Discuter:Youssef Seddik
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"les musulmans intégristes qui pensent que le texte émane de Dieu". Tous les musulmans pensent que le texte émane de dieu. Ce commentaire qui figure dans le texte est faux, non neutre et traduit un extrémisme anti-religieux.
"sa traduction et ses analyses du Coran font ressortir la forte influence hellénistique sur le texte" Comme si une ressemblance avec des idées de la philosophie grec faisait que le coran était influencé ou qu'il n'était pas une émanation de dieu. Selon ibn arabi, l'un des plus grands saint musulmans, Platon était "le pôle de son temps" c'est à dire pour le moins quelqu'un qui avait une connaissance procurée par le dévoilement divin. d'ailleurs si on comprends Platon correctement (pas comme le font certains philosophes) on remarque que l'enseignement de Platon n'est pas différent des enseignements spirituels des différentes traditions (islam, hindouisme, taoisme, christianisme...) qui par différents symbolismes décrivent une même vérité. par exemple le monde des archétypes, n'est pas le mondes des idées dans le sens moderne du mot, qui ne sont que des représentations mentales mais il s'agit d'un dépassement de la raison limitée. ou encore quand platon dit que la connaissance n'est qu'un rappel" celà rappelle le chemin spirituel qui se fait vers la connaissance par le "dhikr" (rappel (envers dieu)). Un rappel qui ramène l'homme vers l'état adamique avant de le transporter dans les états supérieurs de l'être. (Le royaume des cieux de la bible ou le Samadhi hindou). C'est encore pour celà que les philosophes considère ibn arabi comme un philosophe (1ere abberation si on prend la philosophie pour autre chose que son ethymologie: amour de la sagesse) et platonicien. Alors que la vérité est une et n'est pas sujète aux courants philosophiques où à l'individualisation.
"est un philosophe" Un système philosophique se construit sur les ruines d'un autre. Quand on ramène tout vers la raison abstraite humaine et limitée, on n'aboutit pas à la connaissance. on n'aboutit qu'à des abberrations comme par exemple certains philosophes modernes qui voit dans la connaissance une affaire de choix. Or la vérité se cherche et ne se choisit pas. FADY-07/03/2008
