Zone interdite
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Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux types de territoires ont été qualifiées de zone interdite :
- une vaste étendue de territoire au nord et à l’est de la France occupée (grossièrement, nord des départements de la Somme, de l’Aisne, des Ardennes, Lorraine (en-dehors de la Moselle rattachée au gau Westmark), Franche-Comté (Terr. de Belfort) sauf le sud du Jura, moitié est de la Haute-Marne, et quelques communes de la Marne et de la Côte-d'Or, ainsi que le Nord et le Pas-de-Calais) ; ces régions sont coupées du reste de la France, les personnes ayant fui l’avance nazie se voient interdire de revenir dans leurs foyers, la plupart de ces territoires devenus « Zones réservées » (notamment les régions de l'Est) étaient destinée à devenir par la suite des zones de peuplement allemand (Hitler souhaitant la constitution d'un « Pays thiois » germanisé jouant le rôle de zone-tampon à l'ouest de l'Allemagne). Les départements du Nord et du Pas-de-Calais sont en outre rattachés au commandement militaire de Bruxelles ;
- une bande de terre de quelques kilomètres de large le long des côtes, interdite aux civils de l’intérieur des terres, et établie afin de faciliter sa défense, car destinées à la future constitution du mur de l'Atlantique.
Après la catastrophe de Tchernobyl, le gouvernement Belarus a créé une « zone interdite » autour de Tchernobyl (zone of alienation[1] en anglais)
[modifier] Voir aussi
[modifier] Notes et références
- ↑ Zone of alienation (article du Wikipédia anglais)