Boxe anglaise

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Match professionnel
Match professionnel

La Boxe anglaise est un sport de combat dans lequel deux adversaires, de poids similaires, se rencontrent sur un ring, munis de gants afin de limiter le risque de coupure, et s'échangent des coups de poings, portés au visage et au buste. Le combat est divisé en intervalle de temps, les rounds, séparés par une minute de repos annoncé par une cloche.
Que ce soit en boxe Olympique ou professionnelle, les combattants, ou boxeurs, tentent d'éviter les coups de poings de leur adversaire tout en essayant de les toucher. Des points sont attribués à chaque coup considéré comme net, puissant et précis. A la fin du combat, le boxeur ayant le plus de points est déclaré vainqueur.
La victoire peut également être atteinte si un combattant met son adversaire hors de combat (par knockout ou KO), c’est-à-dire dans l'incapacité de se relever et de reprendre le combat après le compte de 10 secondes de l'arbitre. Un combattant est également déclaré vainqueur si son adversaire blessé ne peut continuer le combat (KO technique ou TKO).

La boxe anglaise est aussi appelée le « noble art ». Elle est la descendante directe du pugilat.

Sommaire

[modifier] Histoire

La boxe apparaît au XVIIIe siècle, les matchs étaient alors organisés par des parieurs qui prirent comme modèle le pugilat. Elle est à l'époque peu réglementée et est pratiquée à mains nues.
Le premier grand champion de boxe à mains nues fut le maître d'armes James Figg, son élève Brougthon (1704 - 1789) gagna près de 400 combats jusqu'au jour où il tua accidentellement son adversaire. Traumatisé, il codifia les règles de la boxe avec l'aide du marquis de Queensberry et rendit obligatoire le port de gants de protection. La boxe anglaise était née mais cohabita encore plusieurs années avec les règles de la boxe à mains nues.

[modifier] L'avènement des règles

Les règles du marquis de Queensberry, rédigées en 1867, ont mis l'accent sur l'agilité plutôt que sur la force. Ces nouvelles règles interdisaient le combat à mains nues, le corps à corps, l'étouffement, les coups lorsque l'adversaire est impuissant et le combat au finish. Les rencontres sont divisées en rounds de trois minutes, espacées d'un temps de repos d'une minute. Un participant perd le match s'il reste au sol plus de dix secondes, allongé ou en appui sur un genou. Ces règles stipulent également que les matches doivent avoir lieu dans un ring de 7,30 m de côté. Le dernier champion poids lourd à mains nues fut l'américain John L. Sullivan, en 1889.
C'est en 1900 que Louis Lerda, de retour des États-Unis, tente d'implanter la boxe anglaise en France. Le premier combat à lieu à la salle Wagram à Paris et, le 15 février 1903, la Fédération Française des Sociétés de Boxe est créée par quatre jeunes pratiquants (Albert Bourdariat, Frantz Reichel, Van Rosose et Paul Rousseau).
La boxe anglaise comprend différentes sections que sont la boxe amateur, professionnelle et éducative. La boxe anglaise est le seul type de boxe reconnu par le Comité International Olympique. Si l'on rencontre des compétitions d'amateurs et de professionnels, seuls les amateurs sont autorisés à combattre aux Jeux Olympiques.

Les combats sont tenus par deux hommes (ou femmes) qui s'affrontent sur un ring avec puissance. Ils ont l'obligation de porter des gants, une chaussure sans pointe ni talon, une culotte à mi-cuisse, une coquille protectrice, un protège-dents. Les boxeurs amateurs doivent obligatoirement porter un casque protecteur et un maillot léger sans manche.
La boxe anglaise professionnelle n'est pas fédérée par un organe unique mais par de nombreuses fédérations, ce qui n'est pas le cas de la boxe dite amateur. Les professionnels hommes doivent être torse nu alors que les amateurs doivent porter un débardeur et un casque.

La Fédération internationale de boxe amateur reconnue par le CIO est l'Association internationale de boxe amateur (IBA) - Maison du Sport International - Avenue de Rhodanie 54 - 1007 Lausanne – Suisse IBA .

La boxe professionnelle est répartie principalement entre quatre fédérations concurrentes: la WBA, l'IBF, la WBC, la WBO.

[modifier] Pratique

[modifier] Techniques offensives

[modifier] Coups de poing usuels

  • Direct ou Straight-punch en anglais : coup de poing direct. Il est de forme, pistonnée, fouettée ou balancée-jetée. Nuances : le Jab est un direct à petite course, alors que le Lead est un direct à grande course et très lourd. On trouve également le direct court utilisé au corps à corps qui se rapproche d’un uppercut horizontal.
  • Crochet ou Hook (Hook-punch) en anglais : coup de poing circulaire (crocheté). Il existe d'autres formes de coups circulaires : le Swing (appelé également stick-punch) et le Half-swing.
  • Uppercut : coup de poing remontant (ou Rising Punch). Il est classé dans la catégorie des coups circulaires, ce qui n’est pas toujours le cas.

[modifier] Techniques moins pratiquées

  • Drop : coup de poing descendant (plongeant).
  • Cross-counter se présente comme un contre qui croise le bras adverse. Pour cela, l’arme la plus souvent utilisée est le direct ou le drop.

[modifier] Techniques mixtes et hybrides

  • Bolo-punch : coup de poing circulaire exécuté à 45° et envoyé de bas en haut. C’est une technique dite « mixte » à mi-chemin entre l’uppercut et le Crochet.
  • Semi-crochet : coup « mixte » à mi-chemin entre un Crochet et un direct.
  • Semi-uppercut : coup « mixte » à mi-chemin entre un uppercut et un [irect et qui atteint, le plus souvent, le buste adverse. Il ressemble à un direct court remontant.

[modifier] Défense

La défense en boxe concerne un ensemble des comportements destinés à faire échec à l’offensive adverse. Se garantir contre les attaques adverses se présente comme un des trois objectifs principaux à atteindre dans les sports de combat de percussion* à côté d’attaquer les cibles adverses et d’utiliser l’action adverse à son propre avantage. Elle se résume par un ensemble d’actions destiné à faire échec à l’offensive adverse, comprenant les blocages de coups, les déviations de coups, les esquives de coups, les déplacements (mobilité pour ne pas être atteint) et les actions de neutralisation.
On distingue plusieurs objectifs de défense :

  • La simple mise en sécurité de ses propres cibles, quelquefois réalisée en urgence (dite défense passive : couverture neutre, blocage neutre, etc.),
  • La réalisation d’actions destinées à utiliser l’activité adverse à son avantage (appelée par certains auteurs, défense active : le blocage déviant ou la « parade chassée » dans le but de déséquilibrer, le blocage absorbant, l’esquive (pour ces trois formes liés à des ripostes simultanées), puis le coup d’arrêt suivi également d’une riposte.
  • La mise en difficulté de réalisations offensives adverses (par le raccourcissement ou l’augmentation de la distance, par le verrouillage des armes adverses, par une déstabilisation à base de techniques de menace, de leurre, etc.).

Ces deux derniers objectifs nécessitent des qualités d’initiative, d’anticipation et d’à-propos. Pour dépasser un cliché qui dit "la meilleure défense, c'est l'attaque", on dira : Le but à atteindre serait d’être capable de défendre et de contre-attaquer (riposter) dans toutes les positions avec le moindre risque.

On distingue trois catégories de défense :

  • la défense dite « classique » ayant pour but d’annihiler l’action adverse (ex. : « couverture », parade bloquée, parade opposition...),
  • la défense dite « active » favorisant l’utilisation de l’action adverse (ex. : absorption de choc, coup d’arrêt, dégagement),
  • et la neutralisation ou activité d’anticipation ayant pour but d’empêcher le déclenchement de l’offensive adverse.

[modifier] Attitude, garde et style

L’attitude désigne deux notions principales. D'abord la façon de se tenir en situation d'opposition (Façon d’être positionné, de se tenir, de s’orienter, d’être protégé ou en garde, etc., dans le combat - posture, garde, positionnement...) et d'autre part, la façon de se comporter en terme de comportement d'opposition (style utilisé, stratégie globale employée...). Ex. : on recense différentes attitudes de combat en boxe : garde de trois-quarts de face, garde de profil, garde en « crouch », garde basse, garde le poids sur jambe avant, garde le poids sur jambe arrière, garde en appuis très écartés, etc. Quelquefois, la position du corps peut indiquer les intentions d’un combattant à l’égard de son adversaire. Ex. : une attitude de profil peut être le signe d’un travail d’esquive* et riposte* du bras avant ainsi que de contre.

Les anglophones parlent plutôt de « position » que de « garde » à proprement parler (ex : « sidestep » pour la garde latérale). La garde pour ces premiers c’est le haut du corps et également les appuis au sol, ainsi ils utilisent le terme « upright stance » pour une position verticale de buste et « full crouch » pour une attitude recroquevillée. En français, on utilise l’expression d’attitude de combat lorsqu’on désigne l’ensemble. Donc lorsqu’on parle de « garde » dans l’école française, on pense souvent à la position des bras pour se protéger. Mais bien plus que cela, elle désigne une organisation corporelle permettant au combattant de se préparer à défendre et d’autre part à passer à l’offensive, cela dans une configuration qui lui offre un maximum de sécurité et d’efficacité. Différentes positions permettent de faire face à un adversaire avant et pendant l’engagement et sont appelées à défaut « garde ». Comme son nom l’indique, « être sur ses gardes » c’est se mettre en alerte permanente et adopter une position favorable pour réagir. De nombreuses attitudes de garde existent : garde trois-quarts de face, de profil, garde inversée, garde haute, garde basse, garde avancée, garde ramassée, etc. Certes, il très important « d’être gardé » (hermétique), mais il faut également adopter une attitude qui permettre d’agir et de réagir rapidement et avec efficacité (donc adopter une posture efficace). A contrario un boxeur n’adoptant pas d’attitude définie où ayant les bras « en bas » est dit « non gardé ». D’ailleurs, certains boxeurs font ce choix dans la perspective de construire leur jeu sur la base de contre-informations (tromperies).

Le style représente la manière de faire propre à chaque individu et que l’on peut rapporter à des classes de « comportement-type ». Elle est propre à son tempérament, à son potentiel physique ou à ce qui lui a été enseigné par son école de boxe. Ainsi, on distingue : l’attentiste du fonceur et le technicien (styliste) du frappeur, mais ce classement ne s’arrête pas là. On recense différents caractères variables pour chaque « typologie ». Par exemple, chez les styles « techniques » : boxer en coups longs, en coups d’arrêt, en coups de contre. Chez les styles « physiques » : faire le forcing, boxer en crochets puissants « à la godille », chercher le corps-à-corps ou chercher le coup dur. Lorsqu’un combattant utilise sa façon habituelle de boxer (son style habituel), on dit qu’il est sur son « registre » ; cela à la manière d’un musicien qui répète ses gammes préférées. D’autre part, ce qui est appréciable dans un combat c’est l’opposition de styles. On a pour exemple le combat des années 1980, Sugar Ray Leonard contre Marvin Hagler. Le premier, utilise une boxe à reculons, faite de larges pas de côté, d’esquives de buste et de contre-attaque précises. Alors que le second, use d’une boxe en progression avant, d’une attitude compacte le buste en avant et de coups très puissants. Voir aussi façon de combattre.

[modifier] Quelques boxeurs

[modifier] Légendes du Noble Art

[modifier] Avant 1900
  • John L. Sullivan, poids lourds (1882-1892)
  • James Corbett (Gentleman Jim), poids lourds (1er champion du monde - règles du Marquis de Queensberry) (1892-1897)
  • Bob Fitzsimmons (Australie) (1er champion dans trois catégories)
  • J.J Jeffries, poids lourds (1899-1905)

[modifier] Années 1910
  • Jack Johnson, poids lourds (1er champion du monde de couleur)

[modifier] Années 1920

[modifier] Années 1930
  • James Braddock - USA
  • Jack Sharkey - USA
  • Joe Louis - USA
  • Max Schmeling - Allemagne - En 1938, pendant la nuit de Cristal, Schmeling cacha deux adolescents d'un ami juif dans sa chambre d'hôtel, à Berlin, les protégeant des SS et de la Gestapo, prenant ainsi un grand risque. Les deux garçons, Henry et Werner Lewin, purent finalement fuir l'Allemagne avec son aide.
  • Max Baer - USA
  • Primo Carnera - Italie
  • Marcel Thil - France
  • Henry Armstrong

[modifier] Années 1940

[modifier] Années 1950

[modifier] Années 1960

[modifier] Années 1970

[modifier] Années 1980

[modifier] Années 1990

[modifier] Années 2000

[modifier] Grands Boxeurs Africains

[modifier] Champions français professionnels

  • Georges Carpentier - champion d'Europe poids welters (1911), moyens (1912), mi-lourds et lourds (1913-1922) et champion du monde mi-lourds (1920-1922)
  • Eugène Criqui - champion du monde, poids plumes (1923). Blessé à la guerre, il avait une mâchoire en argent
  • Marcel Cerdan - champion d'Europe poids welters (1939-1942), moyens (1947-1948) et champion du monde poids moyens (1948-1949)
  • Gilbert Lavoine - champion d'Europe (1953-1954) poids welters.
  • Alphonse Halimi - champion du monde (1957-1959) et d'Europe (1960-1961 et 1962) poids coqs
  • Jean-Claude Bouttier - champion d'Europe poids moyens (1971 et 1974) et battu deux fois par Carlos Monzon en championnat du monde poids moyens (1972 et 1973)
  • Christophe Tiozzo - médaillé de bronze aux JO de 1984 en super-welters, champion d'Europe poids moyens (1988) et champion du monde super-moyens (1990-1991)
  • René Jacquot - champion d'Europe (1988) et du monde (1989) super-welters
  • Fabrice Bénichou - champion d'Europe poids coqs (1988), champion du monde super-coqs (1989-1990) et champion d'Europe poids légers (1991-1992)
  • Gilbert Delé - champion d'Europe (1989-1990) et du monde (1991) super-welters
  • Taoufik Belbouli - champion du monde (1989-1990) lourd-légers
  • Anaclet Wamba - champion d'Europe (1989) et du monde (1991-1995) lourd-légers
  • Thierry Jacob - champion d'Europe poids coqs (1990-1991) et champion du monde super-coqs (1992)
  • Laurent Boudouani - médaillé d'argent aux JO de 1988 en welters, champion d'Europe (1992-1993 et 1995-1996) et du monde (1996-1999) super-welters
  • Jean-Baptiste Mendy - champion d'Europe (1992-1994 et 1994-1995) et du monde (1996-1997 et 1998-1999) poids légers
  • Khalid Rahilou - champion d'Europe (1994-1996) et du monde (1997-1998) super-légers
  • Hacine Cherifi - champion d'Europe (1996-1997) et du monde (1998-1999) poids moyens
  • Julien Lorcy - champion d'Europe super-plumes (1996-1997), légers (2000-2001) et champion du monde poids légers (1999 et 2001)
  • Mamadou Thiam - champion d'Europe super-welters (1998-2000 et 2001) et battu deux fois en championnat du monde super-welters par Felix Trinidad (2000) et Santiago Samaniego (2002)
  • Fabrice Tiozzo - champion d'Europe (1994-1995) et du monde (1995-1996) mi-lourds, champion du monde lourd-légers (1997-2000) et de nouveau champion du monde mi-lourds (2004-2006)
  • Salim Medjkoune - champion d'Europe (2001-2002) et du monde (2002-2003) super-coqs
  • Bruno Girard - champion du monde des super-moyens (2000) et des mi-lourds (2001)
  • Mahyar Monshipour - champion d'Europe (2002-2003) et du monde (2003-2006) super-coqs
  • Brahim Asloum - médaillé d'or aux JO de 2000 en poids mi-mouche, champion d'Europe poids mouche (2003-2005), champion du monde WBA des poids mi-mouche (2007)
  • Jean-Marc Mormeck - champion du monde lourd-légers (2002-2006 et 2007)
  • Souleymane Mbaye - champion d'Europe (2002-2003) et du monde (2006-2007) super-légers

[modifier] Champions suisses pro

  • Mauro Martelli - champion d'Europe professionnel.

[modifier] Champions québécois pros les plus médiatisés

[modifier] Boxing Hall of Fame

Icône de détail Article détaillé : International Boxing Hall of Fame.

[modifier] Bibliographie

  • Corps et âme, Carnets ethnographiques d'un apprenti boxeur, Loïck Wacquant, éd. Agone, 2001.
  • Alain Delmas, Dictionnaire encyclopédique de la boxe et des autres boxes, Amiens, 1981
  • Alain Delmas, Lexique de combatique, Ligue Midi-Pyrénées, Toulouse, 1975

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

  • Blanchet, G., Boxe et sports de combat en éducation physique, Editions Chiron, Paris, 1947
  • Bouchard, J.P., Les Mots du sport, Éditions du Seuil, 1996
  • Bouttier, J.C., Letessier, J., Boxe : la technique, l'entraînement, la tactique, Editions Laffont, Paris, 1978
  • Bouttier, J.C., Lustyk, J.P., La boxe : connaissance et technique, Editions Daniel, Paris, 1990
  • Cléry, R., L’escrime, « Que-sais-je ? », Editions P.U.F., Paris, 1973
  • Delignières, D., Duret, P., Lexique thématique en STAPS, Éditions Vigot, Paris, 1995
  • Delmas, A., Cahiers de formation du moniteur, Ligue de Picardie, Amiens, 1981
  • Delmas, A., L’acte d’opposition, Ligue de Picardie, Amiens, 1981
  • Delmas, A., Les comportements d’opposition, Mémoire de BEES 2°, Paris, 1978
  • Delmas, A., Technoboxe : fiches techniques de la boxe et des autres boxes, Ligue de Picardie, Amiens, 1981-2005
  • Dempsey,J., Championship fighting, Editions Jack Cuddy, 1950
  • Devost, Manuel de Boxe Française et Anglaise, Paris, 1885
  • Deyrieux, A., La boxe anglaise, Ulisse Éditions, Paris, 1998
  • Devost, Manuel de Boxe Française et Anglaise, Paris, 1885
  • F.F.B., La boxe, guide de techniques, Éditions Vigot, Paris, 1980
  • F.F.B., La boxe, préparation physique, secourisme, hygiène sportive, rôle de l'homme de coin, Éditions Vigot, Paris, 1978
  • F.F.B., Les cahiers techniques et pédagogiques de la COFORM, Paris, 1993
  • F.F.E., Les cahiers de la commission pédagogique nationale d’escrime, INSEP, Paris, 1981
  • Imhauss, M., Chapelot, R., Langage de l’escrime, Ministère de la Guerre, 1908
  • Langlois, R., Boxe, in Revue EPS n°78 à 80, Paris, 1965
  • Lerda, L., Casteyre, J.C., Sachons boxer, Editions Vigot, Paris, 1944
  • Letessier, J., La boxe, sport scolaire in Revue EPS n°107, Paris, 1971
  • Léveillard Roger , La Boxe Anglaise - Traité indispensable aux débutants,aux amateurs,aux combattants, Amiens: , 1920
  • Petit, M., Boxe, Paris, Editions Amphora, Paris, 1972
  • Philonenko, A., Histoire de la boxe, Editions Bartillat, Paris, 2002
  • Plasait, B., Défense et illustration de la Boxe Française, Editions Sedirep, Paris, 1971
  • Rudetski, M., La boxe, Collection « Que-sais-je ? », Editions P.U.F., Paris, 1974
  • Salvini, S., La grande épopée des sports de combat et arts martiaux, in magazine Karaté, 1985.


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