Antoine Charles Augustin d'Allonville

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Antoine Charles Augustin d'Allonville
Naissance : 5 août 1735
Verdelot
Mort au combat : 10 août 1792 57 ans)
Palais des Tuileries
Origine : France
Allégeance : Armée royale française
Arme : Infanterie
Grade : Maréchal de camp
Service : - 1792
Conflits : Guerre de Sept-Ans
Commandement : Régiment du Roi
Faits d'armes : Bataille de Fellinghausen
Distinctions : Ordre royal et militaire de Saint-Louis
Autres fonctions : Sous-Gouverneur de Monseigneur le Dauphin
Famille : Famille d'Allonville (branche d'Oysonville)
Photo: Blason d'Allonville

Antoine Charles Augustin d'Allonville est né le 5 août 1735, au château de La Roche à Verdelot, dans la Brie. Il est mort le 10 août 1792, lors des combats au palais des Tuileries.

Le Chevalier d'Allonville, maréchal de camp, a l'honneur d'être choisi comme sous-gouverneur du premier Dauphin. Il est chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis comme presque tous les membres de sa famille vivant à cette époque[1].

Sommaire

[modifier] Les carrosses du Roi

Son frère, Jean Nicolas, baron d'Allonville a le droit de monter dans un des deux carrosses de suite du Roi, afin de la suivre à la chasse, en 1787. Le cliché représente un modèle de gala, moins lourd que ceux utilisés pour les chasses.
Son frère, Jean Nicolas, baron d'Allonville a le droit de monter dans un des deux carrosses de suite du Roi, afin de la suivre à la chasse, en 1787. Le cliché représente un modèle de gala, moins lourd que ceux utilisés pour les chasses.

Sa famille, les d'Allonville, est citée[2] par Renée-Caroline-Victoire de Froulay, marquise de Créquy parmi les noms des 41 familles qui sont très antérieures à 1399 et que ceux qui les portent peuvent être considérés comme gens de qualité. Cette liste est là pour suppléer à l'infidélité, à la négligence ou la vénalité des dictionnaires généalogiques. Son frère, le baron d'Allonville a le droit de monter dans un des deux carrosses de suite du Roi, afin de la suivre à la chasse, en 1787. Ce privilège rare est réservé uniquement à quelques membres de la Cour[3].

Antoine Charles Augustin d'Allonville est l'un des fils du Marquis Edmé d'Allonville (15 septembre 1694-3 mars 1783), fils de François III d'Allonville. Il est le premier d'Allonville à porter le titre de marquis. Officier aux Gardes-Françaises, chevalier, seigneur d'Arnancourt, La Chaise et Féligny, il est aussi seigneur d'Aclainville. Edmé avait épousé Antoinette Sauvage du Chatelier (1713 - 30 novembre 1793, à Fuligny, fille de Pierre Sauvage du Chatelier) le 6 juin 1728 à Fuligny.

L'un de ses frères meurt pour sauver le duc d'Enghien
L'un de ses frères meurt pour sauver le duc d'Enghien

Ses frères et sœurs :

  1. Armand François d'Allonville, maréchal de camp, historien. On lui attribue la paternité du plan de Barclay de Tolly qui organise la retraite des troupes russes dans la campagne de 1812.
  2. Il est le père également d'Alexandre Louis d’Allonville, maréchal de camp, préfet, historien...
  • Marie Louise Charlotte d'Allonville x Charles Léopold Joseph du Pont de Compiègne, maréchal de camp.
  • Jean Nicolas d'Allonville, baron, maréchal de camp, est mort dans l'armée de Condé, le 2 décembre 1793, à la bataille de Berstheim[5], en Alsace, pour sauver la vie du duc d'Enghien, Louis Antoine de Bourbon-Condé.
  • Louise d'Allonville x Nicolas de Ségur-Cabanac, officier au régiment du Roi-Infanterie. Les Ségur-Cabanac porte : écartelé au 1 & 4 de gueules au lion d'or ; au 2 & 3 d'argent plein, et pour brisure une bordure de gueules chargée de 9 besants d'or. Une fille Aglae de Ségur-Cabanac (1765-1833)...
Charles d'Allonville (1400-1479)
 x Bertrande de Richebourg d’Oysonville (1440-1528)
 |
 |  --> Symon d'Allonville d'Oysonville (1458-1533)
        x Étiennette d’Autry   (1460-1493)       
        |       
        | --> François d'Allonville d'Oysonville (1486-1536)
              x Louise de Buz (1510-)
              |
              | -->  Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist (1538-1598)
              |       x Jacqueline de L’Isle
              |       |
              |       | --> Sous-branche des d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist.
              |   
              | --> François II d'Allonville d'Oysonville (1529-1615)    
                     x Jehanne du Monceau (1540-1560) 
                     x Jeanne de Billy (1544-1605)
                     |       
                     | -->  Jacques d'Allonville d'Oysonville (1568-1630)
                           x Anne David
                           |       
                           | --> Edmé d'Allonville d'Arnancourt (1592-1664)
                                   x Antoinette de Hérisson du Vigneux 
                                    |
                                    | --> François III d'Allonville d'Arnancourt (1653-1694)
                                           x Madeleine de Masseron d’Amboise 
                                           |
                                           | --> Edmé II d'Allonville (1694-1783)
                                                 x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713- 1793)


Edmé II d'Allonville (1694-1783)
x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713- 1793)
|
| --> Armand Jean d'Allonville (1732-1811)
|      x Marie Françoise Jehannot de Bartillat (1744-1817) 
|     |       
|     | --> Armand François d'Allonville (1764-1832)
|     |      x 1) Charlotte Le Vavasseur (1769-1799) 
|     |      | 
|     |      | --> Marie-Louise d’Allonville] (1794-1877)
|     |      |     x Alexandre Louis d’Allonville (1774-1852)
|     |      |                                                                            
|     |      x 2) Céleste Octavie de Munnich (1785-1851)
|     |      | 
|     |      | --> Pierre d’Allonville (1821-1877)
|     |           x  Valérie de Lauzières-Thémines
|     |           |
|     |           | --> Emmanuel Armand d'Allonville (15 mai 1841-1912)
|     |                                  
|     | --> Alexandre Louis d’Allonville (1774-1852)
|     |
|     | --> Antoine Jean Baptiste d'Allonville (1765-1811)
|     |     x Céleste Octavie de La Bourdonnaie-Liré (1790-1851)
|     |     |    
|     |     | --> Armand-Octave-Marie d’Allonville (1809-1867)
|     |      
|     |   --> Louis d'Allonville (1771-1814)
|     
|--> Antoine Charles Augustin d'Allonville (1735-1792)
|        
|--> Jean Nicolas d'Allonville (1735-1792)

[modifier] Biographie

[modifier] Officier au régiment du Roi-infanterie

Monument commémorant la Bataille de Fellinghausen.
Monument commémorant la Bataille de Fellinghausen.

Le chevalier d'Allonville est officier dans le régiment du Roi-infanterie. Il fait toutes les campagnes de la guerre de Sept Ans (1756-1763). Il est blessé à la Bataille de Fellinghausen, le 15 juillet 1761[6] d'une balle au cou. Antoine Charles Augustin d'Allonville est nommé au grade le 1er mars 1780 de colonel du régiment du Roi.

Antoine Charles Augustin d'Allonville est décoré de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis[7].

Le 1er janvier 1784, il est maréchal de camp.

Chevalier de l'Ordre de Malte, en 1785.

[modifier] Sous-Gouverneur de Monseigneur le Dauphin

Sous-Gouverneur du Dauphin.
Sous-Gouverneur du Dauphin.

Antoine est un proche de la Maison d'Harcourt. C'est peut-être ce qui va lui permettre de devenir le Sous-gouverneur du Dauphin, fils aîné de Louis XVI. Selon le Comte d'Hézecques, le chevalier d'Allonvillle est jugé brave et loyal, mais de peu de génie. Toutefois à la Cour, à la fin de l'Ancien Régime certains courtisans passent leur temps à ridiculiser les militaires, les marins, des savants... tous ceux qui sont un peu différents des hommes de salon, et qui sont les forces vives du royaume, comme nous le voyons dans le film Ridicule. Un exemple : François-Henri d'Harcourt, le Gouverneur du Dauphin, est un homme éminemment recommandable par son caractère, son esprit et ses mœurs. Une inconcevable timidité l'empêchait d'être estimé autant qu'il le méritait[8].

Antoine Charles Augustin d'Allonville est fort aimé et estimé du roi[9].

Antoine Charles Augustin d'Allonville est nommé donc de 1787 à 1789 , Sous-Gouverneur de Monseigneur le Dauphin, Louis de France (1781-1789), fils aîné de Louis XVI.

L'honneur et le point d'honneur... mystère moral et politique insoluble ! Tu vis des souvenirs et d'espérances ; tu te repais en tes chimères, et n'en es pas moins réel et puissant ! tu ne nuis à aucune vertu et peux y conduire, suppléer à toutes, tandis qu'on n'en est point qui sache te remplacer ! On est quelquefois coupable sous ton nom, mais jamais méprisable. Cette devinette pour l'éducation du Dauphin cache la définition de l'honneur par les d'Allonville. Ils voient en chaque société un principe moteur, le patriotisme chez les Romains, la religion en Espagne, le mercantilisme en Angleterre. Celui de la France est noble et plus éclairé : c'est le principe de l'honneur, espèce de religion nationale… patriotisme des monarchies. L'honneur participe de la virtus latine et des vertus chrétiennes, prescrit impérieusement la loyauté, la foi, la délicatesse, la soumission à tous les devoirs… , et fait produire à la vanité même presque tous les fruits de la vertu[10].

[modifier] Ses appartements au château de Versailles

Les logements des sous-gouverneurs, comme d'ailleurs ceux de la plupart des courtisans, ne sont pas aussi luxueux !
Les logements des sous-gouverneurs, comme d'ailleurs ceux de la plupart des courtisans, ne sont pas aussi luxueux !

Antoine habite les appartements 104 et 105, au château de Versailles, au dessus du pavillon de Monsieur. Le 8 avril 1787, le logement de monsieur le Comte de Montmorin est attribué à MM. d'Allonville et de Pugey[11] Puis, le 82, fin 1787…

Le logement de monsieur de Fougières à MM. d'Allonville et de Pugey, s'ils les préfèrent aux leurs, AP 104 et 105, et ils conserveront celui qu'ils ont aujourd'hui à MM. les abbés de Corbin et Monteron[12].

François-Henri d'Harcourt, Gouverneur du Dauphin, portrait par Fragonard
François-Henri d'Harcourt, Gouverneur du Dauphin, portrait par Fragonard

Note 1 : Ils prennent état des changements

Notes 2 : Ils le prennent, mais demandent des jalousies au fenêtres pour les grosses chaleurs de l'été[13].

Le sieur d'Allonville à l'honneur de faire ses compliments à Monsieur d'Angivillier et de le prier de donner des ordres pour que Monsieur Loiseleur puisse visiter l'appartement de Monsieur de Fougières que Monsieur le Prince de Poix, Philippe Louis Marc Antoine de Noailles destine aux deux sous-gouverneurs de Monseigneur le Dauphin et voir s'il n'y aurait pas moyen de le rendre logeable pour deux ans en y faisant quelques changements. Réponse de Loiseleur : La demande à Monsieur d'Allonville consiste dans le reculement d'une cloison de planches sur la largeur de 4 pieds et 6 pieds de haut pour agrandir une garde-robe à chaise, dans la dépose de deux armoires pour communiquer d'une pièce dans une autre, dans le recouchement... des carreaux dans une petite cuisine et dans le blanchissement de trois pièces de le dite cuisine. Réponse de H. : j'ai cru prévenir les intentions de Monsieur le directeur général en autorisant... Monsieur à faire arranger le petit logement de Monsieur d'Allonville[14]. Le précédent occupant était le Comte François de Fougières, sous-Gouverneur des Comtes de Provence et d'Artois, marié à Adélaïde de Jourda de Vaux, Dame pour accompagner la Comtesse d'Artois, Marie Thérèse de Sardaigne (1756-1805).

[modifier] Éducation et mort du prince royal (1789)

Marie-Antoinette, le premier Dauphin et sa soeur.
Marie-Antoinette, le premier Dauphin et sa soeur.

Antoine Charles Augustin d'Allonville est un excellent Sous-gouverneur du Dauphin. Il aime le Dauphin comme un père. Il ne s'est jamais marié et ne semble pas avoir eu d'enfants en dehors du mariage. Le chevalier d'Allonville est très aimé en retour par le fils aîné de Louis XVI. L'éducation du Dauphin semble tourner autour de lui, selon son oncle le comte Armand François d'Allonville[15].

La reine, Marie-Antoinette d'Autriche en est consciente. Il sollicite une légère grâce pour son neveu et elle y consent : il faut bien que nous fassions quelque chose pour les siens, puisqu'il veut bien soigner l'éducation de mon fils[16]. En effet, le comte d'Allonville est exclu de l'Assemblée des électeurs de la noblesse pour les États généraux de 1789 car il n'a pas vingt-cinq ans. Il adresse un mémoire au Garde des sceaux, basé sur la jurisprudence : annus captus pro completo habetur. Sa réclamation est appuyée par son oncle le chevalier d'Allonville, sous-gouverneur du Dauphin[17].

Antoine Charles Augustin d'Allonville se rend compte que les ouvrages concernant le gouvernement sont caduques et incomplets. Il confie à son oncle le comte Armand François d'Allonville la mission de fournir au jeune prince des développements historiques et statistiques[18]. Le futur historien nous fournit quelques indications sur la nature de son travail. Elles forment de chapitre II de ses Mémoires secrets de 1770 à 1830, qui s'intitule : Esquisse de l'ancien gouvernement pour l'instruction de Monsieur le Dauphin, fils de Louis XVI.

Louis de France (1781-1789) décède dans les bras du chevalier d'Allonville, le 4 juin 1789, d'une carie des os, au château de Meudon, vers une heure du matin.

[modifier] Après la mort de Louis de France (1781-1789) (1789-1792)

La Prise des Tuileries le 10 août 1792.
La Prise des Tuileries le 10 août 1792.

Le Dauphin ayant atteint ses sept ans, âge où les princes doivent passer aux hommes, le Roi se trouve dans un grand embarras, pour lui, choisir un gouverneur, pendant qu’il en a encore le pouvoir et que Condorcet s’impose. Après une délibération difficile, le Roi doit se résoudre à choisir Fleurieu, qui a l’avantage d’être lié avec tous les membres du parti constitutionnel, d’être un honnête homme, d’avoir de l'esprit et beaucoup d’instruction. Mais, il est faible de caractère et cela détermine le Roi à choisir pour sous-gouverneurs du jeune prince deux officiers de marine, hommes de grand caractère et d'un courage à toute épreuve, surtout M. de Marigni.

Pendant cette période où le Roi hésite, M. de Fleurieu fait agir ses amis pour ne pas laisser approcher le Dauphin par des personnes très estimées de la famille royale. Je veux parler de MM. du Pujet et d'Allonville, sous-gouverneurs du premier Dauphin qui sont tous deux hommes de mérite. Le comte d’Hozier, ami de Madame Agathe de Rambaud, se souviendra sous la Restauration, de ce d’Allonville, qui était le cousin du mari de son ex-bru : "Sa famille possède une lettre que Louis XVI lui a fait écrire le 19 avril 1792, par-devant Monsieur de la Porte, intendant de la liste civile, lui exprimant le regret de sa Majesté de ce que les circonstances ne permettaient pas de s'employer à l'éducation du prince royal, fonctions où il avait si bien approuvé son zèle et ses recommandables qualités, le Roi se proposant au surplus de le placer dans sa maison, connaissant tout son attachement à sa personne"[19].

Statue de Louis XVI  à l'intérieur de la Chapelle expiatoire.
Statue de Louis XVI à l'intérieur de la Chapelle expiatoire.

Antoine Charles Augustin ordonne à son neveu, Armand François d'Allonville, d'émigrer : On ne peut rien ici pour le roi, mon rôle est de mourir près de lui ; ton devoir est de rejoindre tes camarades. Je compte peu sur la générosité de l'étranger, mais son appui très incertain peut-être, n'en est néanmoins le seul rayon d'espoir qui puisse luire pour notre malheureux maître. Monciel[20] a de la sagacité, du zéle, de la clairvoyance, de la fermeté, puisse-t'il nous faire atteindre le jour de la délivrance ! Mais quand à toi pars, je te le demande, je te l'ordonne ![21]. Il déjeune au café Maunoury, sis au coin de la place située près du Pont Neuf. Il ne vont plus jamais se revoir.

Antoine Augustin Charles d'Allonville commande un peloton, lors du combat du 10 août 1792, au palais des Tuileries, où il s'est rendu pour défendre le roi[22]. Il ne peut s'échapper du château après la fin de la bataille. Les révolutionnaires tuent les blessés et les prisonniers qu'ils soient royalistes, suisses ou serviteurs du roi. Il est massacré dans le cabinet de lecture du second Dauphin, le futur Louis XVII.

Alphonse de Beauchamp nous dit qu'il est mort en sortant des Tuileries, mais cet historien est peu fiable car il ajoute qu'il était resté auprès de son auguste élève[23]... ce qui est totalement faux : Antoine Charles Augustin d'Allonville n'a jamais été au service du second Dauphin et le premier est mort depuis trois ans.

Autre version : Le chevalier d'Allonville est tué sur la terrasse du palais des Tuileries[24].

Son cadavre est jeté dans une fosse commune dans l'ancien Cimetière de la Madeleine, là où se dresse de nos jours la Chapelle expiatoire.

J'appris le lendemain au roi la mort de plusieurs personnes qui l'affectionnait entres autres celles du chevalier d'Allonville et de quelques-uns des officiers...[25].

[modifier] Notes et références de l'article

  1. Dictionnaire historique et biographique des généraux français, depuis le onzième siècle..., p. 512
  2. Souvenirs de la Marquise de Créquy de 1710 à 1803, Par Courchamps, Renée Caroline de Froulay Créquy, p. 35
  3. Forneron et La Roque parle de l’extinction des vieilles familles. Chérin, généalogiste officiel, montre dans son abrégé officiel de 1788, qu’un noble sur vingt est de vieille noblesse. La Cour défend ce vieux sang.
  4. B.de Fournas, d'après Christian de Bartillat
  5. Théâtre d'une première bataille gagnée sur les Français par les troupes des Émigrés de Condé et les Autrichiens.
  6. The Battle of Fellinghausen alias Kirch Denkern on the 15th & 16th of July 1761 between the Allied army under P. Ferdinand and the whole French Army under Marshal Broglio and the P. of Soubize 1761
  7. Dictionnaire historique et biographique des généraux français, depuis le onzième siècle jusqu'en ... , p. 513
  8. Mémoires secrets de 1770 à 1830, par Armand François Allonville, p. 5
  9. Journal d'émigration du comte d'Espinchal, publié d'aprés les manuscrits originaux, Par Joseph Thomas Anne Espinchal, Ernest d'Hauterive, p. 378
  10. Armand-François d'Allonville. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche dans La noblesse française au XVIIIe siècle.
  11. Un autre Sous-Gouverneur du Dauphin. Disposition A.N.O1 1802 334 et 335.
  12. Corbin N (de) Abbé instituteur du Dauphin et Monteron N Abbé instituteur du Dauphin
  13. A.N. O 1802 351 et 352, cf . 1077, 317 et 444
  14. A.N.O 1802 345
  15. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Par Armand François d'Allonville, p. 6
  16. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Par Armand François comte d'Allonville, p. 211
  17. Recueil de documents relatifs à la convocation des États généraux de 1789, Par Archives nationales (France), Armand Brette, France États généraux, p. 156.
  18. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Par Armand François d'Allonville, p. 6
  19. Guy de Rambaud, Pour l'amour du Dauphin, p. 95 et 96
  20. Ministre de l'intérieur
  21. Mémoires secrets de 1770 à 1830. Tome 2, Par Armand François d' Allonville
  22. La revue de Paris, Par Marc Le Goupils, 1970, p. 493
  23. Biographie moderne, ou, Galerie historique, civile, militaire, politique, littéraire et ... Par Alph. de Beauchamp, Étienne Psaume, p. 20
  24. Journal d'émigration du comte d'Espinchal, publié d'après les manuscrits originaux, Par Joseph Thomas Anne Espinchal, Ernest d'Hauterive, p. 378.
  25. Mémoires de M. François Hue, premier valet de chambre du roi Louis XVI, qu'il suivit dans la prison du Temple

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

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[modifier] Liens et documents externes