Chésopelloz
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| Chésopelloz | |
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| Administration | |
| Pays |  Suisse |
| Canton | Fribourg |
| District | la Sarine |
| Langue(s) | Français |
| Syndic | Christian Vorlet |
| Code postal | 1720 |
| N° OFS | 2179 |
| Site Web | www.chesopelloz.ch |
| Géographie | |
| Coordonnées | |
| Altitude | 603 m |
| Superficie | 1,67 km² |
| Communes limitrophes | Belfaux, Corminboeuf, Avry, Noréaz, Ponthaux, Autafond |
| Démographie | |
| Population | 118 hab. (2006) |
| Densité | 70,7 hab,/km² |
| Gentilé | |
| Localisation | |
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Chésopelloz est une commune suisse du canton de Fribourg, située dans le district de la Sarine.
Sommaire |
[modifier] Géographie
La commune de Chésopelloz se trouve à quatre kilomètres à l'ouest de Fribourg, à proximité du district de la Broye et du lac de la Gruyère.
Chésopelloz est une commune d'une superficie totale de 162 hectares. Elle appartient à ce qu'on nomme le Grand Fribourg, s'étend sur une longueur de 2 km et présentant un paysage à caractère pastoral. Les deux versants de Chésopelloz convergent sur les rives de la Sonnaz. Le village se trouve à une altitude de 614 m et est bordée de forêts.
Les lieux habités de la commune se situent autour de la route la reliant à Corminboeuf. Les trois principaux sont "Le Haut" à l'entrée est de la commune, "Le Village" au milieu et "Le Rafouet" tout à l'ouest à la fin du village.
[modifier] Évolution du nom de la commune
Ces anciens noms ont tous comme origine le mot casa. Penillo, deuxième partie de ces termes, est le nom de famille des propriétaires allemands d'une métairie à cet endroit.
[modifier] Histoire du village
Le village appartenait à l'ancienne province de Fribourg puis au district de Fribourg dès 1798 et finalement au district de la Sarine depuis 1848. L'Abbaye de Hauterive et la Confrérie du Saint-Esprit à Fribourg avaient des droits fiscaux et des droits sur les biens à Chésopelloz. La commune a toujours fait partie de la paroisse de Belfaux. La Chapelle St-Uldrich, située au milieu du village, a dû être construite en 1683.
Suite aux agitations de la fin du XVIIIe siècle contre le régime patricien, animées entre autres par Pierre-Nicolas Chenaux, le fils de ce dernier fut mis à l'écart. On estime, sur la base de recherches entreprises par ses descendants, que J. Chenaux a vraisemblablement été forcé de résider à Chésopelloz. En effet, la commune aurait été un endroit où les gens peu désirables (de l'avis du gouvernement de l'époque) étaient retenus contre leur gré à l'écart de Fribourg. Ce n'est pas sans raison que les habitants de Chésopelloz ont été surnommés "Les voleurs".
[modifier] Références
- ↑ Armorial Illustré des communes fribourgeoises
