Discuter:Critiques de la philosophie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire

[modifier] A propos de l'article tout entier

Wikipédia est une encyclopédie. Or, cet article est bourré de points de vue... et manque à sa tâche purement descriptive.


Voici :


Intro :

La philosophie a été critiquée dès sa naissance. Certaines critiques sont extérieures au discours philosophique (par exemple, les critiques du sens commun, ou les critiques dues aux disciplines plus scientifiques), d'autres lui sont internes (critiques des philosophes entre eux). Jusque là, OKMais toute critique peut faire l'objet d'un examen philosophique ; on ne peut d'ailleurs concevoir de philosophie sans critique.En quoi faire de la philosophie est utile dans une encyclopédie ? C'est déjà une prise de position que de vouloir faire une analyse philosophique du débat. Ici, il n'est utile que de rappeler les thèses qui s'opposent, sans les juger

§1:

Sans doute peut-on dire que l'activité philosophique nous libère de certains préjugés par son caractère réflexif qui pousse à réinterroger ce qu'on croit connaître. Elle fait tout d'abord perdre l'équilibre à celui qui commence de la pratiquer. Il n'a plus l'appui de ses opinions et la perte de ses croyances provoque une violente douleur : Les discours de la philosophie blessent plus sauvagement que la vipère. (Alcibiade dans le dialogue du Banquet de Platon).Ce passage n'a pas non plus sa place dans une encyclopédie... Il n'est pas question ici de défendre la philosphie, ni même de la critique, mais de faire l'état des lieux du débat qui oppose les prophilosophes aux autres

§2 (là c'est festival...)

> Beaucoup déclarent la philosophie une discipline morte. Jusque là OKC'est évidemment remettre en cause tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à la philosophie, et principalement ceux qui l'enseignent et tentent de la faire "vivre".N'a pas sa place ici : l'objectif est de faire l'état des lieux, non de contrecarrer les thèses des opposants à la philosophie

> La science répondrait d'une manière beaucoup plus concrète à certaines de ses questions ; par exemple, la définition du substrat du monde, la matière, est en perpétuelle évolution d'après la chimie et la physique fondamentales. Le goût, étudié par Kant, l'est en fait aussi en sociologie (cf. Bourdieu, La distinction).OK Ces critiques omettent L'usage de ce terme évidemment connoté pose à nouveau problème...le fait que beaucoup de philosophes ont reçu une formation scientifique, et que d'autre part nombre de problèmes scientifiques engendrent par eux-mêmes des questionnements philosophiques.Il ne faut pas oublier non plus que toutes les disciplines scientifiques (physique, chimie, astronomie, biologie) ont commencé par une interrogation dans le cadre de la philosophie, qui constitue à cet égard le couvain des autres sciences. Son produit le plus récent est constitué par les sciences cognitives.

> De même, les philosophes se désintéresseraient, soit-disantENCORE INUTILE ET CONNETE!!!, de la science. toute la suite est à réécrire car parsemée de choses stupidesCette critique relève plus d'une méconnaissance du domaine pas sa place ici, et comme la suite est le développement de cette idée, elle n'a globalement pas non plus sa place. et ce bien que certains passages soient relativement objectifs pour être soulignéset d'un franco-centrisme que d'une position réellement sérieuse. Non seulement il existe une longue tradition de philosophes intéressés par la science (Pascal, Descartes, Poincaré, etc.) mais l'intérêt pour la science de certains courants philosophiques à même été quasi exclusif (Cercle de Vienne). De nombreux philosophes ont ainsi une culture scientifique adaptée aux connaissances de leur époque. En France, la tradition phénoménologique et les post-structuralistes ont contribué à véhiculer une image de la philosophie éloignée de la science, mais la proximité entre science et philosophie existe, comme la philosophie analytique, très développée aux États-Unis, le montre. Notons que les premiers penseurs étaient de grands géomètres ou mathématiciens : de Pythagore à Aristote, nombreux étaient ceux qui avaient de solides connaissances dans les domaines scientifiques; les discussions contemporaines entre les frères Bogdanov et Jean Guitton sont l'exemple parlant de la pertinence un dernier pour la route... de l'interrogation philosophique dans le monde scientifique actuel.

> la philosophie serait une idéologie liée à une époque, à une situation sociale. Dans ce cas pourrait-il vraiment exister une histoire ou une définition de la philosophie on a ici affaire à un questionnement philosophique, qui, à nouveau, n'a pas sa place dans une encyclopédie. l'avis n'a rien à y faire.? Car, si les idées philosophiques sont socialement déterminées (toujours en partie par la société en partie par celui qui les porte ), commnent établir un lien entre le philosophe grec Parménide et le classique Leibniz, entre le grec Marc Aurèle et le moderne Hegel ? Dès lors comment définir une évolution ou même un progrès de la philosophie ? Quels sont les 'acquis' véritables de la philosophie ?

> donc là c'est un peu différent, en cela que c'est l'avis opposé qui prédomine... l'auteur cherche à démontrer que la philo serait une discipline sclérosée... cependant, bien que le titre de l'article soit "critiques de la philosophie", il est hors de question de les faire ici. La seule question qui se pose est de recenscer les débats qui existent dans ce domaine, pas de chercher à convaincre quelqu'un en particulierIl se manifeste actuellement un courant, encore disséminé, qui tente de réaliser une approche positive du champ philosophique. En prenant la philosophie et son histoire pour objets, la sociologie pourrait apporter une contribution à l'effort de cette discipline pour se libérer des contraintes qui l'emprisonnent. Mais le corps professoral des philosophes considère, la plupart du temps, toute analyse sociologique des pratiques et des institutions philosophiques comme une « attaque » contre la philosophie elle-même. Ceux-là, dont l’idéologie professionnelle décrit la lecture des grandes œuvres philosophiques comme acte de « re-création », prétendant rééditer la « création », récuse toute détermination sociale, donc toute incorporation du discours philosophique dans une histoire.


> La technique pédagogique de l’"actualisation" – justifiée en un sens par le souci de rendre les auteurs et les textes plus « vivants », et par là plus « intéressants » , conduit à un anachronisme singulier: il aboutit à priver la philosophie de toute assise historique. En vertu de ce phénomène, nous en arrivons à des histoires de la philosophie, qui n'en sont pas,ça recommance dans la démonstration... tout porte à croire que l'auteur misérable de ces lignes manque de visibilité médiatique, et se sert de wikipédia comme d'un faire-valoir pour ses idées... il semble oublier que c'est une encylcopédie, non un forum c'est-à-dire deviennent anhistoriques, et donc souvent indigestes pour le novice, compte-tenu de la multiplicité des doctrines anciennes ou modernes.


> Les histoires de la philosophie, par delà leurs divergences, s’accordent toutes pour poser l’irréductibilité du discours philosophique à tout déterminisme social. S’il est une question que la philosophie, pourtant si questionneuse, et l’histoire de la philosophie qui l’a raconte, s’ingénient à exclure c’est la question des conditions sociales de possibilité de la philosophie et du philosophe, et des effets philosophiques qui sont impliquées dans ces conditions. Or, seule une sorte de criticisme sociologique, attaché à porter au jour les conditions pratiques et théoriques de la pensée philosophiques, c’est-à-dire les intérêts, plus ou moins sublimés philosophiquement, qui s’investissent dans l’activité spéculative, pourrait donner toute son efficacité à la mise en suspens des présupposés qui sont inscrits dans les positions et dispositions dont ils sont les héritiers. Il n'existe pourtant pas de travail d'ensemble qui ferait la synthèse des diverses études sur un tel sujet. D'ailleurs il existe très peu d'études particulières sur ce thème ! Louis Pinto, proche de Bourdieu, a le mérite d'être l'un des rares sociologues à s'être penché sur la question et y avoir consacré quelques précieux articles. On peut citer aussi C. Soulié, également proche de Bourdieu je ne suis pas philosophe, mais là vraiment ce qui est écrit est imbuvable... il me semble comprendre que c'est une tentative de synthèse quant aux réflexions développées pendant tout l'article, or comme ces réflexions n'ont pas leur place ici, il me parait légitime de supprimer tout ce passage, en entier. toutefois, je ne le ferais pas car j'y comprends rien...

Mmmm....Je suis d'accord que cet article fourmille de n'importes quoi (dont je suis partiellement responsable ;p). Mais je crois que le problème est bien plus profond. L'article est sensé parler des critiques de la philo, et si on veut faire un article potable je vois mal comment ne pas faire une division entre les critiques qui portent vraiment et celles qui ne sont pas de "bonnes" critiques. C'est comme pour tous les domaines ya les critiques qui se tiennent et celles qui montre juste que l'on y connait rien.
A la base l'article recense des points de opposés à la philo, ça me parait quasi impossible que l'article ne soit pas blindé de points de vue, au moins de ceux des gens qui sont contre la philo.
Et si on fait juste une liste des critiques de la philo sans rien l'article risque de ressembler à Arguments pour l'existence de Dieu (qui n'est pas ouvertement le meilleur article de wikipédia). Je vois assez mal la pertinence d'un article Critiques de la philosophie qui ne parlerait pas de point de vue, après il faut essayer d'éviter que ce soit le pugilat entre les anti philos et pro philos au sein de l'article. Cherry 5 juin 2006 à 07:35 (CEST)

L'article est sensé décrire les arguments de ceux opposés à la philosophie. Il n'est pas ici question de dire quels arguments ont plus de force que d'autres, mais juste de dire quels arguments existent. C'est ensuite à chacun de se faire sa propre réflexion sur ce qui est valable et sur ce qui ne l'est pas. Dire, dans une encyclopédie, ce qui est valable de ce qui ne l'est pas relève, pardon pour la comparaison, d'un fascisme intellectuel. Donc il existe une différence fondamentale entre 1. rapporter des points de vue, ce que l'article doit faire et 2. critiquer ces points de vue, ce que vous faites.

Je suis allé rapidement faire un tour sur l'article dont vous parlez. Et bien que aride et très incomplet, il me semble plus proche de ce que doit être une encyclopédie que l'article dont nous parlons.

Enfin, je ne peux que rappeler que "les critiques qui se tiennent", donc vous parlez, c'est à chacun d'en faire le tri, et sûrement pas à vous. Si vous voulez le faire, faites le mais ailleurs. Wikipédia n'est pas une tribune, mais un recueil de faits objectifs.--Olivier Simard-Casanova 7 juin 2006 à 01:31 (CEST)

Wowowowow on se calme. petit 1 : on ne traite pas les autres utilisateurs de fascistes intellectuels, petit 2, surtout quand l'utilisateur en question n'a fait une seule contrib sur l'article. Si cet article est pourri j'ai ma responsabilité mais je vais pas endosser en plus ce qui était mauvais avant que je débarque.
Bon. Je suis d'accord qu'il faut décrire les arguments des gens qui sont contre la philo sans forcément critiquer les critiques. Mais pour l'instant l'article ne fait pas ça! Il donne des points de vue sans en exposer aucunes raisons. Il dit "La philo se désinteresse de la science", point. Non argumenté ça n'a aucun intérêt : si c'est développé en disant, par exemple, que des courants comme l'herméneutique se sont centrés sur des questions différentes que l'analyse de la science, que des auteurs comme Derrida sont très proche de la littérature, là ça devient une critique argumentée. Pour l'instant l'article ressemble pas à ça. Beaucoup déclarent la philosophie une discipline morte : ouais, et après? rien n'est développé.
Sur la critique des critiques de la philosophie. Le but n'est pas de transformer l'article en forum, ni d'en faire l'expression des points de vues les plus subjectifs. Je veux bien que l'article parle de faits objectifs, mais c'est un fait que certaines critiques de la philo ne portent pas. C'est pas que je veuille défendre la philo mordicus, ou que je veuille pas que les gens fassent eux même le bilan de ce qu'ils ont lu dans l'article, mais si on présente les critiques de la philosophie sans rien dire de leur pertinence comment peut on faire ce bilan? Il n'est pas ici question de dire quels arguments ont plus de force que d'autres, mais juste de dire quels arguments existent. Je trouve que c'est une perte énorme de juste dire "cette critique existe" sans au moins profiler une évaluation de la critique. Je sais que c'est super tendancieux et dur à faire en étant neutre, mais je crois pas que ce soit impossible. Là encore je veux pas tomber dans le subjectivisme, je veux juste dire que certaines critiques contre la philosophie ne marchent pas pleinement. Je prends un exemple :

"La philo a été critiquée pour son désintérêt de la science". C'est un fait que ce désintérêt est souvent reproché à la philo. Mais c'est tout autant un fait que seule une partie de la philo se désintéresse de la science, pas toute la philo. A quoi sert de donner une liste de critiques si on ne donne pas aussi des éléments pour évaluer la pertinence de ses critiques? De tels élements pourraient être : a) à son origine, la philosophie n'était pas distincte de la science b) au XVIIm siècle de nombreux philosophes étaient aussi des scientifiques c)La science était nommée "philosophie naturelle" à cette époque d) au XXm siècle il a existé des courants philosophiques considérant que le seul role de la philosophie était de clarifier ce que disait la science (je pense aux néopositivistes et au cercle de vienne -même s'ils sont plus nuancés).

Je suis pour qu'on expose les critiques de la philosophie le plus fidèlement possible, qu'on expose leurs arguments, mais je pense qu'il est aussi nécessaire de donner des élements supplémentaires pour qu'on puisse soi meme évaluer ces critiques. Faute de dire "cette critique ne porte pas", l'article peut au moins donner des faits qui iraient contre la critique si besoin. Je reprend le meme exemple : on présente le point de vue, ses arguments (ex:Derrida ne s'interesse pas principalement à la science, l'herméneutique est plutot du coté de l'art et de la littérature, etc.), et on présente des élements pour nuancer la critique (a), b),c), d) mis plus haut par exemple). J'ai l'impressionque si on ne présente pas (quand il y a matière à la faire) de quoi nuancer les critiques on tombe dans l'unilatéralisme, et que l'article est beaucoup moins intéressant. Et je ne crois pas que donner certains faits qui vont contre les arguments de certaines critiques de la philo soit forcément cesser de "décrire", je pense qu'on peut faire ça dans le respect de la NPOV. Même si c'est pas ce qui est fait sur cet article pour l'instant.Cherry 7 juin 2006 à 10:53 (CEST)

Vous dites que l'article ne critique pas les critiques, or c'est faux, archi faux ! Pour preuve le long développement qui a servi de point de départ à cette discussion. Je ne reviens donc pas là-dessus et je considère comme acquis le caractère biaisé de cet article.

Très brièvement, je vais reprendre le principes de base d'une encyclopédie : les faits, rien que les faits. De là, ami philosophe, on peut très rapidement faire découler pas mal d'éléments... Le premier : puisqu'on ne s'intéresse qu'aux faits, l'enrichissement d'une encyclopédie passe par l'adjonction de nombreux autres faits à ceux déjà existant. Vous dites ensuite que c'est un fait que certaines critiques de la philosophie ne portent pas. Non, absolument pas. Vous avez tout faux, et plus encore. Car un débat va s'installer entre vous qui prendrez telle critique pour stupide alors qu'un autre la trouvera fondamentale. Je pense qu'une encyclo n'a pas à déclancher des débats mais à nourir ceux déjà existant, justement en fournissant des faits.

Comme vous n'avez pas l'air de considérer pourquoi je dis que vous êtes un fascite intellectuel, je vais reprendre la chose en détails : VOUS N'AVEZ PAS A DONNER VOTRE AVIS ! Vous n'avez pas à dire quelle critique porte de celle qui ne porte pas. Vous avez à dire : "ici A s'oppose à B, avec tels arguments. Mais C dit que A a tort, car B serait, selon C, exact sur les points là et là". Vous n'avez pas à dire : "ici A s'oppose à B avec de tels arguements. Mais A a tort parce que tel argument est infondé". Je pense que l'idée est suffisamment clairement exposée pour porter.

Maintenant, donner des faits qui tendent à démontrer que telle critique ne porte pas c'est pour un assidu de philo tel que vous une possibilité presque insultante. Je veux dire qu'il est évident, et là je parle de faits, que la philo est une discipline avant tout portée sur la réflexion pure (dans cette phrase tous les mots ont une importance, TOUS). Elle se fiche pas mal de la réalité, pour la simple raison qu'elle est d'un déductif pure : les réflexions partent d'hypothèses sur lesquelles sont batis les raisonnements. En économie on a un courant-boulet qui s'appelle l'économie mathématisée qui, bien que très majoritaire, balance sophismes sur sophismes. Enfin bref, peu importe. Donc dire "A a tort parce qu'on voit ici que c'est pas vrai", c'est faire insulte à votre culture philosophique, dans la mesure où un fait (=un exemple) ne prouve rien. Un exemple est un exemple, point. On le contre avec un contre-exemple, un partout la balle au centre. C'est pas constructif et surtout intellectuellement c'est une perte de temps. Donc dire "A a tort parce qu'on voit ça ici" ne tient pas, puisqu'il suffirait de trouver UN SEUL contre-exemple pour montrer que "A a raison". Donc pas d'exemples.

Une description claire, précise et abordable des débats est la seule raison d'être d'une encyclopédie.

Quant à l'idée de donner la possibilité aux lecteurs de continuer leurs réflexions, je suis d'accord que c'est utile mais ça n'est pas le fait d'une encyclopédie ! Qui doit, au risque de me répéter, ne contenir que des faits. Si un internaute veut en savoir plus sur un élément, il fait des recherches sur Wikipédia. S'il veut se faire un avis plus précis, il tape la chose en question sur Google et se fait son tri. Wikipédia est un support pour le factuel, mais n'a pas vocation a créer du débat. Il existe d'autres structures pour ça, forums et blogs par exemple. Olivier Simard-Casanova

Alors. Primo il y a maldonne, je n'ai pas dit que l'article n'était pas biaisé et qu'il ne critiquait pas les critiques de la philo. J'ai dit qu'il ne le critiquait pas de la bonne façon. Et je suis totalement d'accord avec le fait que l'article soit biaisé. Sur quoi quelques petits points pour écourter le débat. Il y a quelques différences entre nos deux points de vue trop fondamentales pour qu'on puisse se mettre d'accord, alors autant clarifier ça et aller faire autre chose.

1)On peut établir de façon stricte la différence entre l'énoncé d'un fait et l'énoncé d'un point de vue. Ça me semble douteux. Je ne prône pas le viol de la NPOV à tout va, mais considérer qu'on peut parler de fait, rien que de fait me semble assez douteux. A fortiori dans un article qui parle des Critiques de la philosophies. Qui que ce soit qui modifiera l'article il risque d'être partisan, et il y en aura toujours un pour dire que le premier passé par là n'était pas neutre. En un mot : la division fait/point de vue est flottante, difficile à établir, et idéale. Ça me désole un peu de dire ça alors que d'habitude j'ai tendance à essayer de montrer qu'il y a une différence fait/point de vue à des gens qui soutiennent le contraire, mais même si je pense que la distinction existe il faut pas la croire plus stricte qu'elle n'est.

2)la philo est une discipline avant tout portée sur la réflexion pure. Elle se fiche pas mal de la réalité, pour la simple raison qu'elle est d'un déductif pure. C'est très très très très contestable. Et dans la mesure du possible mieux vaut essayer de ne pas faire intervenir les conceptions de la philosophie, ya assez de désaccords sur le sujet pour ne jamais finir cette convers. Accessoirement, désolé de dire ça, mais ce que tu décris ressemble beaucoup plus à la logique mathématique qu'à la philo. La logique c'est bien la science pure des déductions (en gros). Et ce que tu dis sur les exemples ça ressemble au problème de l'induction, qui est une authentique question de logique.

3) Je n'ai pas à donner mon avis. Mais je suis d'accord! Mais la structure que tu donnes (le truc avec A, B, C) n'est pas celle que je propose! Reprenons A et B. A critique B avec les arguments factuels x, y, z. J'invoque pas C ou quiconque d'autre. Admettons que x, y , et z soient des faits constatés. Je dis que ce serait un manque de l'article de ne pas mentionner, quand il y en a, les faits u, v, w, qui vont à l'encontre de x, y, ou z. Mais u, v, et w n'ont droit de cité que s'ils sont des faits. Ma question n'est pas ce que dirait un quelconque C. Si A critique B en énoncant des faits, et qu'il existe d'autres faits qui vont contre les faits que propose A pour appuyer sa critique, en quoi ce n'est plus décrire des faits que présenter ces autres faits? Faut savoir.
Si l'idée de fond c'est : on doit présenter les critique de la philosophie telles que ceux qui les énoncent les présente et sans ne rien y ajouter j'ai déjà dit que c'est tomber dans l'unilatéralisme inverse à celui qui veut faire l'apologie de la philo à tout prix.
Si l'idée de fond c'est il faut faire un article sur les critiques de la philosophies qui énonce des faits il n'est pas incompatible avec ce que je propose. Parce qu'un article sur les critique de la philosophie n'est pas forcément une liste de critiques balancées sans rien (et pour l'instant, dans l'article, sans arguments).
Un article sur les critiques de la philosophie peut très bien mentionner ces critiques, parler de leur contexte d'émergence, de la façon dont elles ont été reçues à l'époque où elles ont été formulées, dire quelles critiques reviennent souvent dans l'histoire : tout ça n'est pas une simple liste, ça me parait être de loin un meilleur article. Ce que je dis c'est qu'en plus de tout ça, un bon article pourrait contenir (faute d'une partie "les réponses qui ont été présentées" parce que sinon ce serait la guerre), pourrait contenir des élements factuels qui pointerait les limites de certaines critiques (les limites des critiques font partie des faits portant sur les critiques). Et ce n'est pas forcément énoncé un point de vue que de dire qu'une critique à ses limites! J'y peux quoi moi, si Descartes était mathématicien et physicien? J'y peux quoi si à l'époque grecque la distinction philosophie et science n'était pas si nette? C'est pas mon point de vue ça, c'est des faits. Et autant c'est un fait qu'il y a des critiques contre la philo qui l'accuse de se désintéresser à la science, autant c'est vrai que cette critique ne peut pas être faite à TOUTE la philosophie. Allez dire à Descartes ou à Popper que la philo s'intéresse pas aux sciences, ils vont se marrer. Je n'ai jamais dit que la critique ne portait pas du tout, j'ai dit que la critique doit être restreinte à certains types de philo pour porter. Je pourrais presque dire que je défends les critiques de la philo en restreignant leur champ!

Sur ce, comme promis, je vais faire autre chose. J'ai pas la passion des débats inutiles infinis. Cherry 12 juin 2006 à 23:08 (CEST)

J'écris ici avec une volonté de conciliation et de trouver une solution. Et je vais essayer de ne pas être incisif (et si je l'ai été, ce n'est pas de votre fait, c'est juste que je m'enflamme très facilement...).

1. Enoncer un fait/énoncer un point de vue : désolé de le dire, mais la distinction que vous posez entre fait et point de vue n'est pas pertinente par rapport à ce que j'ai proposé. En l'occurence, je propose ici de considérer les points de vue comme des faits. Et comme une encyclopédie est précisément friande de faits, c'est tout juste ce qui est nécessaire. Je m'éloigne un peu du sujet de l'article, mais par exemple un prof d'économie peut très bien énoncer en détail la théorie du marxisme sans jamais prendre le moindre parti. Il lui suffit de dire que : "Marx a expliqué ceci, Marx a expliqué cela". [Digression : et c'est ça je pense l'idéal d'une encyclopédie : énoncer tout ce qui existe sous la forme de faits.] Juste pour en revenir à notre sujet : on peut énoncer dans le détail les critiques de la philosophie. Je pense que l'article sera réussi le jour où toutes ces critiques seront précisément et justement détaillées.

2. Pour le caractère non réel de la philosophie, c'est un autre débat que je ne tiens pas à détailler ici.

3. A, B et C et x, y et z : je suis d'accord avec tout ce que tu dis à propos de ça. Simplement, là où un problème se pose, c'est quant aux faits. Tu cites x, y et z. Mais le problème c'est que l'avis mettons de A nécessite très probablement un nombre bien plus considérable de faits pour être corroboré et/ou mis en échec. Je pense que dans l'absolu certains ont raison et d'autres ont tort, mais précisément parce que le nombre de faits à étudier est trop important, on ne saura jamais qui a raison de qui a tort. [Digression : on touche d'ailleurs du doigt le principe de la science (selon moi). A savoir qu'il existe une Vérité absolue et totalement objective, mais qui reste inintelligible aux êtres humains, qui sont subjectifs. Et la science tend vers cette objectivité.] Par suite, comme le nombre de faits a considérer est phénoménal, il est nécessaire de faire une sélection. Elle n'est d'ailleurs pas forcément consciente.

Par exemple, il existe une critique comme quoi la philosophie serait une discipline morte. L'article y répond par le fait (vérifié) qu'il existe aujourd'hui beaucoup de philosophes en activité. Seulement, on pourrait à nouveau répondre à cela par : "oui, ils sont en activité. Mais aujourd'hui personne n'écoute les philosophes, et rien n'indique qu'une discipline en activité ne soit pas forcément créatrice : si la philosophie actuelle est tournée vers une reformulation continue des théories passées, alors on peut la considérer comme morte". Je ne dis pas ici que la philo est morte ou vivante, j'essaie simplement de montrer qu'un fait en appelle à un autre. Et ainsi de suite.

Donc tout ça pour dire que dire d'une critique si elle est fondée ou non est un travail trop considérable pour être humain. Par conséquent, je propose de s'attarder sur la constitution solide d'une description des critiques de la philosophie comme faits observés.

Olivier Simard-Casanova 3 juillet 2006 à 02:13 (CEST)


  • "La science répondrait d'une manière beaucoup plus concrète à certaines de ses questions ; par exemple, la définition du substrat du monde, la matière, est en perpétuelle évolution d'après la chimie et la physique fondamentales. Le goût, étudié par Kant, l'est en fait aussi en sociologie (cf. Bourdieu, La distinction)." : La science ne répond à rien en ce qui concerne les questions métaphysique de l'homme. La vanité de l'homme est plutôt de croire qu'il comprend les lois de la nature et de l'univers alors qu'il n'en finit jamais d'en découvrir de nouvelles. La physique quantique est une bonne illustration de l'ignorance de l'homme : on invente on réfléchie à partir d'un monde basé sur des lois supposés réelles (les lois de Newton par exemple) pour finalement se rendre compte que ces lois ne sont peut être qu'illusion car de nouvelles apparaissent lorsque que l'on observe l'infiniment petit. Vincent K

[modifier] A propos de la conclusion

La conclusion n'a guère sa place ici, il s'agit de recenser quelques critiques de la philosophie et non de la déféndre ici : il s'agit d'une encyclopédie, non d'un forum... D'autant que l'auteur invite le précédent à lui répondre... Cela n'est guère viable pour une encyclopédie... Pourrait-on simplement supprimer cette partie, ou au moins la modifier pour que cela ne fasse pas match de ping-pong ??

--Jej 2 mars 2006 à 16:09 (CET)

Réponse

La défense de la philosophie fait partie essentielle de la "critique de la philosophie".

Mais d'abord peut-on critiquer la philosophie sans sophisme? Car la critique de la philosophie est déjà en soi une philosophie.

Nul n'a une réponse définitive, et l'investigation en ce domaine ne peut que revêtir une forme dialoguale. Non pas avec tel ou tel mais avec tout un chacun.

Forum? Non mais fugue à plusieurs voix...

Qu'était-ce donc que la maïeutique de Socrate, sinon un dialogue?



Réponse à l'auteur de la conclusion...

Certes ! mais lorsque j'ai voulu aborder ce sujet sous la notion 'philosophie', on m'a renvoyé dans cette annexe ! Et pourtant, pour reprendre votre argument dans l'autre sens : la critique de la philosophie fait partie essentielle de la philosophie !!! Je ne vois alors pas pourquoi on fait une page à part pour la critique de la philosophie, si ce n'est pour un peu plus de clarté, clarté que vous vous plaisez à confondre... Bien à vous... --Jej 10 mars 2006 à 16:01 (CET)

[modifier] Enlèvement de la conclusion

Salut. J'ai enlevé la conclusion (apparement je suis pas le seul à qui elle a posé problème). Mes raisons :

  1. Elle parle de "constat". C'est douteux que son contenu soit des "constats"
  2. Ces "constats" sont globalement tous faux. Je développe en dessous.
  3. Toute la conclusion flirte avec la NPOV.
  • la philosophie ne se renouvelle plus --> méconnaissance du domaine.
  • Pas d'oeuvres conséquentes dans le second XXm sicèle -->Faux. méconnaissance du domaine.
  • La philosophie actuelle se contente souvent de ressasser les doctrines anciennes -->histoire de la philosophie et philosophie font deux.
  • Le philosophe ordinaire tient souvent des propos irresponsables (et suite du paragraphe) ---> NPOV

Cherry 27 mai 2006 à 19:06 (CEST)


[modifier] Intérêt de l'article ?

Au vu de la longue discussion ( enfin, peut-on appeler ça une discussion ) plus haut, je me demande si l'intérêt de l'article, dans sa forme actuelle, n'est pas nul.

Critiques du sens commun

Aristote et Platon critiquent la philosophie, évidemment, mais c'est pour mieux la faire avancer, pour mettre à jour certaines erreurs qui, du coup, ne relèveraient plus de l'analyse philosophique mais plutot d'une mauvaise conception /usage de la philo. Le sens commun sert justement beaucoup dans les dialogues de Platon pour amener son interlocuteur à s'intéresser à la philo, en s'appuyant sur des choses de la vie de tous les jours, sur des exemples précis et concrets. C'est un style d'approche, qui passe par le questionnement et le dialogue. Se servir de cette approche pour critiquer/rejeter la philo, c'est faire un contre-sens.

Ensuite, sauter les siècles et rapprocher, sur un même sujet, Berkeley, Hegel, Moore et Platon, c'est dangereux. Surtout quand l'un se sert du sens commun comme invitation à la philo, alors que les autres en parlent ( surement ? je n'ai pas vérifié ) en bien autre termes.

Dogmatisme et vanité de la philosophie

Opposition stérile entre science et philo, parti pris, discours non maitrisé.

Ma conclusion

Article à reprendre completement, mais à ne pas laisser en l'état.

--Ryan 21 septembre 2006 à 11:09 (CEST)

Je suis, complètement, d'accord. Je pense que cet article est intégralement à recycler, et qu'en l'état il ne vaut RIEN. Mais mon différent noté plus haut, m'empeche un peu de rentrer personnellement dans la refonte de cet article. Demande sur la page du Discussion Projet:Philosophie si quelqu'un veut s'en charger, ou quelques personnes. Je pourrais en etre, mais tant qu'on est 2 et pas fondamentalement en désaccord je vois pas comment faire avancer cet article. Sh@ry tales 21 septembre 2006 à 19:15 (CEST)
J'ai participé à ladite "discussion" plus haut, ce que je regrette aujourd'hui vu qu'elle n'a pas été, selon moi, très constructive... Je voulais juste y expliquer pourquoi il fallait supprimer certaines choses. Ces choses ont été supprimées, donc voilà. Je n'ai pas les compétences nécessaires pour réécrire cet article, et je rejoins Cherry (pour une fois ;)) qui propose de confier cette tache à un volontaire du projet philo. Olivier Simard-Casanova 3 novembre 2006 à 21:06 (CET)

[modifier] Cet article ne devrait pas exister

Non seulement cet article est médiocre, mais il n'a comme, critique de la psychanalyse, Critique du libéralisme économique, et j'en passe des meilleurs aucune raison d'être. Wikipédia est une encyclopédie, enfin se veut comme telle, chaque entrée doit aborder une notion de façon complète, c'est à dire ses aspects positifs et négatifs s'il s'agit d'un objet concret, ce qu'elle résout et éclaire comme ces limites et ces critiques s'il s'agit d'un concept, ces bonnes et ces mauvaises actions s'il s'agit d'une personne, etc. Le fait même que ces articles soient confus et partiales, montre à quel point ils n'ont pas été crées dans un but encyclopédique. W maître cabalistique 18 décembre 2006 à 19:41 (CET)

En fait à la base je crois que c'est une scission de Philosophie pour couper court à une guerre d'édition. Celà dit, oui l'article ne vaut RIEN (pas faute d'avoir personnellement tenté de l'améliorer, mais ça a fini en guerre d'édition). Par contre vu l'histoire de la philosophie (2 millénaires et demi, et son caractère polémique, je pense qu'un article sur les critiques peut se justifier, sans être une sous pages débile qui critique la philo, mais en étant une mise en perspective des différents types de critiques, de leurs portées relatives, &c. Sh@ry tales 18 décembre 2006 à 20:12 (CET)

[modifier] Proposition d'ajout

Hola... navré d'arriver un peu au milieu de cette grande guerre, puissance et fratricide, mais j'avoue partager l'opinion générale : l'article est mauvais. Pis, il est mal écrit. Et ce n'est même pas faire office d'une doxa médisante que de l'affirmer... bref, mais comme la critique seule est aussi désastreuse que le mal, je propose modestement un paragraphe que je soumets préalablement au jugement, et ce avant l'agora ^^. "La philosophie est accusée à l'égal de quelques autres sciences d'être une suite éreintante de verbiages, de termes techniques complexes et obscurs, et de faire usage d'une forme suffisamment complexe pour éveiller la suspiscion plutôt que l'interrogation, voire, comme il se devrait pour ses louangeurs, l'étonnement. A cet égard, la critique d'un domaine textuel rédhibitoire est déjà une généralisation qui ne tient guère compte des publications jugées "initiatrices" à l'image de la mode antique grecque (discours exotérique), ce qui nourrit ansi une réticence infondée sur la difficulté apparente pour masquer, éventuellement, les finesses théoriques délicates. Or, si cette critique reste culturellement présente, cela est peut-être causé par le sentiment que la philosophie impose une justesse de raisonnement plus ou moins catégorique qui tranche ainsi le bien-penser, comme il existe un bien-dire, du "mal-penser", qui serait psychologiquement et intellectuellement discriminatoire. Car, après tout, d'autres sciences humaines peuvent présenter des versions qui, tout en ayant leurs technicités, n'attisent pas autant les détracteurs : ce manichéisme jugeur serait donc déconsidéré, implicitant par là une existence d'autres logiques et d'autres spontanéités qui, sans être réflexives, peuvent parvenir à satisfaire la résolution d'un problème sans "s'encombrer" de ces nébuleuses sinuosités. Ce "prétendre-penser" --- infirme car voué à n'être jamais unique, et à ne devoir par là s'instituer comme référence --- qui se voudrait malgré cela glorieux (voir "Vanité de la philosophie"), est d'autant plus critiqué qu'il incarne la pensée théorétique sans souci aucun des réalités physiques, toujours selon l'opinion contradictoire. Pensée peut-être dérivée du modèle platonicien, la philosophie moderne a pourtant largement dédit ces considérations, en s'investissant dans les champs de la technique, de la bioéthique ou de la sociologie." On pourrait ensuite continuer sur ce qui a déjà été dit, avec le renvoi de l'"accident Thalès" :-D. Si cette version est accréditée, ma foi, on pourra songer à y donner quelques suites ! :-)

Ce propos non signé a été ajouté par Utilisateur:The shade

Bonjour, The shade je viens de lire votre passage. Désolé, il ne peut clairement pas être inséré dans l'article car, qu'il soit intéressant ou non (là n'est pas la question), il relève d'une interprétation personnelle (on a l'impression de lire un morceau de dissertation, p.e. pertinente, là n'est pas la question, et non un article encyclopédique).
Vous n’êtes p.e. pas bien expérimentés avec wikipédia , ainsi je vous invite à lire WP:NPOV et WP:TI pour que vous voyez quelles sont les règles d'écriture qui sont les fondements de cette encyclopédie. Il est sûr que l'état actuel de cet article (voir les discussions au dessus qui l'évoque) ne donne pas une bonne idée de la neutralité de point de vue (npov) qui doit présider à un article :-) ! Au plaisir de vous voir participer pleinement après avoir pris connaissance de ces règles. Sinon, à partir de la page d'accueil vous trouverez bcp de pages d'aide destinés aux nouveaux contributeurs.
Cordialement --Epsilon0 24 mai 2007 à 20:49 (CEST)


Hola !
J'entends bien, ce n'est pas vraiment une dissertation, et je n'y prétendais d'ailleurs pas, mais, me semblait-il, quelque chose comme un "esprit de l'essai" (autant qu'un essai ^^) pouvait peut-être convenir pour présenter ces débats. Sans faire le résumé de tout ce qui a été fort bien dit précédemment, je crois qu'un exercice de synthèse serait idiot puisque la parole des critiques n'est pas égale en qualité, et qu'au fond la vue la plus méritante n'est pas la querelle de savants sur un sujet --- les philosophes eux-mêmes ont le saoul de critiquer la philosophie ! --- mais plutôt l'aspect que prête des "incroyants" à ce domaine. Bon, c'était un esai de style différent pour sauver les meubles ; je ne vois en effet pas trop de juste milieu entre reports des critiques et rapports synthétiques réflexif (ça mènerait à de la philo, etc.). De telle sorte qu'au final ou l'article est en-deça du mérite encyclopédique, ou bien il est au-dessus si l'on adopte un point de vue strictement descriptif (second point auquel je tendais à me rallier) ^^.
Non, pas d'essai non plus! Ce serait p.e. possible sur l'universalis qui peut accepter des articles exprimant le point de vu de son rédacteur, mais pas ici. Voir WP:TI (et le bandeau que j'ai mis sur votre page de discussion). Maintenant, j'avoue ne pas de bonnes idées pour améliorer l'article. Cordialement. --Epsilon0 24 mai 2007 à 22:02 (CEST) (ps : pour signer c'est quatre tilds accollés, en voilà 2 : ~~ )
Veuillez excuser cette intervention peut-être un rien malhabile, mais la lecture de cette article m'a inspiré deux ou trois suggestions que j'ai cru bon de vous soumettre, voici: 1.Berkeley est hors de portée de toute critique au nom du sens commun. 2. Peut-être ai-je mal lu, mais il me semble que Nietzsche ne figure pas ici, ce qui est dommage, en un certain sens. 3. Qaunt à l'inutilité du discours philosophique, voir les Cyniques dans Diogène Laërce, ça pourrait être encyclopédiquement drôle... Voià donc, en espérant être un peu utile. Louis dublin.
Bonjour, Louis dublin.
Bon j'ai pas bien compris ce que vous avez dit sur Berkeley, mais pour le reste ce me semble que ce sont de très bonnes suggessions ... que vous pouvez incorporez vous même dans l'article (voyez Wikipédia:N'hésitez pas ! ). En passant, côté antiquité, outre les cyniques que vous mentionnez des apports dans l'article peuvent être fait avec les sceptiques (ya une compil de textes aux PUF ) et côté humour il y a Philosophe à vendre de Lucien, mais je n'ai plus les textes sous le coude. --Epsilon0 ε0 7 mai 2008 à 09:40 (CEST)