Wikipédia:AccueilLumièreSur/février 2007

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

janvier 2007 Mettre à jour le cache mars 2007
Raccourci [+]
WP:LS

Cette page et ses sous-pages mensuelles sont consacrées à l’organisation et à la maintenance du cadre Lumière sur… de la page d’accueil.

Celui-ci est rempli par l’appel de {{Wikipédia:AccueilLumièreSur/{{CURRENTDAY}} {{CURRENTMONTHNAME}} {{CURRENTYEAR}}}} (ce qui signifie que son contenu est celui du Wikipédia:AccueilLumièreSur/date, où date est la date du jour courant (heure UTC)). La fréquence de renouvellement des cadres est quotidienne.

  • Les articles présentés dans les différents cadres sont uniquement ceux promus aux labels « Articles de qualité » et « Bon article ».
  • Évitez de mettre plus de 500 caractères/100 mots dans les cadres afin de maintenir l’équilibre des colonnes sur la page d’accueil où ces cadres sont transclus. Si nécessaire, ajoutez à la fin le code {{clr}} afin d’éviter que l’éventuelle image ne déborde du cadre.

Préparation du calendrier pour février 2007

Articles « Lumière sur... » à paraître sur l’accueil du mois de février 2007 :

1er et 2 février 2007

Un goban

Le jeu de go (碁 ou 囲碁 : igo en japonais) est un jeu de stratégie combinatoire abstrait, le plus ancien connu à ce jour.

Il fut inventé en Chine environ 2 000 ans avant le début de l'ère chrétienne. De nos jours, on y joue essentiellement en Chine (où il est appelé 圍棋 pinyin : wéiqí, Wade-Giles : wei-ch'i), en Corée (où son nom est 바둑 baduk ou paduk), et au Japon (où il se nomme go, ou igo) où il est un jeu majeur depuis l'époque du shogun Tokugawa. Dans le reste du monde, sa popularité a constamment augmenté au cours des dernières décennies. Son succès tient à la simplicité de ses règles, permettant néanmoins une grande richesse de jeu.

Un proverbe de go dit qu'on n'y a jamais joué deux fois la même partie. Cela pourrait bien être vrai : sur un goban de 19 intersections par 19, il y a environ 4,63×10170 positions possibles ; le nombre de parties légales possibles est donc inimaginablement grand. Bien entendu, comme certains coups sont de toute évidence très mauvais, le nombre de parties plausibles est très inférieur, bien qu'impossible à déterminer mathématiquement.

Lire l'article

3 et 4 février 2007

Commune de la Seine-Saint-Denis (93)
Localisation du département en France
Localisation de la ville dans le département
Livry vers 1870 - Carte de France dite d’État-Major


Livry-Gargan est une ville française, située dans le département de la Seine-Saint-Denis (anciennement Seine-et-Oise) et la région Île-de-France, à environ douze kilomètres au nord-est de Paris. Livry-Gargan a une population d’environ quarante mille habitants (estimation 2004). Ses habitants sont appelés les Livryen(ne)s.

Lieu de séjour de Madame de Sévigné à l’abbaye de Livry durant le XVIIe siècle, la commune qui a connu une forte urbanisation pavillonnaire depuis 1875 est devenue de nos jours une ville résidentielle.

Livry-Gargan s’étend sur 738 hectares, soit environ cinq kilomètres du sud-ouest au nord-est (des Pavillons-sous-Bois à Vaujours) sur 2,8 kilomètres du nord-ouest au sud-est (d’Aulnay-sous-Bois à Clichy-sous-Bois). La commune est bâtie sur le flanc septentrional du coteau gypseux portant la forêt de Bondy et s’étend au nord vers la partie méridionale de la plaine de France, aujourd’hui largement urbanisée.

5 et 6 février 2007

Une illustration du principe de l'avantage comparatif, dans un cas fictif confrontant deux groupes d'individus, dont un groupe est plus efficace que l'autre dans les deux types de production envisagés (le fromage et le vin). La spécialisation de chacun des groupes dans la production pour laquelle ils disposent d'un avantage comparatif et le recours au libre-échange profittent à chacun d'entre eux.
En économie, l'avantage comparatif est le concept principal de la théorie traditionnelle du commerce international. Il a été approché par Robert Torrens en 1815, et démontré pour la première fois par l’économiste britannique David Ricardo en 1817 dans ses Principes de l’économie politique et de l’impôt. La théorie associée à l’avantage comparatif explique que, dans un contexte de libre-échange, chaque pays, s’il se spécialise dans la production pour laquelle il dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible, comparativement à ses partenaires, accroîtra sa richesse nationale. Cette production est celle pour laquelle il détient un « avantage comparatif ».

En d’autres termes, la conclusion principale de cette théorie est que l’obtention d’un gain à l’ouverture au commerce étranger est, toujours et indépendamment de la compétitivité nationale, assurée. Il s’agit de l’argument principal des théoriciens du libre-échange contre le protectionnisme, car il réfute l’idée reçue selon laquelle le commerce international ne bénéficie pas aux nations les moins compétitives.

7 et 8 février 2007

Ahmad Jamal

Ahmad Jamal (Frederick Russell Jones, né le 2 juillet 1930) est un pianiste et un compositeur de jazz américain.

Peu considéré par les critiques dans sa jeunesse, il connaît aujourd’hui la situation inverse : peu connu du grand public, il jouit d’une réputation considérable de la part des acteurs de la scène jazz actuelle, qui n’ont de cesse de l’affubler des plus respectueux surnoms : « l’architecte, » «le prophète, » « Ahmad le magnifique, » « le prestidigitateur du piano, » « le maître, » « le monstre aux deux mains droites. »

Ahmad Jamal est né le 2 juillet 1930 à Pittsburgh, Pennsylvanie. Sa famille est très modeste : son père travaille dans une aciérie, sa mère fait des ménages. C’est pourtant elle qui achètera le piano sur lequel le jeune Frederick fera ses débuts.

Pittsburgh a vu naître à cette époque de très nombreux jazzmen dont beaucoup furent des musiciens précoces (on peut notamment citer le cas d’Erroll Garner, voisin de la famille Jones - leurs mères étaient amies - qui débuta à l’âge de 2 ans) : ce sera le cas du jeune Frederick.

Lire l’article

9 et 10 février 2007

Louise Michel

Louise Michel (29 mai 1830, 9 janvier 1905) alias Enjolras est une militante anarchiste, un des personnages principaux de la Commune de Paris, première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement anarchiste.

Louise Michel est née le 29 mai 1830 en Haute-Marne au château de Vroncourt, fille d’un châtelain (plus vraisemblablement de son fils) et de sa servante, Marianne Michel. Elle grandit dans la famille de ceux qu’elle appelle ses grands-parents, où elle semble avoir été heureuse, se montrant, très jeune, altruiste par nature avec son entourage, et où elle reçoit une bonne instruction et une éducation libérale.

Elle poursuit ensuite des études à Chaumont où elle obtient le brevet de capacité permettant d’exercer la profession d’institutrice. Mais elle refuse de prêter serment à l’Empire, et crée une école libre où elle enseigne durant trois années selon des principes républicains qui lui valent quelques réprimandes de la part des autorités.

Lire l’article

11 et 12 février 2007

Métro de New York


Le Parc national de la Vallée de la mort (en anglais : Death Valley National Park) est situé à l’est de la Sierra Nevada en Californie et s’étend en partie au Nevada. Il contient le plus grand relief désertique de la partie continentale des États-Unis. Le fond de la vallée est à plus de 90 mètres sous le niveau de la mer, alors que le mont Whitney, situé à 50 kilomètres à peine, s’élève à plus de 4 400 mètres. C’est un des endroits les plus chauds de l’Amérique du Nord. Le 10 juillet 1913, un record de 56,7 °C a été mesuré à Badwater, ce qui restait — encore en 2007 — le record absolu de chaleur aux États-Unis. Le parc attire chaque année des milliers de touristes.

Le cœur du parc, nommé Death Valley National Monument, a été créé en 1933 et a été promu au rang de parc national en 1994, puis a été significativement étendu. En plus de la partie centrale du parc, une petite portion, nommée le Trou du Diable (ou Devil’s Hole) est située plus loin à l’Est au Nevada, près de la réserve naturelle d’Ash Meadows (Ash Meadows National Wildlife Preserve).

13 et 14 février 2007

Logo d’Arsenal FC

Arsenal (nom complet Arsenal Football Club, également connu sous le nom de The Arsenal ou The Gunners) est un club de football anglais fondé en 1886 et qui évolue dans le championnat d’Angleterre.

Arsenal a gagné 13 championnats, 10 coupes d’Angleterre, une Coupe des coupes et une Coupe UEFA, mais ne compte encore aucun succès en Ligue des Champions, malgré une finale en 2006, la première pour un club londonien.

Établi depuis 1913 dans le stade de Highbury situé dans le nord de Londres, le club s’est installé en 2006 dans une toute nouvelle enceinte de 60 000 places : l’Emirates Stadium, à Ashburton Grove.

Lire l’article

15 et 16 février 2007

Un chinchilla domestique.

Le genre Chinchilla, regroupe de petits rongeurs nocturnes de taille moyenne de la famille des Chinchillidae, proches des Viscaches et originaires comme celles-ci de la Cordillère des Andes en Amérique du Sud.

Bien que très proches d’aspect et de mœurs, on distingue plusieurs espèces du genre Chinchilla ainsi que des variétés domestiques hybrides. Les espèces actuellement connues sont des animaux d’Amérique du Sud devenus très rares. Toutes deux sont des espèces protégées :

Bien qu'également domestiqué originellement pour fournir de la nourriture, les spécimens élevés ne le sont plus que pour leur fourrure soyeuse.

17 et 18 février 2007

Quelques lettres coiffées avec l’accent circonflexe, utilisées en français.

L’accent circonflexe est l’un des cinq diacritiques utilisés en français. Cet accent vient alors coiffer les voyelles a, e, i, o et u.

Il a trois fonctions principales en français, qui ne s’excluent pas :

  • il précise la prononciation ouverte ou fermée d’un a, d’un e ou d’un o ;
  • il indique l’amuïssement d’une ancienne lettre (lequel peut encore être parfois marqué phonétiquement par l’allongement de la voyelle) ;
  • il sert, fortuitement, de signe discriminant (c’est donc un diacritique au sens étymologique) permettant de distinguer des homophones.

Dans certains cas, le circonflexe n’a aucun rôle linguistique précis.

Lire l’article

19 et 20 février 2007

Distribution ethno-religieuse en Iran

L'Iran (en persan : ايران, Irān), dont le nom officiel est République islamique d’Iran (en persan : جمهوری اسلامی ايراﻥ, Jomhūrī-ye Eslāmī-ye Īrān), est une république islamique d’Asie occidentale (ou centrale). Sa capitale est Téhéran (ou Tehrān), sa langue officielle le persan et sa monnaie le rial. Le calendrier officiel est le calendrier persan.

Le pays a une superficie de 1 648 195 km² et une population de près de 70 millions d’habitants. Avec un produit national brut de 570 milliards de dollars en 2005, il constitue la deuxième économie de la région. Son produit intérieur brut par habitant s’élève à 8400 dollars. L'Iran est le 4e producteur de pétrole au monde et le 2e exportateur de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Il dispose aussi de la deuxième plus grande réserve en gaz naturel, après la Russie, et en est le 8e producteur.

Lire l'article

21 et 22 février 2007

Toilette japonaise à jet d'eau

On trouve couramment trois types de toilettes au Japon. Le modèle plus ancien consiste en de simples toilettes au-dessus desquelles on s'accroupit (sorte de toilettes turques inversées). Il reste fréquent dans les toilettes publiques. Après la Seconde Guerre mondiale, le modèle moderne occidental des toilettes à chasse d'eau et les urinoirs ont commencé à apparaître. Plus récemment sont apparues les toilettes à bidet, qui en 2004 étaient installées dans plus de la moitié des foyers japonais. Au Japon, ces bidets sont couramment appelés washlets (ウォシュレット), nom commercial appartenant à TOTO, une entreprise basée à Kitakyūshū. Ces toilettes incluent de nombreuses fonctionnalités avancées — jet d'eau, ventilation — rarement rencontrées à l'extérieur du Japon.

Lire l'article

23 et 24 février 2007

Philippe II dit Philippe Auguste, né le 21 août 1165 à Gonesse, mort à Mantes-la-Jolie le 14 juillet 1223, est le septième roi de la dynastie dite des Capétiens directs. Il est le fils héritier de Louis VII dit le Jeune et d'Adèle de Champagne.

Le surnom d'Auguste qu'on lui donna de son vivant, est une référence directe au titre antique, quoique d'autres interprétations aient été fournies sous son règne : il peut rappeler le mois de sa naissance, ou encore le verbe latin augere qui signifie « augmenter », « faire croître ». Ce surnom aurait en effet pu lui être donné quand il ajouta au domaine royal en juillet 1185 (Traité de Boves) les seigneuries d’Artois, du Valois, d’Amiens et d'une bonne partie du Vermandois.

Philippe Auguste reste l'un des monarques les plus admirés et étudiés de la France médiévale, en raison non seulement de la longueur de son règne, mais aussi de ses importantes victoires militaires et des progrès essentiels accomplis pour affermir le pouvoir royal et mettre fin à l'époque féodale.

Lire l'article

25 et 26 février 2007

La Sonate pour piano no 32 en ut mineur, opus 111, de Ludwig van Beethoven, a été composée entre 1820 et 1822. Dernière sonate du compositeur, elle est, avec les 33 Variations sur une valse de Diabelli opus 120 (1823) et les deux recueils de Bagatelles opus 119 (1822) et 126 (1824), une des dernières œuvres pour piano de Beethoven. Son second mouvement, une Arietta à variations d'une haute spiritualité, est parfois surnommé « l'adieu à la sonate ».

Beethoven a conçu le plan de ses trois dernières sonates pour piano (op. 109, 110 et 111) au cours de l'été 1820, tandis qu'il travaillait à la Missa Solemnis. La composition de la sonate opus 111 a représenté un travail long et complexe. Bien que l'œuvre n'ait été sérieusement ébauchée qu'à partir de 1819, le fameux premier thème de l’allegro ed appassionato a été retrouvé dans un cahier d'esquisses de 1801, contemporain de la Deuxième Symphonie. L’Arietta résulte, elle aussi, d'un travail de recherche thématique considérable. Les esquisses retrouvées semblent indiquer que c'est à partir du moment où le second mouvement prend véritablement forme que Beethoven abandonne l'idée d'un troisième, la sonate lui apparaissant alors construite de façon idéale.

Lire l'article

27 et 28 février 2007

La clarinette est un instrument de musique de la famille des bois à anche simple. Elle a été créée vers 1700 par Johann Christophe Denner (1665-1707) à Nuremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le « chalumeau ». La clarinette en Si b (bémol) en est le modèle le plus commun.

La clarinette est à perce cylindrique, ce qui la distingue du hautbois et du saxophone, tous deux à perce conique, et lui confère une aptitude au quintoiement[1]. Son timbre chaud dans le registre grave, peut s'avérer extrêmement brillant voire agressif dans l'aigu.

De tous les instruments à vent, elle est celui qui possède la plus grande étendue (ou tessiture) avec 3 octaves plus une sixte mineure soit 45 notes en tout. Elle se décline en une famille d'instruments presque tous transpositeurs, depuis la clarinette basse, jusqu'à la clarinette sopranino, couvrant ainsi toute l'étendue d'un orchestre symphonique. Excepté les percussions, la clarinette est l'instrument qui possède la plus grande famille.

Lire l'article

Autres langues