Chièvres
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Chièvres | |||
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Géographie | |||
Pays | Belgique | ||
Région | Région wallonne | ||
Communauté | Communauté française | ||
Province | Province de Hainaut | ||
Arrondissement | Ath | ||
Coordonnées | |||
Superficie | 46.91 km² | ||
Données sociologiques (source : statbel.fgov.be) | |||
Population – Hommes – Femmes Densité |
6.198 (01/01/2006) 49,11% 50,89% 132 hab./km² |
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Pyramide des âges – 0–19 ans – 20–64 ans – 65 ans et + |
(01/01/2004) 22,55% 60,75% 16,75% |
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Étrangers | 189 (01/07/2005) | ||
Économie | |||
Taux de chômage | 13,60 (01/01/2006) | ||
Revenu annuel moyen | 12.248€/hab. (2003) | ||
Politique | |||
Bourgmestre | Michel Miroir | ||
Majorité | PS | ||
Sièges PS MR UNION |
17 9 5 3 |
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Sections de commune | |||
Section | Code postal | ||
Chièvres Grosage Huissignies Ladeuze Tongre-Saint-Martin Tongre-Notre-Dame |
7950 7950 7950 7950 7950 7951 |
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Autres informations | |||
Gentilé | Chièvrois(e) | ||
Zone téléphonique | 068 | ||
Code INS | 51014 | ||
Site officiel | www.chievres.be |
Chièvres (en wallon Chieve) est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut.
Sommaire |
[modifier] Toponymie
Le nom « Chièvres » est dérivé du latin Cervia, c'est-à-dire Parc aux cerfs, ou même plutôt aux biches. Cette graphie apparaît vers 869-75.
On trouve plus tard
- – Scirvia (1093-1110) ;
- – Cirvia (1127) ;
- – Cirve (1194, dans la charte-loi) ;
- – Chilvia (1200)- Chirvia (1210).
« Chievres » est moderne. La forme est apparue dans le dernier quart du XVIe siècle, et s'est généralisée au XVIIe siècle.
[modifier] Situation
Chièvres est située près de la grande route de Ath à Mons; à 6 km d'Ath et à 18 km de Mons.
Terrain presque uni; sol argileux. Altitude de 52.2 m au seuil de l'église. Point culminant : 80 m au hameau de Vaudignies.
Cours d'eau : au nord, la Dendre, affluent de l'Escaut; la Hunelle et le canal d'Ath à Blaton.
[modifier] Histoire
[modifier] Un domaine gallo-romain et un alleu médiéval
Le site de Chièvres fut certainement occupé par les Romains (notamment au hameau de la Neufville, aux environs de la ladrerie). Des indices nous permettent de penser qu'il était habité à l'époque mérovingienne.
Chièvres est citée pour la première fois dans la Translatio et Miracula SS. Marcellini et Petri, d'Éginhard (830). On y trouve la mention « de villa Cervo ».
Sous Charles le Chauve (869-875), Chièvres jouissait du droit de battre monnaie au nom du roi. On connaît au moins une pièce d'un denier, datée de 877, où l'on peut lire l'inscription « + CERVIA MONETA » (moneta était le terme utilisé pour désigner une ville frappant monnaie).
Jusqu'à la fin du XIIe siècle, Chièvres est un vaste alleu, propriété d'un important lignage connu depuis au moins 936 (Egbert de Chièvres). Les premiers membres de cette noble famille, probablement apparentée aux comtes de Hainaut, sont mal connus. La dernière héritière de la famille, qui est aussi la plus connue est Ève de Chièvres.
En 1076, Chièvres est une des douze pairies du Hainaut
[modifier] Le stade pré-urbain
En 1180, à la mort d'Eve de Chièvres, les familles de Gavre et de Rumigny présidérent aux destinées de la ville de Chièvres.
Une première enceinte urbaine réduite est édifiée en 1181 et il existe un tonlieu sur des marchandises en 1186.
Nicolas de Rumigny, second fils de Hugues de Fagnolle, fut seigneur de Chièvres en partie ; il fut l'un des chefs du parti des Ronds. Il mourut sans postérité, laissant sa terre de Chièvres à son neveu Nicolas le Bègue. Celui-ci la vendit à son cousin Jean d'Avesnes, comte de Hainaut le 7 décembre 1289.
[modifier] La « bonne ville »
Dotée d'une charte-loi [1]" (1194) qui lui accorde un statut juridique privilégié, Chièvres est désormais une « franche ville » du comté de Hainaut. La taille de 92 livres, qui était perçue à la Saint-Rémy (ler octobre), subsista longtemps, au moins jusqu'au XVIIIe siècle.
Chièvres va évoluer vers le stade urbain. Un marché du mardi est attesté depuis 1336. Une foire aux chevaux est établie en 1363. La ville compte 470 foyers (1365). Entre 1366 et 1388, la ville reçoit une seconde enceinte urbaine et est défendue par des archers et des [arbalétrier]]s (attesté en 1382).
La nouvelle draperie (1389) apporte la prospérité. On constate l'existence de nombreux métiers et la présence de Lombards à la halle au grains.
En 1406, Chièvres devient une des « bonnes villes » du Hainaut.
1411 voit l'affranchissement des bâtards et des aubains de la mortemain.
La ville est admise aux Etats du Hainaut en 1413.
[modifier] Le déclin
C'est à ce moment que les calamités s'abattent sur la ville : la peste de 1414, trois incendies (1439,1459 et 1476). Deux tiers des maisons sont détruites, la draperie disparaît, la pauvreté fait son apparition. Chièvres retourne petit à petit au stade rural, d'autant plus qu'Ath polarise toute l'activité économique de l'époque.
En 1430, la duchesse Jacqueline de Bavière cède sa part de Chièvres à Antoine de Croy, premier chambelan du duc de Bourgogne. Celui-ci achete au duc d'Orléans une moitié de la ville de Chièvres et, en 1473, l'autre moitié lui fut donnée par le duc de Bourgogne. C'est ainsi que Chièvres entra dans la maison de Croÿ.
La terre de Chièvres passa dans la maison d'Egmont par le mariage, en 1659, de Marie Fernande de Croy, chanoinesse de Sainte-Waudru, à Mons, avec Philippe Lamoral, comte d'Egmont, lequel mourut en 1682.
Ensuite cette seigneurie appartint à le famille de Pignatelli, dont un membre Nicolas Pignatelli avait épousé Marie-Claire Angélique d'Egmont. En 1714, Procope Marie d'Egmont-Pignatelli en hérite.
Les nombreuses guerres du XVIIe siècle, avec les incendies, les réquisitions, les contributions de guerre, le logement des soldats, achèvent de ruiner la localité. Sa population passe de 1304 habitants en 1636 à 858 dès 1660. Vauban envisagea de la fortifier mais le projet ne sera jamais réalisé.
En 1789 (révolution française), la seigneurie de Chièvres cessa d'exister et les biens furent vendus à divers particuliers.
La fin du XVIIIe siècle apporte une certaine stabilité. En 1798, la population est de 2 115 habitants pour une superficie de 2 160 ha.
Chièvres est vouée à l'agriculture et l'élevage et ne porte plus de ville que le nom, en « considération de sa fortune passée » (arrêté royal de 1825).
Aujourd'hui, encore, petit centre commercial, malgré la présence de la base militaire de l'OTAN, l'activité économique est réduite et ne rappelle que faiblement la gloire passée de la cité.
[modifier] Curiosités et musées
- L'église Saint-Martin
- Les remparts et la tour de Gavre
- La chapelle Saint-Jean-Baptiste
- La chapelle Notre-Dame de la Fontaine
- La ladrerie
La ladrerie de Chièvres.
La lèpre fut rapportée par les croisés et sévit surtout du XIe au XVIe siècle. On l'appelait communément le Mal saint Ladre La personne atteinte de ce mal était exclue de la société et était tenue à l'écart dans un asile. Vers 1126, Eve de Chièvres créa cet asile en dehors de la ville. Il consistait en de vastes bâtiments avec chapelle et cimetière. Des religieux étaient établis pour l'entretien des lépreux. Dans cette chapelle étaient célébrées trois messes par semaine mais cet n'étaient pas suffisant pour soigner les malades. Des papes de l'époque lui accordèrent des privilèges. En 1711, l'ancienne ladrerie fut mise en locations puisqu'il n'y avaient plus de lépreux et que les trois messes pouvaient être dites en l'église paroissiale. Les revenus de cet établissement ainsi que les terres, la ferme, la grange étaient consacrés aux communs pauvres de la ville de Chièvres. La chapelle fut restaurée à la fin des XIXe et XXe siècles. Elle est composée d'une nef romane du XIIe siècle et d'un chœur ogival du XIIIe siècle. |
- Le musée international de la base aérienne de Chièvres
- La ferme de Calbreucq
- À Huissignies : le musée de la vie rurale
- À Grosage : le petit musée du pain
- À Huissignies : le château Malaise
[modifier] Les traditions
- Le crossage a l'tonne du mercredi des cendres
- La procession du pèlerin
- La ducasse à l'berdouille de Huissignies
[modifier] Personnalités
- Ève de Chièvres
- Gilles de Chin
- Gérard Le Rond
- Dudley Gordon (1883-1972), libérateur de la ville en 1918
- Émilie Dequenne (1981-) Actrice, comédienne. Elle a vécu à Vaudignies dans l'entité de Chièvres
[modifier] Vaudignies
Vaudignies (anciennement : Waudignies ,1290), vulgairement Augenies est un hameau de Chièvres situé sur la route allant à Saint-Ghislain. Son nom pourrait venir de : habitation de Waude ou Waudin ou aussi de Waldiniacum, demeure de Waldin ou de Waldiniacas, habitation du franc Waldo, de même que Waudignies, France , département du Nord. J.Dewert donne à ce mot le sens de maison du bois. Si Vaudignies était déjà un hameau de Chièvres avant la fusion des communes, le village devint une paroisse à part entière en 1871.La paroisse Saint-Philippe fut desservie par les religieux de l'ordre des Prémontrés jusqu'en 1931.
[modifier] Histoire religieuse
L'église de Chièvres faisait jadis partie du diocése de Cambrai. En 1108, son autel fut donné à l'abbaye d' Eename par Odon , évêque de Cambrai. Nicolas de Chièvres, fils de Ide de Chièvres, fut évêque de Cambrai.
Le doyenné de Chièvres était fort étendu au XVe siècle; il comportait prés de 80 paroisses parmi lesquelles : Ath, Belœil, Condé (France), Flobecq, Herchies, Lessines, Sirault, Soignies,... En 1559, plusieurs de ces paroisses furent détachées du doyenné de Chièvres pour former le décanat de Lessines.
En 1802, le nouveau doyenné de Chièvres fut formé des paroisses de : Arbre, Attre, Blicquy, Brugelette, Chièvres, Fouleng, Gages, Gibecq, Gondregnies, Grosage, Husseignies, Irchonwelz, Maffles, Mévergnies, Moulbaix, Ormeignies, Tongre-Notre-Dame, Tongre-Saint-Martin avec Ladeuze, Villers-Saint-Amand avec Villers-Notre-Dame.
Aujourd'hui, le doyenné de Chièvres est formé des paroisses de : Attre, Brugelette, Chièvres, Gages, Gondregnies, Grosage, Huissignies, Ladeuze, Mévergnies, Tongre-Notre-Dame, Tongre-Saint-Martin, Vaudignies et relève du diocèse de Tournai.
[modifier] Histoire de l'aérodrome
Dans les derniers mois de 1917, l'aviation allemande avait commencé à construire un aérodrome à Chièvres. Les appareils de l'époque étant peu exigeants, un simple terrain plat suffisait à leur décollage et leur atterrissage.
Pendant l'hiver 1939-1940, les Belges remirent en état le champ d'aviation de Chièvres.
Dès le 20 mai 1940, les Allemands, qui se souviennent de leur initiative de 1914-1918, reprennent le même projet et rendent opérationnel l'aérodrome de Chièvres. Rapidement, il s'étend sur 500 hectares pour atteindre, en 1944, 1500 hectares. Les pistes en béton au nombre de deux ont 56 m de large et 2 km de longueur. Dans l'axe des pistes d'envol, les Allemands font couper le dessus des toits des maisons environnantes, les avions lourdement chargés( bombes et carburant) avaient beaucoup de peine à prendre de l'altitude. De plus, les Allemands établissent une ligne ferrée partant de la station de Mévergnies. L'ennemi construit également des hangars et des casernes. Une très grande citerne pour carburant est amenée sur la place de Chièvres. Elle ne put passer par la Grand-Place vers l'aérodrome et fut enterrée sur la place même. En juillet 1944, la base est la première de Belgique a recevoir la visite d'avions à réaction allemands.
En septembre 1944, tous les avions allemands quittent Chièvres et, le lendemain, deux avions de la R.A.F. s'y posent. Les alliés l'occupent jusqu'en 1947.
Le 6 mars 1947, l'aviation militaire belge reprend la base aérienne de Chièvres. Signalons la présence de la patrouille acrobatique "Les Diables Rouges" à Chièvres pendant plusieurs années.
Le 1 janvier 1968, la base de Chièvres est cédée au SHAPE.
L'aérodrome posséde un code AITA :CHE.
[modifier] Liens extérieurs
- Site officiel de la commune
- La charte-loi de Chièvres
- Site de Vaudignies,hameau de Chièvres
[modifier] Sources bibliographiques
- M.-A. ARNOULD, Le plus ancien acte en langue d'oïl : la charte-loi de Chièvres (1194), dans Hommage au professeur Bonnenfant. Etudes d'histoire médiévale dédiées à sa mémoire par les anciens élèves de son séminaire à l'Université Libre de Bruxelles, Bruxelles, 1965, pp. 85-118
- M.-A. ARNOULD, La Ville de Chièvres et sa draperie (XIVème-XVIème siècles), dans Annales du Cercle archéologique d’Ath …, Tome XXIX, 1943 ; 2ème édition complétée dans le Bulletin scientifique de l'Institut supérieur de commerce de la Province de Hainaut, Tome II, 1954, pp. 48-87
- P, BAUWENS, Chièvres, " Bonne ville " du Hainaut, Duculot, Gembloux, s.d. [1972]
- P. BAUWENS, La population des paroisses de Chièvres et de Grosage aux XVIIème et XVIIIème Siècles (1607-1798), dans Annales du Cercle d'archéologie d'Ath…, Tome XLII, 1967-1969
- F. BELS, Les mesures anciennes usitées dans les localités de l'entité de Chièvres sous l'Ancien Régime, dans Bulletin du Cercle d'histoire et d'archéologie d'Ath…, vol.4, n° 67, 1979, pp. 2-7
- H. BREMEN, L'Aumône des pauvres à Chièvres aux XVIIème et XVIIIème siècles. Contribution à l'histoire de l'assistance publique, U.L.B., mémoire de licence, 1957
- Claire BRONCHART et Daniel LECLERCQ, 1194 - 1994, Il y a 800 ans … La charte-loi de Chièvres, Bibliothèque communale, Chièvres, 1994
- N. DELHAYE, Les Finances de la ville de Chièvres au XVIIIème siècle, U.L.B., mémoire de licence, 1965
- J. DELMELLE, Chièvres et ses souvenirs, dans Hainaut Tourisme, n° 164, 1974, pp. 93-97
- L. DEVILLERS, Notice historique et archéologique sur la ville de Chièvres, dans Annales du Cercle archéologique de Mons, Tome VII, 1867, pp. 165-209
- M. de WAHA, L'apparition des fortifications seigneuriales à enceinte en Hainaut belge aux XIIème et XIIème siècles, dans Recueil d'études d'histoire hainuyère offertes à M.-A. ARNOULD, édité par J.-M. CAUCHIES et J.-M. DUVOSQUEL, Analectes d'Histoire du Hainaut, Mons, 1983, Tome 1, pp. 117-138
- M. de WAHA et J. DUGNOILLE, Chièvres, dans Les Enceintes urbaines en Hainaut, Crédit Communal de Belgique, s.l., 1983
- J.-P. DUCASTELLE, Chièvres n'a pas livré tous ces secrets, dans Hainaut Tourisme, n° 131, 1968, pp. 187-191
- J.-P. DUCASTELLE, Chièvres, son passé et ses vestiges archéologiques, dans Quatre Vents, n° 3, 1969, pp.18-25
- J.-P. DUCASTELLE, Pour un programme de fouilles à Chièvres, dans Connaissez-vous... Chièvres, publié par la Société Chièvroise d'expansion touristique, s.d.
- J.-P. DUCASTELLE, Sauvetages et découvertes à Chièvres, dans Bulletin du Cercle d'histoire et d'archéologie d’Ath…, n° 22, 1971, pp. 50-52
- J. DUGNOILLE, Chièvres jadis, dans Connaissez-vous... Chièvres, publié par la Société Chièvroise d'expansion touristique, s.d.
- J. DUGNOILLE et J.-P. DUCASTELLE, Sauvetages et découvertes à Chièvres, dans Bulletin du Cercle d'Histoire et d'Archéologie d'Ath…, n° 22, 1971, pp. 50-52
- W, FOSTIER, Le Hainaut méconnu : Chièvres et Tongre-Notre-Dame, dans Hainaut Tourisme, n° 50, 1954, pp. 13-14
- L. HANNECART, Eve de Chièvres, dans Biographie Nationale, Tome XXXII, 1, 1964
- L. HANNECART, Les établissements de bienfaisance à Chièvres au XIIène siècle, dans Annales de la Société belge d'histoire des hôpitaux, Tome 1, 1963, pp. 19-28
- T. MATHIEU, Découverte d'un tronçon de la deuxième enceinte urbaine de Chièvres (XIVème siècle), dans Bulletin trimestriel du Cercle Royal d'Histoire et d'Archéologie d’Ath…, Vol. 7, 28ème année, n° 159, pp. 435-441
- André NEVE et Firmin LAMBRECHT, Chièvres, histoire de l'aérodrome, (1984)
- C. PERE, Notice historique sur la petite ville de Chièvres en Hainaut, dans L'Echo de la Dendre, 14 et 28 octobre, 11 et 25 novembre, 9 et 23 décembre 1858, 6 et 20 janvier, 9 février 1859.
- Abbé PETIT, Histoire de la Ville de Chièvres, dans Annales de l'Académie d'Archéologie de Belgique, tome XXXVI, 1880, pp. 106-306
- Abbé PLANQUE, Histoire religieuse de Chièvres, dans Connaissez-vous...Chièvres, publié par la Société Chièvroise d'expansion touristique, s.d.
- Abbé E. ROLLAND, Chièvres : sa chapelle romane de Saint-Jean-Baptiste, dans Hainaut Tourisme, n° 103, 1964, pp. 49-53
- G. SMET, Chièvres, cité comtale, dans Hainaut Tourisme, avril 1958, pp. 42-44
- G. SMET, Que savez-vous de Chièvres ?, dans Hainaut Tourisme, n° 89, 1961, pp. 22-29
- M. VAN HAUDENARD, Histoire de la ville de Chièvres, 2ème édition., Chièvres, 1933
- M. VAN HAUDENARD, Histoire de Notre-Dame de la Fontaine, vénérée dans la ville de Chièvres, Delzenne, Chièvres, s.d.
- M. VAN HAUDENARD, Nos petites villes inconnues : Chièvres, dans Notre Hainaut, n° 9, 1937, pp. 129-132
- Chièvres dans Le Patrimoine monumental de la Belgique, Wallonie, Vol. 13, Tome 2, Pierre Mardarga, Liège, s.d. [1988]