Discuter:Verglas massif de 1998

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Critique de la phrase:

"des mesures supplémentaires de déglaçage, par exemple par des surtensions." en bas de page.

Ne devrait-on pas plutôt parler de sous-tension ? Puisque l'effet joule est proportionnel au carré de l'intensité.

Diminuer la tension augmente l'intensité (pour une puissance transportée constante, bien entendu),

donc l'effet joule au carré, donc l'échauffement des lignes et la fonte du verglas.

Merci

christian.mascart@demosthene.be

Je pense que ça pourrais être en effet mieux expliqué. Les effets de déglaçage ne sont en fait pas des surtensions sur les fils de transports mais des répartitions différenciels de charges (voir http://www.hydroquebec.com/publications/fr/transenergie/1998/pdf/trans_fiable_3_f.pdf). Une technique novatrice a également été mise en place en entourant les fils transmetteurs par deux fils pour créer un effets de repoussement magnétique. Je modifie l'article. Pierre cb 26 juillet 2006 à 04:58 (CEST)

[modifier] Titre de l'article

Est-ce que Crise du verglas de 1998 ne serait pas plus approprié pour nommer cet article? D'une part, c'est la terme couramment utilisé. D'autre part, l'expression verglas massif ne me semble pas naturel. Est-ce qu'un verglas peut être « massif »? Cela ressemble à une influence du mot anglais massive. Nepas ledire 14 octobre 2006 à 19:24 (CEST)

Cet article ne porte pas seulement sur l'aspect crise de ce verglas mais sur l'événement, ses origines, ses conséquences,etc. l'article nécessite donc un titre descriptif et non juste une appellation locale. Secondo, le titre original était "Tempête de verglas de 1998" mais du verglas ça ne tombe pas, c'est la pluie qui en se congelant qui forme le verglas. Tertio, selon le linguiste de Radio-Canada et l'Office québécois de la langue française, on parle de verglas massif pour désigner ce genre de situation et ça ne vient pas de "massive" en anglais. Pour toutes ces raisons, j'ai changé le titre le 8 mars 2006 (voir historique) selon les critères mentionnés. Pierre cb 15 octobre 2006 à 00:09 (CEST)

[modifier] Félicitation pour l'article

J'ai bien aimé l'article, je ne crois pas que le titre "Verglas massif de 1998" soit un détail problématique. L'article est pertinent car il explique les conditions météorologiques qui ont contribué à la tempête, les régions touchées, et les conditions de vie pendent la crise. Je crois que se serait bien de discuter d'avantage les centres d'hébergement, l'effort de tous les volontaires, les traumas psychologiques vécuent par les enfants et les personnes agées, les efforts de l'armée ainsi que l'aide reçu des villes qui n'étaient pas touchées par la tempête. Il est important de noter la solidarité exsprimée par tous les Québecois et les Ontariens de l'est pour contribuer au dénouement de cette crise de verglas. Rita B. 10 dec. 2006

[modifier] Drainage d'air froid vs. blocage d'air froid

Ceci est le sommaire d'une discussion entre Pierre_cb et moi (Dirac).

Bonjour Pierre,
Sur la page du verglas massif de 1998, il est écrit:
«  Pendant ce temps, un anticyclone près du Labrador gardait de l'air en bas du point de congélation dans les niveaux inférieurs de l'atmosphère, créant une situation de blocage d'air froid
Bien que je comprenne que ce soit une situation de blocage d'air froid et non un vrai blocage , je trouve la formulation trompeuse. J'ai dû moi-même relire plusieurs fois le texte et aller m'informer auprès de météorologues (y a pas de montagne!) pour être certain que j'avais bien compris.
Crois-tu qu'il y aurait moyen de souligner qu'il ne s'agit pas d'un blocage d'air froid, mais bien une situation de?
Dirac 9 mars 2007 à 15:49 (CET)
Salut,
Je ne comprends pas très bien ce que tu veux dire? Les Laurentides sont des montagnes à ma connaissance et la canalisation dans la vallée du Saint-Laurent est similaire à celle le long des Appalaches. Avec une dépression approchant à l'ouest de ces dernières et un anticyclone sur le Labrador, on a une situation de blocage d'air froid. Ce n'est pas parce que les sommets sont de moins de 3 000 pieds que ça fait une différence.
Pour ce qui est de la situation en altitude, OUI il y avait une dépression verticale sur la Grands Lacs et donc un blocage mais c'est une chose différente et l'explication de la circulation est dans le texte: "C'est le 4 janvier 1998 qu'une dépression en altitude s'est stabilisée sur la région des Grands Lacs". Pierre cb 9 mars 2007 à 18:10 (CET)
J'ai finalement enlevé la mention puisque le blocage d'air froid est mélangé avec le drainage d'air froid. Désolé. Pierre cb 10 mars 2007 à 00:25 (CET)