Boxe

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La boxe est un sport de combat qui se pratique à un contre un, en recourant à des frappes de percussion, à l'aide de gants. Par extension, de nombreuses disciplines ont pris le nom de boxe : les « boxes sportives » modernes comme les boxes pieds-poings (B.P.P) à réglementation occidentales et les « boxes martiales » comme la boxe chinoise (kung-fu), la boxe birmane (lethwei) et la boxe thaïlandaise (muaythaï) entre autres.

Sommaire

[modifier] Les différentes boxes

La boxe connaît de nombreuses variantes. Ces variantes sont définies par leurs « cibles » corporelles, les « armes » corporelles permises et les techniques de projection.

[modifier] Les cibles à atteindre

[modifier] Les armes

Les moyens mis en œuvre pour atteindre ces cibles sont définis par les « armes » corporelles utilisées :

Par opposition à la boxe anglaise, la boxe birmane, la boxe française et la boxe thaï appartiennent à la catégorie dite des « boxes pieds-poings ».

[modifier] Les principales boxes

Il existe plusieurs types de boxes :

[modifier] Histoire

Jeunes boxeurs, Akrotini, Musée National d'Athènes
Jeunes boxeurs, Akrotini, Musée National d'Athènes

La boxe anglaise a été admise aux Jeux olympiques lors de la session du CIO tenue à Paris en 1901. Les premières épreuves olympiques ont eu lieu lors des Jeux Olympiques d'été de 1904 à Saint-Louis aux États-Unis.
À l'heure actuelle c'est la seule boxe à jouir de ce prestige puisque le "pieds-poings" n'y est représenté sous aucune de ses disciplines.

[modifier] Technique

Nous présentons ici une présentation du vocabulaire des boxes sportives modernes. Les « boxes martiales ancestrales » ne sont pas abordées cela pour l’absence de réglementation les concernant.

[modifier] Les parties du corps à atteindre en boxe

Image:hauteur cibles.jpg
Ici, les deux hauteurs de cibles pour les attaques de poing de la boxe anglaise

Dans les règlements des boxes pieds-poings, on peut découper le corps humain en trois niveaux principaux à atteindre. Selon le règlement, les hauteurs accessibles et les cibles corporelles autorisées peuvent varier d’une discipline sportive à l’autre. Par exemple, en boxe birmane, contrairement à la plupart des autres boxes pieds-poings, les techniques de poings et de coude peuvent être portées sur le membre inférieur. Il en est de même pour la savate boxe française, les frappes de pied dans l’articulation du genou et dans le dos sont permises, alors que dans la plupart des boxes sportives elles y sont prohibées.

Anglais Français
Low Le niveau sous la ceinture (le membre inférieur)
Middle Le niveau du tronc
High Le niveau du visage

Dans la plupart des boxes et des sports de combat, en matière de cibles à viser le règlement est très proche :

  • Les cibles au dessus de la ceinture pour les techniques de bras (poing, avant-bras et coudes) et de jambe (pied et tibia) sont : l’avant et le côté de la face et du tronc.
  • Les cibles du membre inférieur sont :

La surface totale de la cuisse et de la jambe (mollet).
Image:cibles.jpg
Cibles pour les attaques de poing

[modifier] Les armes

Le règlement sportif fixe le nombre d’armes corporelles à utiliser :

  • En bando-kickboxing et en kick-boxing américain seulement quatre armes sont autorisées (deux poings et deux pieds).
  • En kick-boxing japonais ou kickboxing oriental (règles du K-1) « six armes » (deux poings, deux pieds et deux genoux) plus les saisies de tronc sont autorisées.
  • En boxe birmane et en boxe thaïlandaise, on trouve « huit armes » (deux poings, deux pieds, deux genoux et deux coudes) plus les saisies (de tronc et de jambe) et les projections sont autorisées.

[modifier] Les surfaces de frappe de l’arme

Le principe général veut, et notamment pour la pratique de haut niveau sans protection, qu’on percute avec les parties dures de son propre corps sur les parties molles autorisées du corps adverse.

[modifier] Le membre supérieur

  • Le poing :

Partie de l’arme destinée à percuter la cible visée. En boxe anglaise, la surface de frappe autorisée s’arrête à la face avant du poing (tête des métacarpiens et premières phalanges du deuxième au cinquième doigt). Il est interdit de donner un coup de poing avec la main ouverte, avec l’intérieur, le dessus ou le côté de la main et avec le poignet. Pour d’autres boxes et notamment la boxe birmane, toute la surface de frappe de la main peut être utilisée.

  • L’avant-bras et le coude : en boxe birmane et boxe thaïlandaise différentes parties dures du coude peuvent être utilisées et pour l’avant-bras, les parties dures tel le bord externe du cubitus et le bord interne du radius.

[modifier] Le membre inférieur

  • Le tibia et le pied : pour les techniques de jambe différentes parties du pied peuvent être utilisées. Pour la boxe avec chaussures le panel de surfaces à employée est très vaste mais pour la pratique pied nus, seules les parties dures sont conseillées (notamment, le dessus de pied, les articulations métatarso-phalangiennes (« bol » de pied), talon et bord externe). Pour la percussion avec l’os du tibia quand le règlement le permet, est utilisée en priorité la face interne de la jambe (tibia).
Jab les hanches de profil
Jab les hanches de profil

[modifier] La gestuelle de frappe

[modifier] Techniques de poing

(exemple pour le Kick-boxing)

[modifier] Coups de poing usuels
  • Direct ou Straight-punch en anglais : coup de poing direct. Il est de forme, pistonnée, fouettée ou balancée-jetée. Nuances : le Jab est un direct à petite course, alors que le Lead est un direct à grande course puissant et lourd. On trouve également le direct court utilisé au corps à corps qui se rapproche d’un uppercut horizontal.
  • Crochet ou Hook (Hook-punch) en anglais : coup de poing circulaire (crocheté). Il existe d'autres formes de coups circulaires : le Swing (appelé également stick-punch) et le Half-swing.
  • Uppercut : coup de poing remontant (ou Rising Punch). Il est classé dans la catégorie des coups circulaires, ce qui n’est pas toujours le cas.

[modifier] Coups de poing moins pratiqués
  • Drop : coup de poing descendant (plongeant).
  • Cross-counter se présente comme un contre qui croise le bras adverse. Pour cela, la technique la plus souvent utilisée est le direct ou le drop.
  • Back-fist* : coup de poing de revers (appelé également « reverse » en anglais).
  • Spinning back-fist* : coup de poing de revers retourné (balancé).

(*) Autorisé chez les professionnels mais pas dans tous les pays

[modifier] Coups de poing hybrides

[modifier] Techniques de jambe

(exemple pour le Kick-boxing)

[modifier] Coups de pied usuels
  • Front-kick : coup de pied direct (hanches de face) – il est de forme "pistonnée", Push-kick (Pushing-kick) ou de forme "fouettée" (Front snap-kick).
  • Side-kick : coup de pied direct (hanches de côté) – il est de forme "pistonnée".
  • Semi-circular-kick ou semi-circulaire en Français : aussi forty five degrees roundhouse-kick. Coup de pied de la catégorie des techniques dites circulaires. Il est exécuté les hanches de face par un mouvement pendulaire du membre inférieur autour de la hanche (mouvement de fermeture de la cuisse sur le tronc) auquel peut être combiné une extension vive du genou. À l’image des coups de pieds circulaires, il vise habituellement les cibles latérales du corps.
  • Roundhouse-kick : coup de pied circulaire - en ligne basse ou low-kick, de hauteur médiane (niveau du tronc) ou middle-kick et en ligne haute (niveau de la tête) ou high-kick.
  • Hook-kick : coup de pied crocheté (hanches de face ou de profil).
  • Back-kick : coup de pied arrière (hanches de dos).
  • Sweeping : coup de pied de balayage uniquement sur le chausson de boxe (principales formes : balayage à la cuillère, à la louche ou crocheté). Il existe les balayages tournants (type roundhouse-kick) et retournés (type spinning hook-kick).

(1) les coups de pied directs et de côté, de forme "pistonnée", sur le membre inférieur sont autorisés chez les professionnels et notamment pour certains titres, mais pas dans tous les pays.
(2) il existe de nombreux coups de pieds hybrides, tel le "side-front" qui un "side-kick" avec les hanches plutôt de face permettant une liaison instantanée des techniques de poing très utile en défense active

[modifier] Coups de pied moins pratiqués

Catégorie des coups de pied dit « en bâton » ( Stick-kick ) :

  • Crescent-kick : coup de pied en croissant (hanches de face).
  • Hammer-kick : coup de pied retombant (porté avec le talon – coup de pied dit en "marteau" ou Axe-kick).

[modifier] Coups de pied retournés et volants
  • Spinning hook-kick : coup de pied crocheté retourné.
  • Spinning side-kick : coup de pied de côté retourné.
  • Spinning back-kick : coup de pied arrière retourné.
  • Jumping front-kick : coup de pied de face en sauté.
  • Jumping roundhouse-kick : coup de pied circulaire sauté.
  • Jumping side-kick : coup de pied de côté sauté.
  • Jumping back-kick : coup de pied de dos sauté.

(*) Certaines techniques peuvent retournées et sautées à la fois

[modifier] Techniques de genou

(exemple pour la boxe birmane et la boxe thaïlandaise)

[modifier] Coups de genou usuels
  • Straight knee-thrust : Coup de genou remontant au corps à corps.
  • Rising Knee-strike : Coup de genou direct.
  • Long-range knee-kick : coup de genou semi-circulaire.
  • Round Knee-Kick : Coup de genou circulaire.

[modifier] Coups de genou sautés et doubles
  • Jumping knee-kick ou "Flying knee kick" : Coup de genou sauté.
  • Double knee-kick : coup simultané des deux genoux (en sautant bien entendu).

(3) Ces techniques peuvent être données les hanches de face ou de profil, et emprunter différentes trajectoires (directe, remontante, piquante et circulaire). Elles peuvent être retournées et sautées à la fois.

[modifier] Techniques de coude

(exemple pour la boxe birmane et la boxe thaïlandaise)

[modifier] Coups de coude de base
  • Straight-elbow thrust : coup de coude direct
  • Spin-elbow strike : coup de coude circulaire
  • Inside-elbow strike : coup de coude de revers
  • Semi-circular-elbow strike : coup de coude semi-circulaire à trajectoire descendante ou remontante
  • Drop-elbow strike : coup de coude écrasant
  • Rising-elbow strike : coup de coude remontant.

[modifier] Coups de coude moins usuels

Certains coups de coude peuvent être retournés (spinning), sautés (jumping), portés des deux bras (doubles), amenés en « marche d’escalier » voire à effets combinés (ex. : retournés et sautés).

  • Jumping-elbow strike : coup de coude écrasant sauté.

Les coups de coude peuvent combinés avec les techniques de poing et notamment enchaînés en « cascade » (ce qui est le souvent cas en boxe birmane).

[modifier] Les balayages

Technique de déséquilibre exécutée avec le pied ou le mollet sur le (ou les) point(s) d’appui au sol de l’adversaire. Elle peut être réalisée plus ou moins haute par rapport à l’appui au sol. Elle s’exécute dans différents axes (par l’extérieur, par l’intérieur, à l’arrière ou à l’avant de la jambe adverse). Habituellement, la définition la plus usuelle d’un balayage est la suivante : « technique de jambe qui s’effectue au raz du sol pour supprimer l’appui adverse », il est de plus petite amplitude et de puissance moindre contrairement au fauchage. On trouve différentes « forme de corps » :

  • mouvement pendulaire du membre inférieur à partir de la hanche (les hanches peuvent être dans l’une des trois positions fondamentales (de face, de profil ou de dos),
  • mouvement de « crochet » du genou,
  • mouvement de « piston » du genou
  • technique de frappe circulaire, habituellement un coup de pied circulaire donné en pivotant (roundhouse-kick) ou un coup de pied crocheté (hook-kick).

[modifier] Les projections

Action destinée à expédier violemment l’adversaire au sol. Les techniques de projection utilisent un ensemble de mouvements segmentaires et musculaires qui déterminent des classes caractéristiques dites « formes de corps ». Chacune d’entre-elles fait appel à une ou plusieurs actions de déséquilibre. On trouve : les arrachés (soulevés) les balayages, les crochetages, les fauchages, les épaulés, les hanchés, les ramassages (enfourchement et autres), les gestes de sacrifice, etc. Certaines boxes sportives, et notamment celles d’Asie du Sud-est et d’Extrême-Orient autorisent les projections. Chaque discipline a son propre règlement. Exemple : saisie du cou autorisé, projection par saisie au-dessus de la ligne des épaules interdit ou technique de sacrifice interdite, etc.

[modifier] La Défense

La défense en boxe se résume par un ensemble d’actions destiné à faire échec à l’offensive adverse, comprenant les blocages de coups, les déviations de coups, les esquives de coups, les déplacements (mobilité pour ne pas être atteint) et les actions de neutralisation.

Se garantir contre les attaques adverses se présente comme un des trois objectifs principaux à atteindre dans les sports de combat de percussion à côté d’attaquer les cible adverses et d’utiliser l’action adverse à son propre avantage.

On distingue plusieurs objectifs de défense :

  • La simple mise en sécurité de ses propres cibles, quelquefois réalisée en urgence (dite défense passive : couverture neutre, blocage neutre, encaissement, etc.),
  • La réalisation d’actions destinées à utiliser l’activité adverse à son avantage (appelée par certains auteurs, défense active : le blocage déviant ou la « parade chassée » dans le but de déséquilibrer, le blocage absorbant, l’esquive (pour ces trois formes liés à des ripostes simultanées), puis le coup d’arrêt suivi également d’une riposte.
  • La mise en difficulté de réalisations offensives adverses (par le raccourcissement ou l’augmentation de la distance, par le verrouillage des armes adverses, par une déstabilisation à base de techniques de menace, de leurre, de battement, etc.).

Ces deux derniers objectifs nécessitent des qualités d’initiative, d’anticipation et d’à-propos. Pour dépasser le cliché suivant, "la meilleure défense, c'est l'attaque", on dira :

  • Le but à atteindre serait d’être capable de défendre et de contre-attaquer (riposter) dans toutes les positions avec le moindre risque.

On distingue trois catégories de défense :

  • la défense dite « classique » ayant pour but d’annihiler l’action adverse (ex. : « couverture », parade bloquée, parade opposition...),
  • la défense dite « active » favorisant l’utilisation de l’action adverse (ex. : absorption de choc, coup d’arrêt, dégagement),
  • et la neutralisation ou activité d’anticipation ayant pour but d’empêcher le déclenchement de l’offensive adverse (verrouillage des armes adverses, avancée au contact…).

[modifier] L’attitude, la garde et le style utilisé

L’attitude désigne deux notions principales. D'abord la façon de se tenir en situation d'opposition ou posture de combat (Façon d’être positionné, de se tenir, de s’orienter, d’être protégé ou en garde, etc., dans le combat. On parle plus couramment de garde, de posture ou de position) et d'autre part, la façon de se comporter en terme de comportement d'opposition ou façon de combattre (style utilisé, stratégie globale employée...). Ex. : on recense différentes attitudes de combat en boxe : garde de trois-quarts de face, garde de profil, garde en crouch, garde basse, garde le poids sur jambe avant, garde le poids sur jambe arrière, garde en appuis très écartés, etc. Quelquefois, la position du corps peut indiquer les intentions d’un combattant à l’égard de son adversaire. Ex. : une attitude de profil peut être le signe d’un travail d’esquive et riposte du bras avant ainsi que de contre.

Les anglo-saxons parlent plutôt de « position » que de « garde » à proprement parler (ex : sidestep pour la garde latérale). La garde pour ces premiers c’est le haut du corps et également les appuis au sol, ainsi ils utilisent le terme upright stance pour une position verticale de buste et full crouch pour une attitude recroquevillée. Pour nous, on utilise l’expression d’attitude de combat lorsqu’on désigne l’ensemble. Donc lorsqu’on parle de « garde » dans l’école française, on pense souvent à la position des bras pour se protéger. Mais bien plus que cela, elle désigne une organisation corporelle permettant au combattant de se préparer à défendre et d’autre part à passer à l’offensive, cela dans une configuration qui lui offre un maximum de sécurité et d’efficacité. Différentes positions permettent de faire face à un adversaire avant et pendant l’engagement et sont appelées à défaut « garde ». Comme son nom l’indique, « être sur ses gardes » c’est se mettre en alerte permanente et adopter une position favorable pour réagir. De nombreuses attitudes de garde existent : garde trois-quarts de face, de profil, garde inversée, garde haute, garde basse, garde avancée, garde ramassée, etc. Certes, il très important « d’être gardé » (hermétique), mais il faut également adopter une attitude qui permettre d’agir et de réagir rapidement et avec efficacité (donc adopter une posture efficace). A contrario un boxeur n’adoptant pas d’attitude définie où ayant les bras « en bas » est dit « non gardé ». D’ailleurs, certains boxeurs font ce choix dans la perspective de construire leur jeu sur la base de contre-informations (tromperies).

Le style représente la manière de faire propre à chaque individu et que l’on peut rapporter à des classes de « comportement-type ». Elle est propre à son tempérament, à son potentiel physique ou à ce qui lui a été enseigné par son école de boxe. Ainsi, on distingue : l’attentiste du fonceur et le technicien du frappeur, mais ce classement ne s’arrête pas là. On recense différents caractères variables pour chaque « typologie ». Par exemple, chez les styles « techniques » : boxer en coups longs, en coups d’arrêt, en coup de contre. Chez les styles « physiques » : faire le forcing, boxer en crochets puissants « à la godille », chercher le corps-à-corps, chercher le coup dur. Lorsqu’un combattant utilise sa façon habituelle de boxer (son style habituel), on dit qu’il est sur son « registre » ; cela à la manière d’un musicien qui répète ses gammes préférées. D’autre part, ce qui est appréciable dans un combat c’est l’opposition de styles. On a pour exemple le combat des années 1980, Sugar Ray Leonard contre Marvin Hagler. Le premier, utilise une boxe à reculons, faite de larges pas de côté, d’esquives de buste et de contre-attaque précises. Alors que le second, use d’une boxe en progression avant, d’une attitude compacte le buste en avant et de coups très puissants.

[modifier] Sécurité

Il est recommandé de mettre un casque pour tous ceux âgés de moins de 10 ans car le danger d'une fracture particulièrement douloureuse du nez est non négligeable.

[modifier] Combattants célèbres

[modifier] Boxe anglaise

[modifier] Légendes du Noble art

[modifier] Années 1910

[modifier] Années 1920

[modifier] Années 1930

[modifier] Années 1940

[modifier] Années 1950

[modifier] Années 1960

[modifier] Années 1970

[modifier] Années 1980

[modifier] Années 1990

[modifier] Années 2000

[modifier] Boxes pieds-poings

BA = Boxe anglaise, FC = Full-contact, KB = Kick Boxing, BT = Muay thaï, SBF = Savate, BB = Boxe birmane

[modifier] Full-contact

[modifier] Combattants mythiques des années 1970-1980

[modifier] Grandes figures internationales des années 1980-1990

[modifier] Kick-boxing

[modifier] Combattants mythiques des années 1970-1980

[modifier] Grandes figures internationales des années 1980-1990

[modifier] Grands champions du circuit K1 grand prix depuis son démarrage en 1993

[modifier] Thaï-boxing

  • Apidej Sithiran (BT) - Thaïlande
  • Pud Pad Noy Worawut (BT) - Thaïlande
  • Samarth Payakaroon (BT, BA) - Thaïlande
  • Hippie Singhamanee (BT) - Thaïlande
  • Ramon Dekkers (BT, KB) - Pays-bas

[modifier] Boxe birmane

  • Carl Beaman (BB) - USA
  • Dale Minor (BB) - USA,
  • Rick Rossiter (BB, BA) - USA, années 1977-78
  • Nilar Win (BB) - Birmanie, années 1980
  • Jerry George (BB) - USA, années 1990
  • Jean-Roger Callière (BB) - France, années 1990
  • Jean-Marc Girard (BB, FC, MT) - France, années 2000
  • Marc Apelé (BB, FC) - France, années 2000

[modifier] Savate

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

[modifier] Sources

  • Alain Delmas, 1. Dictionnaire encyclopédique de la boxe et des autres boxes, Amiens, 1981-2005 – 2. Lexique de combatique, Ligue Midi-Pyrénées, Toulouse, 1975.
commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur boxe.

[modifier] Bibliographie

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  • Delmas, A., L’acte d’opposition, Ligue de Picardie, Amiens, 1981
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  • Delmas, A., Technoboxe : fiches techniques de la boxe et des autres boxes, Ligue de Picardie, Amiens, 1981-2005
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