Béziers

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43° 36′ 43″ N 3° 52′ 38″ E / 43.6119, 3.8772

Béziers
Blason

Pays
drapeau de la France
     France
Région Languedoc-Roussillon
Département Hérault
(sous-préfecture)
Arrondissement Arrondissement de Béziers
(chef-lieu)
Canton chef-lieu de 4 cantons
Code Insee 34032
Code postal 34500
Maire
Mandat en cours
Raymond Couderc
2008-2014
Intercommunalité Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée
Coordonnées
géographiques
43° 20′ 51″ Nord
         3° 13′ 08″ Est
/ 43.347615, 3.218991
Altitudes moyenne : 17 m
minimale : 4 m
maximale : 120 m
Superficie 9 548 ha = 95,48 km²
Population sans
doubles comptes
76 000 hab
Béziers Méditerranée : 110 500 hab.
(2007)
Densité 796 hab./km²
Gentilé Biterrois, Biterroises
Site [1]
Carte de localisation de Béziers

Béziers (en occitan, Besièrs [beˈzjɛs]) est une commune française, située dans le département de l'Hérault et la région Languedoc-Roussillon.

Ses habitants sont appelés les Biterrois et Biterroises. Par sa population, Béziers est la seconde ville du département de l'Hérault et la quatrième de la région Languedoc-Roussillon.

Sommaire

[modifier] Géographie

La ville est située dans la plaine héraultaise, dominant l'Orb et le canal du Midi dans un site pittoresque.

Dernier contrefort du Massif central dans la plaine du Bas-Languedoc, Béziers est située à 20 km de la mer Méditerranée et à 50km des montagnes moyennement élevées du Haut Languedoc telles que le massif abrupt du Caroux (1090 mètres d'altitude) l'Espinouse (1124m) et les monts de Lacaune dans le Tarn (1267m).

Bénéficiant d'une superficie communale importante (9 548 hectares), Béziers est la commune la plus étendue du département de l'Hérault. Moins de la moitié de la superficie communale est urbanisée, le reste du territoire est composé d'espaces verts, de zones naturelles protégées et de zones agricoles (environ 2 000 hectares) principalement plantées en vignes.

[modifier] Topographie urbaine

Du point de vue de l'aménagement urbain, Béziers se développe sur un plateau surplombant à l'est l'Orb, du fait du caractère inondable de la rive ouest de l'Orb, le "Faubourg" situé dans la plaine alluviale.

À la bordure orientale de la vieille ville, les grandes allées Paul-Riquet forment une vaste esplanade à l'emplacement des anciens fossés puis du jeu de Mail. Au nord, elles débouchent sur le théâtre (XIXe siècle); au sud, sur le parc dit Plateau des Poètes (aménagé en 1867). Les autres attractions majeures sont liées à l'Orb : d'abord les neuf écluses de Fonserannes sur le canal du Midi et le pont-canal, plus tardif. Le domaine de Raïssac, près de l'Orb au Nord-Ouest de la ville, a une belle collection de faïences et céramiques et se trouve à la tête d'un domaine viticole de 108 ha.

Les quartiers bourgeois du XIXe siècle se sont développés à l'est des allées, où sont les principaux magasins et, au-delà, hôpitaux, arènes et piscine, lycées, cave coopérative, casernes (actuel site universitaire Du Guesclin) et pompiers. L'expansion vers le nord a été plus tardive, tandis qu'au sud la gare et l'Orb formaient barrière. La croissance récente a occupé de vastes espaces au sud-est, au-delà de la voie ferrée Béziers -Neussargues et jusqu'à l'autoroute A 9, sur près de 4 km : grands ensembles de La Devèze, vaste zone industrielle (Capiscol), hypermarchés avec centres commerciaux (Montimaran, Gayonne), parc des expositions, marché de gros, nouveau stade de la Méditerranée.

La construction est restée modérée sur la rive occidentale, bien que le "Faubourg" y ait accueilli quelques ateliers et une distillerie, des jardins, une Plaine de jeux. Côté sud-ouest, la RN113 est accompagnée d'ateliers et entrepôts jusqu'à Colombiers, dont la zone d'activités de Fontvieille.

Béziers est aussi un « nœud » de voies de communication : au-delà des voies fluviales (Orb et canal du Midi), Béziers est située au carrefour des routes RD612 (de Saint-Pons-de-Thomières, en provenance d'Albi et de Castres, vers Agde), RD613 (de Narbonne à Pézenas) mais aussi le cD11 (vers Capestang et Carcassonne) et le cD909 (vers Bédarieux) Également des autoroutes A9 (vallée du Rhône-Espagne) et l'A75 (l'autoroute du Massif Central).

[modifier] Histoire

Les arènes antiques de Béziers
Les arènes antiques de Béziers
La cathédrale Saint Nazaire
La cathédrale Saint Nazaire
Le pont-canal de Béziers sur l'Orb
Le pont-canal de Béziers sur l'Orb

Béziers est une très vieille ville : 2700 ans d'histoire, qui commence avec l'installation d'une tribu sur les berges de l'Orb à l'ère néolithique, sur le site actuel du Bosquet.

Durant l'âge du fer (VIIIe ‑ IIe siècle avant J.-C.), Béziers constitue l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne.[1]

[modifier] Antiquité

Les Romains chassent les Celtibères dès le Ier siècle av. J.-C. pour s'y installer et y créer une colonie, la Civitas urbs baeterrensis ! Située à quelques kilomètres de la mer Méditerranée sur le fleuve Orb, traversée par la Via Domitia qui relie l'Italie à l'Espagne, Baeterrae, nom antique de Béziers, prospère jusqu'au IIIe siècle av. J.-C. où l'insécurité ambiante amène la cité à construire des murailles.

[modifier] Moyen Âge

Les invasions barbares touchent de plein fouet Béziers, au centre d'une Narbonnaise très disputée : d'abord aux mains des Wisigoths au VIe siècle, elle est bientôt conquise par les musulmans au début du VIIIe siècle siècle, puis par les Francs qui, menés par Charles Martel la ruinent en 737. Siège d'un évêché puis bientôt, grâce à Charlemagne, d'un comté, Béziers continue à se fortifier, notamment au début du XIIe siècle, au moment de la grande guerre méridionale entre la maison d'Aragon et la maison de Toulouse, et son enceinte, englobant les bourgs de Capnau, Saint-Aphrodise et Saint-Jacques, prend sa forme définitive.

En 1209, le vicomte de Béziers, Raimond-Roger Trencavel, ne peut résister aux assauts des croisés du Nord, menés par Simon IV de Montfort et venus châtier les hérétiques « Albigeois » : une partie des habitants de Béziers est passés par les armes au cours d'un des plus grands massacres du Moyen Âge (d'après une source peu sûre, le légat du pape Innocent III, l'abbé Arnault, aurait proclamé : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ». Voir article Arnaud Amaury.)

La cathédrale de Béziers est reconstruite, Béziers intégrée au domaine royal en 1247. La ville est alors aux mains de trois pouvoirs : l'évêché, qui connaît son apogée au XVIe et au XVIIe siècle quand il est occupé par la famille des Bonsi, alliée aux Médicis, le consulat, créé à la fin du XIIe siècle, et enfin le roi, représenté par un viguier pour les affaires judiciaires, puis par un subdélégué de l'intendant à partir du XVIIe siècle.

Béziers n'est pas inquiétée pendant la guerre de Cent Ans.

[modifier] Renaissance

Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[2].

[modifier] Du XIIe siècle à la Révolution

Statue de Paul Riquet sur les allées
Statue de Paul Riquet sur les allées

Elle sert de base arrière pendant toutes les guerres de l'époque moderne : surtout contre les Habsbourg. Elle n’est réellement en danger qu'en 1710 quand les Britanniques, au cours de la guerre de succession d'Espagne (1701-1714), débarquent à Sète et poussent jusqu'à quelques kilomètres de Béziers avant d'être repoussés par le duc de Roquelaure. Béziers est par ailleurs au cœur de la révolte de Montmorency en 1632 : c'est là que se retrouvent Gaston d'Orléans et le gouverneur de la province au début de la rébellion, c'est là aussi que le roi, par l'édit de Béziers, en octobre 1632, supprime les privilèges de la province, rétablis en 1649.

Au cours du XVIIIe siècle, Béziers prospère, notamment grâce à la culture de la vigne qui lui permet d'être un important centre de négoce d'alcool. Au moment de la Révolution, la ville ne prend pas part au mouvement des fédéralistes.

[modifier] Depuis le XIXe siècle

En revanche, en 1851, Béziers est une des seules villes à se révolter contre le coup d'État du prince-président Louis-Napoléon Bonaparte. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, Béziers connaît son âge d'or , bientôt compromis par la crise de mévente du vin qui survient au début du XXe siècle. La région, touchée plus tard que les autres par le phylloxéra, n'aura pas trop à en souffrir car l'on sait déjà comment y remédier. Au cours du XIXe, la population passe de 15 000 à 50 000 habitants, la ville s'étend, des arènes sont construites, de grandes artères sont percées, de nombreux immeubles de style haussmannien élevés partout dans la ville, les allées Paul-Riquet dotées de luxueuses façades, d'un riche théâtre, sont fermées au sud par un étonnant parc à l'anglaise réalisé par les frères Bullher paysagistes (le plateau des Poètes) aux essences peu communes sous des latitudes méditerranéennes. De nombreux châteaux sont construits par les vignerons dans les environs, témoins d'une grande prospérité révolue. En 1907, Béziers est l'épicentre de la révolte des Vignerons, et des soldats mutins s'y installent avant d'être envoyés à Gafsa, en Tunisie.

Le quartier (ZUP) de La Devèze construit à la fin des années 60 et abritant environ 10 000 habitants, la barre Capendeguy, que l'on voit au premier plan, a été dynamitée le 27 janvier 2008
Le quartier (ZUP) de La Devèze construit à la fin des années 60 et abritant environ 10 000 habitants, la barre Capendeguy, que l'on voit au premier plan, a été dynamitée le 27 janvier 2008

Le 5 juillet 1944, la ville est bombardée par la 15th USAAF et des appareils de la mission Shuttle.

Après la Seconde Guerre mondiale sonne l'heure du déclin pour Béziers. D'abord la chute des prix du vin, puis la crise des industries classiques. Transformée par la construction de grands ensembles d'HLM (La Devèze) après l'arrivée des rapatriés d'Algérie, Béziers est alors tristement célèbre pour son taux de chômage. À partir du recensement de 1975, la population décline et passe de 80 000 à 70 000 habitants.

Pour autant, Béziers a bénéficié depuis les années 1960 de l'essor touristique du golfe du Lion. Les Biterrois peuvent poursuivre leurs études à Béziers depuis la création de l'IUT en 1992 et du centre universitaire en 1996. La ville connaît actuellement une nouvelle phase de développement associé à un nouvel essor démographique qui profite à l'ensemble de l'agglomération de Béziers, grâce notamment à l'arrivée de l'A75 (Clermont-Ferrand - Béziers) et une répercussion par ricochet de l'effervessence montpellieraine. La réhabilitation du centre historique et les grands projets d'aménagements urbanistiques sont les signes d'un nouveau départ. Depuis 2005, la municipalité, dans le cadre de l'ANRU, a lancé un grand chantier de restructuration du quartier populaire de la Devèze. Le 27 janvier 2008, la "barre Capendeguy", barre HLM de 500 logements construite en 1972, a été dynamitée.

[modifier] Administration

[modifier] Les maires de Béziers

La mairie de Béziers
La mairie de Béziers
Liste des maires successifs depuis 1953
Période Identité Parti Qualité
Depuis 1995 Raymond Couderc UDF puis DL puis UMP Professeur d'université
1989-1995 Alain Barrau PS Economiste
1983-1989 Georges Fontès PS puis RPR Directeur de la CPAM et URSSAF
1977-1983 Paul Balmigère PCF Ouvrier agricole
1967-1977 Pierre Brousse UDF-RAD Chargé de mission
1953-1967 Émile Claparède RAD Commerçant

[modifier] Les cantons

Le découpage des cantons dans Béziers
Le découpage des cantons dans Béziers

Béziers est chef-lieu de quatre cantons :

Les cantons de Béziers
Canton de Béziers-1 Canton de Béziers-2
Canton de Béziers-3 Canton de Béziers-4
Autres cantons de l'Hérault


[modifier] Justice

Béziers est le siège d'un tribunal d'instance et d'un tribunal de grande instance.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
12 501 14 535 14 565 16 140 16 679 16 233 18 874 19 596 19 333
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
23 557 24 270 27 722 31 468 38 227 42 915 42 785 45 475 48 012
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
52 310 52 268 51 042 56 008 65 754 71 527 73 305 64 561 64 929
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2007 -
73 528 80 481 84 029 76 647 70 996 69 153 72 400 [3] 76 000 [4] -
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Sources:[5]-[6]

[modifier] Éducation

[modifier] Enseignement primaire

Près de 4 000 enfants sont inscrits dans les écoles primaires de la ville. (27 écoles maternelles dont 6 privées, 28 écoles élémentaires dont 6 privées)

[modifier] Enseignement secondaire

Béziers compte 8 collèges dont 3 privés et 5 lycées dont 2 privé.

[modifier] Enseignement supérieur

L'antenne de l’université Paul-Valéry (centre Duguesclin)
L'antenne de l’université Paul-Valéry (centre Duguesclin)
L'Institut Universitaire de Technologie de Béziers (IUT Béziers)
L'Institut Universitaire de Technologie de Béziers (IUT Béziers)

Avec l’IUT de Béziers (Université Montpellier 2) et plusieurs STS/BTS (lycées Jean-Moulin et La Trinité et Henri-IV), et le développement du Site universitaire Du Guesclin (université Paul-Valéry, Montpellier 3), Béziers compte aujourd'hui plus de 1 500 étudiants mais ne bénéficie pas encore de toutes les infrastructures d'une ville étudiante : restaurant universitaire privé, pas de cité universitaire, absence de nombreux services universitaires de vie étudiante (SCUIO, SCAC, etc.), absence palliée en partie par les activités du service jeunesse de l'agora. Le CIRDOC, Centre d'études occitanes, est le plus important centre de recherches sur l'Occitanie du sud de la France.

[modifier] Économie

Béziers est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Béziers - Saint-Pons.

[modifier] Transports

Béziers est desservi par l'aéroport de Béziers - Cap d'Agde en Languedoc.

[modifier] Célèbres natifs de Béziers

[modifier] Monuments et lieux touristiques

L'église de la Madeleine
L'église de la Madeleine
  • La cathédrale Saint-Nazaire : située sur les hauteurs de la ville, elle occupe un site des plus pittoresques, visible de loin lorsqu'on arrive à Béziers par la route de Narbonne. Exemple remarquable du gothique « méridional » du XIVe siècle, voûtes s'élevant à plus de 30m, exceptionnel travail de ferronnerie des grilles de protection extérieures des vitraux (XIVe); maître autel imposant surmonté d'une gloire et magnifique buffet d'orgues (XVIIe et XVIIIe siècles). Cloître attenant et charmant jardin des évêques surplombant le faubourg. À voir aussi de nombreuses façades des XVIe au XVIIIe siècles et hôtels particuliers dans le centre historique.
  • Le plateau des poètes XIXe 1867 : ce vaste parc à l'anglaise aménagé par les frères Bullher paysagistes, contenant de nombreuses statues de poètes et la monumentale "statue-cascade" du Titan par Injalbert, relie la gare aux allées Paul Riquet où se trouve la grande statue en bronze du génial créateur du canal du Midi (Pierre-Paul Riquet) par le sculpteur David D'Angers. David d'Angers qui a également réalisé les bas reliefs qui ornent la façade néo-classique du théâtre municipal à l'italienne en haut des ces mêmes allées( 1844).
  • Les arènes : Béziers compte deux arènes : l'une datant de l'époque romaine,dont les structures et soubassements sont réhabilitées après de longs travaux, située dans le quartier Saint-Jacques (voir Arènes romaines de Béziers), et l'autre construite à la fin du XIXe siècle sur le modèle des arènes espagnoles par Fernand Castelbon de Beauxhostes mécène féru de théâtre et d'art lyrique (voir Les Arènes de Béziers) . Des artistes de passage dans la ville y produisent des concerts et des corridas sont organisées pendant les festivités de la Féria d'août.
  • Le musée des Beaux-Arts, situé dans les hôtels particuliers Fabrégat et Fayet et fondé en 1859, il reçoit en 1934 la donation de la veuve de Jean-Antoine Injalbert, sculpteur connu pour son œuvre monumentale ( nombreuses réalisations en ville et dans toute la région ), ainsi que des dessins et la collection d'art de Jean Moulin en 1975. Il expose également des toiles de Géricault, de Vincent van Gogh, Chaïm Soutine
  • Le musée Saint-Jacques, installé dans une ancienne caserne, présente des collections sur la vie biterroise.

Autres sites et monuments :

  • Le canal du Midi XVIIe :
  • Le pont canal
  • Les écluses de Fonserannes
  • Le jardin de la Plantade.
  • Le moulin de Cordier, ou moulin de Bagnols.
  • L'église Saint-Jacques.
  • L'église Saint-Aphrodise.
  • L'église de la Madeleine.
  • L'église Saint Jude.
  • L'église de l'Immaculée Conception.
  • Le quartier du Capnau.
  • L'île de Tabarka, sur l'Orb .
  • Le théâtre municipale (XIX°)
  • L'ancien théâtre Art Nouveau des Variétés.
  • Les grandes halles (fin XIXe).
  • Le Domaine de Bayssan (Sortie Ouest)
  • La Chapelle du Jardin Notre Dame (XVIIIe)
  • La Chapelle des Pénitents Bleus (XXVIIIe)

[modifier] Sport

La ville de Béziers fut pendant de nombreuses années la capitale française du rugby. En effet, l'ASBH remporta 11 titres de champion de France entre 1961 et 1984. Depuis, le club connaît des succès divers, naviguant entre le Top 14 et la Pro D2. Le club évolue au stade de la Méditerranée. Malgré cette perte de domination, l'ASBH a pu bénéficier pendant plusieurs années d'un excellent centre de formation.

Mais Béziers est aussi présent dans d'autres sports, comme par exemple le volley-ball, avec l'équipe féminine qui joue tous les ans les premiers rôles en championnat élite. On peut également citer le club de football créé en 2007 (par le rapprochement avec l'équipe de Saint Chinian), l'AS Béziers, qui évolue en CFA 2 (5e division) pour la saison 2007-2008. Également le tennis avec le jeune Richard Gasquet, originaire de Sérignan et chaque année le tournoi des As organisé dans les arènes.


[modifier] Jumelages

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et sources

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Béziers.

  1. référence,Dominique Garcia, La Celtique méditerranéenne. Habitats et sociétés en Languedoc et en Provence. VIIIe-IIe siècles av. J.-C., éditions Errance, Paris, 2004, (ISBN 2877722864)
  2. Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980, (ISBN 27274207858), p 255
  3. INSEE: Résultats des enquêtes annuelles de recensement de 2004 à 2006 pour les grandes villes
  4. midi libre du 14 avril 2008
  5. Evolution de la population d'une commune avant le recensement de 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales
  6. INSEE: Evolution de la population d'une commune depuis le recensement de 1962 : population sans double comptes et nombre de résidences principales