Brazey-en-Plaine

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Brazey-en-Plaine

Carte de localisation de Brazey-en-Plaine
Pays France France
Région Bourgogne
Département Côte-d'Or
Arrondissement Arrondissement de Beaune
Canton Canton de Saint-Jean-de-Losne
Code Insee 21103
Code postal 21470
Maire
Mandat en cours
Mme Bernadette Loiseau
2001-2008
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine Dijonnaise
Latitude
Longitude
47° 08′ 09″ Nord
         5° 13′ 04″ Est
/ 47.1358333333, 5.21777777778
Altitude 179 m (mini) – 202 m (maxi)
Superficie 25,55 km²
Population sans
doubles comptes
2 457 hab.
(1999)
Densité 96 hab./km²

Brazey-en-Plaine est une commune française, située dans le département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne.

Sommaire

[modifier] Géographie

[modifier] Histoire

[modifier] Antiquité

Le site de Brazey-en-Plaine fut très anciennement occupé, situé qu’il est sur l’axe Saône-Rhône, une très ancienne voie de communication. L’emplacement est assez propice à la vie humaine, la terre y est bonne, encore que l’agriculture, aux époques anciennes ait été handicapée par le caractère inondable du lieu. La Saône et tous les autres cours d’eaux, avant l’époque moderne qui les a tous canalisés à des degrés divers, avait un cours capricieux et variable. Si l’on ajoute les nombreuses guerres dues au caractère très disputé de ce territoire frontalier, on voit que la vie n’était pas aussi idyllique qu’on peut l’imaginer en regardant les paysages champêtres du Brazey actuel.

Un auteur de l’Antiquité, Eumène, parlant de cette région, écrivait au IVe siècle (cité par Nathalie Descourvières dans "Les Terres d'Outre-Saône au Moyen-Age", cité plus loin en bibliographie) : « On dit certes que cette plaine fut autrefois prospère en un temps où les soins de la culture ne se relâchaient pas, et où chacun sur sa terre maintenait libres d’obstacles les fossés assurant l’évacuation des eaux ». Une telle citation demeure valable à l’époque moderne : les champs et chemins de Brazey sont presque tous bordés de fossés, et les cultivateurs se préoccupent de « curer » les fossés qui bordent leurs champs.

Des fouilles archéologiques y ont révélé, en direction d’Aubigny, au lieudit La Cognée, une ancienne nécropole gallo-romaine, des restes de buchers funéraires ainsi que des cippes funéraires sculptées ; nous connaissons ainsi le nom de quelques très anciens habitants : un certain Commodus, pater patriae, pose le pied sur le globe en signe de souveraineté ; la tombe la plus récente, en 235, est celle de Julie Mammée.

Cette nécropole porte des indices de destruction volontaire que M. PROTAT (qui a fouillé le site en 1849) attribue aux Germains lors de la première invasion des Gaules. Ses fouilles furent complétées par des découvertes involontaires faites en labourant.

Le nom du village à l’époque latine était Brasiacum ; l’étymologie voudrait donc qu’il trouve son origine dans la villa gallo-romaine d’un certain Brasius ; une autre forme ancienne, Braseium, viendrait d’un mot gaulois et suggérerait l’idée de marécage.

[modifier] Moyen Âge

Le village dépend des ducs de Bourgogne, dont l'administration est centralisée.

Un important château en constitue le cœur. Il n'en reste rien aujourd'hui, mais plusieurs documents anciens permettent de savoir qu'il se situait quelque part sur la petite rivière nommée la Biètre.

Les châtelains de Brazey sont des fonctionnaires que l'autorité ducale nomme, mute, renvoie, et dont elle contrôle les comptes de près.

Ces comptes constituent d'ailleurs une part importante des sources aujourd'hui disponibles pour l'historien local. Ils sont fort bien tenus même si, sur la couverture du compte de 1398, le clerc des comptes Adrien Paste se laisse aller à écrire quelques vers remarqués par Nathalie Descourvières :

"À ce joli mois de mai,
Que tout verdoye,
Suis d'amour plus en esmay
Que ne souloye.
Pour un matin me levai
À ce joli mois de mai."'

Brazey est une châtellenie d'importance. Le village fait un peu figure de chef-lieu, plus que Saint-Jean-de-Losne, qui, ayant obtenu des libertés communales, ne joue plus un grand rôle dans le système ducal de quadrillage du territoire.
Brazey, au contraire, domine la région. Les ducs de Bourgogne y séjournent à plusieurs reprises. Il fournit en partie les poulets de leur table, les faucons de leur oisellerie et les chevaux de leurs écuries. La "gruerie" (exploitation des forêts) est assez importante pour justifier l'établissement d'un compte séparé en 1381.
Brazey est administré avec soin par les Duchesses de Bourgogne, dont elle constitue le domaine particulier et qui y possèdent des haras. On peut encore voir, près de l'église, une grosse maison de briques qui est considérée comme un rendez-vous de chasse de Marguerite de Bourgogne, femme de Louis X le Hutin.

De plus, le village compte pour beaucoup dans l'approvisionnement en grains du duché de Bourgogne. Au XIVe siècle, le village abrite un grenier ducal dont ses comptes font mention.

Du fait de cette administration centralisée aucune grande famille nobiliaire n'est à noter. Cependant, le territoire est quadrillé par des maisons fortes et mottes féodales, fortifications de proximité qui avaient chacune à sa tête un « chevalier » (en latin : miles). Ces modestes refuges n'ont pas connu la gloire, et c'est par un travail patient de recoupement de nombreuses sources (une mentions dans les comptes des Ducs de Bourgogne, une révélation de l'archéologie aérienne par exemple) que Nathalie Descourvières en a situé quelques uns. Elle a trouvé des indices de la motte de Pont-Hemery « à huit cent mètres au sud-ouest du clocher de l'église, à l'intersection du chemin de Pont-Hemery à Aubigny et du ruisseau de Biètre », et peut même préciser que les fossés de cette motte étaient doubles et remplis d'eau.

En 1297 et 1303, des actes des ducs de Bourgogne sont datés de leur "maison de Braisey".

On note les dates suivantes :
1337 : début de la guerre de Cent Ans.
1348 : peste noire.
1360 : seconde peste.
1368 : le chateau de Brazey aux mains des Grandes Compagnies.
1375 : Brazey compte 233 "feux" (familles), dont 7 feux francs, 132 feux serfs, 44 feux "misérables".
1376 : Brazey compte 224 "feux".
1431 : Brazey compte 121 "feux", dont 19 "solvables", 32 "misérables", 70 "pôvres et mendiants".
1470 : Brazey compte 168 "feux".
1477 : chute de Charles le Téméraire ; la Bourgogne (dont Brazey) est rattachée au Royaume de France.

La démographie nous montre la très grande stabilité de certaines familles ; dans des recensements de 1416, 1470, 1543, on trouve déjà certains noms appartenant à des généalogies brazéennes modernes : Péchinot, Thomas, Gardet/Gardey, Le Rouhier/Royer, Royenet/Ruynet, Niquet, Pautier, Mal Girard/Maugirard, François.

Le hameau de Pont-Aymery/Pont Hemeri existe déjà, mais il est traité comme un village séparé.

La condition la plus répandue, pour le paysan, est une forme atténuée de servage appelée "mainmorte" ; la particularité de ce statut est d'être attachée à la terre et non à la personne ; un paysan qui cultive une terre de mainmorte ne peut ni la vendre ni la léguer hors du village ; s'il meurt sans enfants, elle revient au seigneur ; l'avantage, c'est que ces terres ne sont pas chères puisqu'il n'y a pas de concurrence extérieure au village pour les demander quand elles se libèrent ; l'inconvénient, c'est que le statut de la mainmorte tend à se généraliser : il suffit d'être à la recherche d'une terre pas chère pour tomber dans cette forme de semi-servage.

Outre la distinction entre serfs et "francs" (personnes libres), une autre distinction est à faire entre le paysan qui possède des moyens de labour et de charroi d'une part ("laboureur"), et, d'autre part, le pauvre "manouvrier", qui peut posséder ou louer quelques bouts de terre mais qui doit emprunter chevaux et charrettes, à ses voisins plus à l'aise, en échange de travaux agricoles car il n'a pas d'argent, et qui est en permanence redevable et méprisé.

La description de la vie économique de la région ne serait pas complète si l’on omettait de parler du commerce. Nous sommes à deux pas de Saint-Jean-de-Losne, port fluvial d'importance, plaque tournante du système des grandes foires. Marchands italiens et autres animent la région, et sont bien connus des villageois.

Enfin, nous sommes à quelques kilomètres de l'abbaye de Cîteaux.

[modifier] Renaissance

Il s'agit encore d'une période de malheurs. De 1584 à 1587, la peste dévaste la Bourgogne, précédant de peu les guerres de religion. Appelés par les chefs protestants, les Allemands mettent le pays à feu et à sang. Les catholiques ne sont pas plus tendres ; la Bourgogne a un gouverneur ligueur, mais cela n'empêche pas le Duc de Nemours, pourtant du même parti, d'assiéger Brazey et de prendre le château ; les Ligueurs pressurent tant et si bien la Bourgogne que Dijon, bien que catholique, décide de se rallier à Henri IV.

[modifier] Guerre de Trente Ans

En 1635, Mathias Galas, duc de Lucera, met le siège devant Saint-Jean de Losne pour le compte de l'Empereur d'Autriche ; son armée se monte à 80 000 hommes, l'affaire est très sérieuse, et Paris lui même tremble de voir sauter ce verrou. L'héroïsme des habitants de Saint Jean de Losne a raison des assaillants, avec l'aide d'une inondation bien venue.

Brazey participe à la défense de Saint Jean de Losne par des impôts et des corvées. Elle loge les troupes des marquis de Granna et de Saint Martin. Elle est victime, comme le reste de la région, d'un raid meurtrier des Croates de Forkatz, qui incendient granges et fermes. La guerre de Trente Ans achève la destruction du château de Brazey.

La délivrance victorieuse de Saint Jean de Losne fait mémoire dans la région. Tous les cinquante ans, à Brazey, une grande fête la commémore : c'est la Galasse, ainsi nommée, par dérision, d'après Mathias Galas. Les habitants du village rejouent la bataille en costumes d'époque.

Un rapport administratif établi par P. Comeau pour la période 1643-1644 "d'après la visite des feux du bailliage de Dijon après la bataille de Rocroy" (ADCO B 11554) décrit Brazey en ces termes :

" Nous sommes allés au village de Brazey dépendant du domaine du Roy et engagé à la dame duchesse d'Elbeuf. Le rôle de 1644 s'élève à 2000 livres et à 130 personnes, entre icelles 43 veuves. Ils ont juré et affirmé n'y avoir que cinq laboureurs, le reste étant manouvriers, qui gagnent leur vie au mieux qu'ils peuvent. Et, ayant été conduit par tout le village, avons reconnu qu'il peut y avoir soixante habitations, tant bonnes que mauvaises.

Nous a été affirmé par les procureurs que, journellement, plusieurs personnes s'en vont, tant à cause des grandes dettes de la communauté que de ce que la plupart s'étaient retirées audit lieu à cause des guerres...

Ils ont été fort incommodés par l'armée impériale, qui brula 49 maisons et granges, comme ils nous l'ont fait apparoir. Et sont journellement inquiétés par les garnisons de Saint Jean de Losne, qui leur font faire quantité de corvées. Durant l'année même, ils ont payé 200 livres pour l'entretènement des chevau-légers, qui y étaient l'année passée, par impôt fait par M. d'Orgères, intendant. Et furent encore imposés à 500 livres pour un trou qui fut fait aux murailles dudit Saint Jean de Losnes"'

On ignore qui est cette dame duchesse d'Elbeuf, qui a des intérêts économique au village. En tous cas, elle n'exerce pas le pouvoir politique.

[modifier] XVIIIe et XIXe siècles

Décidé par un édit de Louis XV en 1773, le creusement du canal de Bourgogne débute deux ans plus tard et s'achève en 1860 après de nombreuses interruptions et difficultés.

Le canal constitue encore aujourd'hui un élément fort du paysage brazéen, et il contribua longtemps à son économie, donnant un village un caractère plus industriel que ce que donne à penser la première impression de paysage très villageois.

L'une des principales plaintes figurant dans les cahiers de doléances de Brazey concerne le canal de Bourgogne, dont le creusement est vécu comme une catastrophe par la population : les champs sont coupés en leur milieu, les ponts qui seraient nécessaires ne sont pas construits ; même quand ils proposent d'en construire à leurs frais, les habitants se voient menacer d'amendes.

À noter, le 6 décembre 1824, une inondation dramatique.

Le champ de vision des Brazéens s'élargit, parfois un peu de force, car les guerres de la révolution et de l'Empire, ainsi que l'aventure coloniale prélèvent au village leur lot de chair à canon. Elles frappent les imaginations, et Rémy-Joseph François a noté plusieurs surnoms villageois inspiré par ces aventures lointaines : l'Artilleur, le Gabier, le Père la Guèdloup (la Guadeloupe), le Cafre (peuplade d'Afrique), le Came (du Cameroun), le Tapioca (plante coloniale). Les aventures plus tranquilles ont aussi leur place dans les esprits, puisque c'est le père Carmille, garde champêtre, qui observe en faisant sa tournée les vestiges de la nécropole gallo-romaine que fouillera M. Protat.

La guerre de 1870 et la défaite provoquent un profond traumatisme. L'armée de Bourbaki (française), défaite et dépenaillée, a traversé le village. Des troupes allemandes logent dans les fermes. D'importants combats ont eu lieu au village voisin de Nuits Saint Georges, où plus d'un Brazéen achète son vin depuis des temps immémoriaux, et le transport des tonneaux devient indissociable d'une visite du champ de bataille sur les pas du vigneron, qui montre les impacts de balles dans les rues mêmes de Nuits. Cette dernière circonstance impressionne particulièrement. On en parlera longtemps dans les familles.

La défaite amène à Brazey l'Alsacien Alfred Marchal, qui installe une usine au Champ de Maisons, le mythique Tissage, donnant ainsi une toute autre dimension à l'industrialisation de Brazey.

[modifier] Développement économique

Le paysage brazéen donne une impression villageoise, et les champs en occupent la plus grande surface. Cependant, la tradition industrielle est ancienne. De plus, les XVIIIe siècle et XIXe siècles voient l'arrivée de quelques familles fortunées attirées par l'agrément du lieu et qui, sans avoir le statut de "seigneurs" du village, le doteront de belles constructions (parc et château Magnin, château Dumesnil, parc et château Pottecher)

Le transport des marchandises est un élément important. Saint Jean de Losne, à quelques kilomètres, reste un port fluvial important, et le canal de Bourgogne augmente le rôle de Brazey dans le transport des marchandises. Les longues péniches, plates et noires, se succèdent, tirées par de lourds chevaux qui peinent sur le chemin de halage, protégés en partie du soleil par l'ombre des peupliers. Les auberges comportent toutes d'importantes écuries et proclament : « Ici, on loge à pied et à cheval ».

Un nombre non négligeable d'usines vint s'installer en raison des avantages du lieu : grandes surfaces disponibles à bon marché, présence du canal de Bourgogne puis, d'une gare de chemin de fer. D'où une impression trompeuse : Brazey abrita plusieurs usines en dépit d'un paysage d'aspect agricole ; la population en fut souvent plus élevée qu'attendu.

Dès le XVIIIe siècle, nous trouvons une huilerie, une forge, des ateliers fabricant briques et tuiles. Le lieu où les tuiliers prennent l'argile, poétiquement appelé Champ de Maisons, conservera une tradition industrielle au fil du temps puisque c'est là que s'élèvera le tissage, et que fonctionnent toujours aujourd'hui les entreprises qui en ont pris la place.

Au XIXe siècle, la forge devient un petit haut-fourneau artisanal, vite éliminé par la concurrence.

Une première sucrerie rachète les betteraves des paysans à un prix qu'ils jugent insuffisant. Ces paysans investissent dans une seconde sucrerie, qui élimine la première. Une distillerie valorise le sucre et complète la filière betterave/sucre/alcool. D'une façon générale, les paysans brazéens ont longtemps considéré la culture de la betterave comme la partie la plus stable de leur revenu, et ont tenté de maîtriser la filière des dérivés de cette plante. Cette culture ne fut aucunement chose improvisée. L'impulsion première fut donnée par Napoléon, suite au blocus continental : la France devait produire son sucre. On s'aperçut que cette culture réussissait fort bien à Brazey, et on l'implanta avec compétence, faisant même venir des familles du Nord, région qui avait cultivé la betterave en premier, pour profiter de leur expertise.

D'autres usines s'installent au fil du temps, dont les chocolats Lanvin (encore une façon de valoriser le sucre, donc la betterave) et le "tissage", qui fonctionna de 1898 à 1996, et qui fut un élément emblématique de la vie brazéenne.

[modifier] Bibliographie (sources)

  • COURTEPE et BEGUILLET ; Description générale et particulière du Duché de Bourgogne; Paris 1770 ; peut être lu à la bibliothèque municipale de Dijon
  • M. PROTAT ; Rapport sur les fouilles faites le 15 septembre 1849 à Brazey en Plaine ; mémoires ; CACO 1850/51 ; seconde livraison, tome troisième
  • Nathalie DESCOURVIERES ; Les terres d'outre-Saône au Moyen-Age ; éditions Forelle 1999
  • Rémy-Joseph FRANCOIS ; Histoire et autres histoires de ma campagne bourguignonne(1979);librairie GUENEGAUD, 10 rue de l'Odéon, 75006 Paris
  • Rémy-Joseph FRANCOIS ; Bourgogne de naguère, contes et parler du Val de Saône (1971) ; Editions F.E.R.N., librairie GUENEGAUD, 10 rue de l'Odéon, 75006 Paris
  • Rémy-Joseph FRANCOIS ; Agriculture d'hier et d'aujourd'hui. Quelques aspects de son évolution dans un village du Val de Saône (1864 - 1968); Annales de Bourgogne n° 180
  • Monique-Marie FRANCOIS ; Le Vieillard au fin sourire ; auto-édition ; 1999 ; traite en particulier de l'usine de tissage de Brazey en Plaine ; contient des photos de cippes funéraires découverts récemment et qui s'ajoutent aux découvertes de M. Protat ; peut-être lu à la bibliothèque municipale de Brazey en Plaine et aux archives départementales de la Cote d'Or
  • Emmanuel MENETREY ; Les Hommes et la vie de la châtellenie de Brazey en Plaine au XIVe siècle ; éditions Forelle, BP 16, 21850 Saint-Apollinaire

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2001 Mme Bernadette Loiseau
Toutes les données ne sont pas encore connues.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[1])
1962 1968 1975 1982 1990 1999
1675 1721 2181 2415 2499 2457
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

[modifier] Lieux et monuments

  • Nécropole gallo-romaine
  • Rendez-vous de chasse de Marguerite de Bourgogne
  • Chapelle Notre Dame de Pitié
  • Église Saint-Remy, du XIXe siècle

[modifier] Personnalités liées à la commune

[modifier] Voir aussi

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[modifier] Notes et références

  1. Brazey-en-Plaine sur le site de l'Insee

[modifier] Liens externes