisonnée pour escroquerie un siècle plus tard, les mentalités sur les dons supposés des sorcières ayant évolué.
Leur histoire a inspiré un roman, « Les Trois Perles de Domérat » d’Anna Galore.
Dans un autre registre, depuis le XIe siècle jusque dans les années 1950-1960, les collines aux alentours de Vichy et Cusset étaient couvertes de vignes, on peut parler ainsi de « l’ancien vignoble vichyssois ».
[modifier] Héraldique
Jusqu'au XVIIe siècle, Cusset n’eut pour blason que les armes du chapitre Notre-Dame : « d’azur, au senestrochère d’argent, sortant de nuées de même, mouvant du flanc dextre de l’écu, tenant une épée aussi d’argent, la poignée et la garde d’or, sur la pointe de laquelle est posée une couronne aussi d’or ». En 1698, lorsque d’Hozier réalise l’Armorial général de la France, Cusset se voit doter d’un deuxième blason : « de gueules semées d’écussons d’or ».
[modifier] À voir
Les souterrains de Cusset datant du XVe siècle sont exceptionnelement bien conservés. Il s’agit des anciennes galeries du rez-de-chaussée des portes de la fortification qui ceinturait la ville à la fin du Moyen Âge. Deux de ces portes sont aujourd’hui ouvertes au public : la porte de Doyat et la porte Saint-Antoine. Le départ se fait à partir du musée (du 1er juin au 30 septembre de 14 h à 19 h sauf le lundi).
[modifier] Administration
Liste des maires successifs | ||||
Période | Identité | Parti | Qualité | |
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2008 | 2014 | René Bardet (élu pour la 2e fois) | PCF | Conseiller général du canton de Cusset-Nord |
mars 2001 | 2008 | René Bardet | PCF | Conseiller général du canton de Cusset-Nord |
1995 | 2001 | Joseph Bléthon | DVD | Vétérinaire |
1977 | 1995 | Jacques Milliet | PS | Professeur |
1971 | 1977 | André Rabineau (3e fois) | ||
1966 | 1971 | André Pruneyre | Médecin | |
1965 | 1971 | Jean Mathias | Commerçant | |
1953 | 1965 | André Rabineau | ||
1952 | 1953 | Claudius Gouttebel | Boucher | |
1947 | 1952 | Georges Roux (2e mandat) | ||
1944 | 1947 | Marcel Gannat | PCF | |
1936 | 1944 | Auguste Dupré | Industriel : Carrières de Malavaux | |
1928 | 1936 | Georges Roux | ||
1922 | 1928 | Louis Villard | ||
1919 | 1922 | Victor Fru | ||
1915 | 1919 | Pierre Cornil | ||
1903 | 1915 | Gilbert Roux | ||
1900 | 1902 | Randoing | ||
1898 | 1900 | François Frémont | Brasseur | |
1892 | 1898 | James Combe | ||
1888 | 1892 | Jean-François Radoult de la Fosse | Ingénieur de Napoléon III | |
1883 | 1888 | Gabriel Colas | ||
1878 | 1883 | Gaspard Cureyras | ||
1876 | 1877 | Félix Cornil | ||
1874 | 1876 | Hubert Colombier | ||
1869 | 1874 | Félix Cornil | Médecin | |
1852 | 1869 | Joseph Fourneris | ||
janvier 1852 | septembre 1852 | François-Philibert Maguet | ||
octobre 1850 | janvier 1852 | Léon Forestier | ||
Mai 1850 | octobre 1850 | Henri-Ferdinand Rabourdin | ||
janvier 1850 | mai 1850 | Louis Liandon, Pierre-Louis Gaillard et Joseph Fourneris | ||
décembre 1849 | - | Marie Barthelat | ||
Octobre 1848 | décembre 1849 | Isidore Serée | ||
mars 1848 | mai 1848 | Isidore Serée | ||
mars 1848 | mars 1848 | Jean Terson | ||
1830 | mars 1848 | Marie-Annet Arloing | ||
septembre 1804 | 1830 | Claude Bouquet des Chaux | ||
juillet 1800 | septembre 1804 | Claude Dussaray-Vignolles | ||
Septembre 1799 | juillet 1800 | Étienne-Benjamin Garand | ||
1777 | 1792 | Henri Duriez |
[modifier] Démographie
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Par ailleurs, lors du recensement de 1999, la population totale, incluant les doubles comptes, était de 13 975 habitants.
[modifier] Transports
- Transport routier
- Cusset est accessible par les routes départementales :
- RD 2209 depuis Vichy, Saint-Germain-des-Fossés ;
- RD 906b depuis Saint-Étienne-de-Vicq (montagne bourbonnaise) ;
- RD 25 depuis Châtel-Montagne (montagne bourbonnaise) ;
- RD 62 depuis le Mayet-de-Montagne (montagne bourbonnaise) ;
- RD 995 depuis Ferrières-sur-Sichon et la vallée du Sichon (montagne bourbonnaise) ;
- RD 175 depuis Le Vernet (montagne bourbonnaise) ;
- RD 126 depuis Abrest ;
- RD 259 ;
- RD 27 depuis Charmeil.
- Transport urbain
- La ville de Cusset est desservie par les lignes 4, 5 et 6 du réseau urbain Bus Inter.
[modifier] Patrimoine
La ville possède de nombreux vestiges de la période médiévale.
[modifier] En ville
[modifier] Architecture religieuse
- Cloître de l’abbaye, square Paul-Duchon, XIIe siècle. Des halles à ossature métallique y avaient été construites au XIXe siècle à l’emplacement du cloître roman ; leur démolition a permis de remettre au jour les arcades de pierre.
- Ancienne maison des chanoines, 22 place Victor-Hugo, XIIIe siècle. Au XIIIe siècle, les moniales de Cusset font construire une église consacrée à Notre-Dame pour abriter une statue de Vierge à l’Enfant miraculeusement retrouvée à l’emplacement de l’actuelle place Victor-Hugo. L’église est alors desservie par des chanoines habitant dans une maison dont restent une fenêtre moulurée à meneaux et une partie à pans de bois.
- Tour de la commanderie de Saint-Antoine, 34 rue du Général-Raynal, XIIIe siècle. C’est le dernier vestige encore debout de la commanderie de Saint-Antoine fondée au XIIIe siècle par les Hospitaliers de Saint-Antoine-de-Viennois pour aider les pauvres, sur un terrain donné par l’abbaye de Cusset. En 1768 l’ordre est réuni à celui de Malte. Son activité cesse avec l’avènement de la Révolution.
- Croix du XVe siècle : en pierre, près du musée de la Tour Prisonnière. Elle vient de l’ancien cimetière, auparavant situé sur la place Victor-Hugo. Une face est ornée d’une Vierge à l’Enfant, l’autre d’un Christ en croix.
- Église Saint-Saturnin, place Radoult-de-La-Fosse : construite entre 1859 et 1868 par Jean-Baptiste Lassus et Hugues Batilliat à la place de l’ancienne église médiévale. Le chœur est encadré de chapelles rayonnantes. Le clocher et le chevet sont dus à la générosité de Napoléon III.
- Ancien Hôtel Dieu, place du Centenaire-de-la-République :
- pavillon d'entrée : construit en 1702, il permettait d’accéder à la cour de l’ancien Hôtel Dieu. Ce dernier bâtiment, reconstruit au XXe siècle, abrite une maison de retraite.
- chapelle : elle a été construite dans les années 1860 par Hugues Batilliat en style néo-roman.
[modifier] Architecture civile
- Ancienne maison du bailliage, 8 rue du Censeur, XVe siècle.
- Maison, 40 place Victor-Hugo, XVe siècle.
- Porte en ogive, 6 rue du Général-Foy, XVe siècle.
- Maison à pans de bois, rue Saturnin-Arloing, XVe siècle. Elle fut édifiée par un élu de Cusset, député aux États d’Auvergne. Elle accueille aujourd'hui l'Office de Tourisme.
- Maison, 27 rue de la Constitution, XVe siècle : deux portes en ogive et une baie cintrée.
- Hôtel Jean de la Borderie, rue du Marché-au-Blé, XVe siècle : porte surmontée d’un tympan en ogive encadré de deux pinacles, grandes fenêtres à meneaux. Ce fut l’hôtel particulier de Jehan de la Borderie. C’est là que fut signée en 1440 la paix mettant fin à la Praguerie qui avait opposée le roi Charles VII aux grands seigneurs du royaume au sujet de la création d'une armée de métier.
- Tourelle d’escalier, 5 rue Saturnin-Arloing, XVIe siècle. Une porte donne accès à un escalier à vis. Des colonnes cannelées supportent un fronton triangulaire. Au dessus, se trouve une fenêtre moulurée de rinceaux et flanquée des visages d’un homme et d’une femme sortant d'une gaine de feuillages.
- Tribunal de Grande instance, 4 rue Gambetta, XVIe siècle. C’était la demeure de Jehan Corrier, lieutenant général du bailliage au XVIe siècle.
[modifier] Architecture militaire
- Fortification construite entre 1476 et 1483 par Vauzy de Saint-Martin à la demande de Louis XI :
- Musée de la Tour-Prisonnière, rue des Fossés-de-la-Tour-Prisonnère : en calcaire et en basalte. Cette tour est le dernier vestige encore debout des fortifications de la ville. Il servit de prison à partir du XVIe siècle, et ce jusqu’aux années 1960. Il accueille le musée depuis 1980.
- Portes de Doyat (place du Centenaire-de-la-République) et de Saint-Antoine (place de la République) : anciennes portes d'accès des fortifications ; démolies, leurs galeries de rez-de-chaussée sont aujourd'hui souterraines.
[modifier] Architecture carcérale
- Ancienne prison des femmes, boulevard du Général-de-Gaulle ; elle date de 1824. Au rez-de-chaussée se trouvaient les cellules des prisonnières, l’infirmerie et le parloir, l’appartement du gardien se situant au 1er étage. On accède au bâtiment par la porte en plein cintre d’un avant corps. La prison est fermée en 1960, puis acquise par la commune. Désormais, elle accueille les réserves du musée de la Tour-Prisonnière.
[modifier] Architecture industrielle
- L'ancien moulin du Chambon, rue du Faubourg-de-Chambon :
- Minoterie : construite en 1808 à la place d’un moulin datant de 1771. Le bâtiment a été modifié en 1853.
- Maison du meunier : Construite au XIXe siècle par Rose-Beauvais.
- Tours, rue Andreau. Datant de 1943, elles marquent l’entrée du parc du Chambon.
- Ancien moulin des Cours, angle rue des Moulins et cours Lafayette ; il a fonctionné jusqu'en 1960.
[modifier] Architecture thermale
- Source Tracy, cours Tracy ; le pavillon octogonal en fer a été érigé en 1845. Température 13 °C.
[modifier] À l’extérieur
[modifier] Architecture religieuse
- Ancienne chapelle Sainte-Foy à Aubepierre, XIIe siècle, en pierre, à plan basilical à simple abside. Le lieu-dit Aubepierre appartenait à l’abbaye de Cusset. Aubepierre formait une paroisse.
- Manoir d’Aubepierre, XVe siècle. À partir de 1517, ce village fut la demeure des abbesses de Cusset.
- Chapelle Sainte-Madeleine sur la route de Molles, XIIe siècle. Fondation de l'abbaye de Cusset, elle fut desservie par des Capucins jusqu’en 1789.
- Chapelle Sainte-Anne à Chassignol, XIIe siècle - 1694. Au début du XIIIe siècle, l’abbaye de Cusset acquiert Chassignol et y crée un prieuré dédié à Sainte Anne. Elle fut souvent remaniée.
[modifier] Architecture industrielle
- Moulin de Ribière, XIXe siècle ; ce fut l’un des plus grands moulins à farine des environs. La roue à aube et la maillerie subsistent encore.
- Moulin Saint Jean, XVIIIe siècle ; dernier moulin en activité de la vallée du Sichon. On peut cependant encore voir tourner la double roue à aube rénovée en 2000. La propriété accueille aujourd'hui des chambres d'hôtes.
[modifier] Culture
La commune dispose de plusieurs infrastructures consacrées à la culture.
- L’école municipale de musique, installée dans l'hôtel de La Borderie et dont l’enseignement concerne la flûte, le hautbois, la clarinette, le saxophone, la trompette, le cornet, le bugle, le saxhorn baryton, le trombone, les percussions, le violon, l’alto, le violoncelle, la guitare, le piano, l’accordéon et la cornemuse.
- La bibliothèque municipale, qui dispose de 13 000 ouvrages.
- Le théâtre municipal, situé près de la mairie, et actuellement en reconstruction.
- L’espace Chambon, construit en 1993, qui comporte plusieurs salles, dont l’une a une capacité de 600 places assises, ce qui permet d’accueillir des pièces de théâtre, des bals, des salons ou des expositions.
[modifier] Enseignement
[modifier] Écoles primaires
- École primaire Liandon
- École primaire de Presles
- École primaire Les Darcins.
- Écoles primaire et maternelle privées Notre-Dame.
[modifier] Collèges
- Collège Maurice Constantin-Weyer
- Collège Saint-Joseph
[modifier] Lycées
[modifier] Lycée de Presles
- Présentation
- Le lycée de Presles est l’un des plus importants de l’académie de Clermont-Ferrand. Il accueille plus de 1 700 élèves, dont plus de 300 étudiants de BTS et près de 200 professeurs. C’est un lycée d’enseignement général et technologique : il prépare des bacs généraux et techno. de l’enseignement secondaire ainsi qu’au BTS.
- Superficie
- 17 hectares
- Histoire
- Le 21 septembre 1964, le lycée de Presles ouvre ses portes avec Mme Tartinville proviseur. En 1985, les Restos du cœur sont créés à Vichy par Jacques Lapalus, ancien professeur au lycée de Presles (décédé en 1988).
- Fréquentation
- 2 300 élèves en 2000
- Personnalités ayant fréquenté ce lycée
- Georges Malbrunot, otage avec Christian Chesnot et libéré après quatre mois de détention en Irak. Originaire de Montaiguët-en-Forez, il avait passé son bac au lycée de Presles.
- Nolwenn Leroy, gagnante de la Star Academy 2, ancienne élève du collège des Célestins, du lycée de Presles et de l’École de musique de Vichy.
Sources : site du lycée de Presles[1] et d’A. Carteret.
[modifier] Lycée Saint-Pierre
Lycée situé allée Pierre Berthomier, non loin du centre ville[2]. Ce lycée et le collège Saint-Joseph sont groupés dans le même établissement.
- Histoire
- Le lycée a été fondé en 1822[3] par Mademoiselle Cougoul-Salignat et confié aux religieuses de la congrégation de Saint-Joseph de Chambéry. En 1856, le pensionnat Saint-Joseph s’est installé dans l’ancienne maison Pons (allée Pierre-Berthomier, du nom d’un aviateur résistant fusillé en 1944). Il prend la suite d’un pensionnat Saint-Pierre pour demoiselles créé trente ans plus tôt. Par la suite, il a connu une grande expansion tout au long de son histoire. Le 13 juin 1887, la chapelle Saint-Joseph, construite pour les religieuses arrivées en 1854 pour gérer le dit pensionnat, est bénie par l’évêque Dreux-Brézé.
- Palmarès
- Selon le palmarès L’Express 2008, le lycée Saint-Pierre est le deuxième lycée du département de l’Allier après le lycée de Presles, privé et public confondus[4],[5].
- En 2007[6], il était classé 840e sur 1 865 et 1er sur 5.
- En 2008, il est classé 925e sur 1 871 et deuxième sur 5.
[modifier] Lycée Valery-Larbaud
Le lycée Valery-Larbaud est un lycée public situé boulevard Gabriel Péronnet[7], auquel il doit son nom à l’écrivain Valery Larbaud, né en 1881 et décédé à Vichy en 1957.
Histoire : La construction de ce lycée a débuté en 1998[8].
Ouvert en septembre 1999, le lycée Valery-Larbaud est une réalisation du conseil régional d’Auvergne. Son coût total est de 2 759 327 euros, soit 18,1 millions de F.
Inauguration : il a été inauguré le 28 janvier 2000 en présence du Président du Conseil régional, du recteur, des élus, du personnel et des élèves de l’établissement[8]. Il remplace l’ancien lycée professionnel Abel Boisselier, qui datait de 1835.
[modifier] Lieux de culte
La messe est célébrée à l’église Saint Saturnin.
- Église Saint-Saturnin de Cusset
- Chassignol (chapelle Sainte-Anne)
- Hôtel-Dieu
- Sainte-Madeleine
[modifier] Personnalités liées à la commune
- Napoléon III, l'Ardoissière étant son lieu de promenade favori.
- Claude Nougaro, qui fut inscrit au collège de Cusset en 1945. Il y écrivit ses premiers poèmes.
- René Barjavel, qui fréquenta lui aussi le Collège de Cusset, de 1923 jusqu’à son Baccalauréat en 1927.
- Jean Giraudoux, dont le frère aîné, Alexandre, était médecin à Cusset. L’écrivain le visitait régulièrement. Une rue de la ville porte son nom.
- Maurice Constantin-Weyer, qui vécut un temps à Cusset. Le collège municipal porte son nom.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Notes et références
- ↑ http://www3.ac-clermont.fr/etabliss/lycee-presles/
- ↑
- ↑ Histoire de Vichy, évoquant aussi celle de Cusset, sur le site d’A. Carteret (cliquer sur « Histoire de CUSSET »).
- ↑ Palmarès du Lycée Saint-Pierre, selon L'Express. Dernier accès : 9 mai 2008
- ↑ Le lycée Saint-Pierre était le seul établissement privé cité et sans internat cité.
- ↑ « Les vrais bons lycées », dans L'Express, n° 2942, semaine du 22 au 28 novembre 2007
- ↑
- ↑ a b Source : ac-clermont.fr, inauguration du lycée Valery-Larbaud