Ver-sur-Mer

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Ver-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados et la région Basse-Normandie.

Ver-sur-Mer
Carte de localisation de Ver-sur-Mer
Pays France France
Région Basse-Normandie
Département Calvados
Arrondissement Bayeux
Canton Ryes
Code Insee 14739
Code postal 14114
Maire
Mandat en cours
Pierre Frédéric
2001-2008
Intercommunalité Communauté de communes de Bessin, Seulles et Mer
Latitude
Longitude
49° 19′ 55″ Nord
         0° 31′ 42″ Ouest
/ 49.3319444444, -0.528333333333
Altitude 0 m (mini) – 56 m (maxi)
Superficie 9,01 km²
Population sans
doubles comptes
1 307 hab.
(1999)
Densité 145 hab./km²
Eglise St Martin
Eglise St Martin
Blockhaus datant de la Seconde Guerre mondiale près de Ver-sur-Mer
Blockhaus datant de la Seconde Guerre mondiale près de Ver-sur-Mer

C'est une station balnéaire sur la Manche.

Sommaire

[modifier] Géographie

La ville est à 25 km de Caen et à 16 de Bayeux.

[modifier] Histoire

Le 30 juin 1927, le Fokker C-2 de Richard Byrd amerrit à Ver-sur-Mer après avoir traversé l'Océan Atlantique.

[modifier] Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2001 Pierre Frédéric
Toutes les données ne sont pas encore connues.


[modifier] Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999
537 580 701 966 1359 1307
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes

[modifier] Lieux et monuments

  • Phare : ( Phare de Ver-sur-Mer )
  • Eglise Saint Martin : Edifice datant des X-XIIe siècle, avec un clocher roman du Xe siècle à cinq étages.

[modifier] Personnalités liées à la commune

général 5 étoiles, Charles Ailleret, général chef d'état major des armées françaises, 1907 - 1968

20/11/2006

Charles Ailleret, Politique étrangère, 4/2006 (hiver).

Archives

Résistant et déporté, Charles Ailleret (1907-1968) prend en 1951 le commandement des armes spéciales de l’Armée de terre. En 1958, le général Ailleret est nommé commandant interarmées des armes spéciales. Dans ces deux fonctions, il est directement en charge du développement des armes nucléaires françaises jusqu’à leur première expérimentation en 1960. Il est le dernier commandant des forces françaises en Algérie, puis devient en 1962 chef d’État-Major des armées. À ce titre il organisera le retrait français des instances militaires intégrées de l’OTAN, et se fera l’avocat, dans un texte célèbre, d’une défense nucléaire française "tous azimuts". Le général Ailleret, qui meurt en 1968 dans un "accident" d’avion, est un des tout premiers responsables de la formalisation de la théorie nucléaire française.

Ce texte a été publié pour la première fois dans Politique étrangère, n° 1/1957.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes