Discuter:Stay-behind

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La formulation du paragraphe sur l'appartenance de certains membres de l'OAS aux réseaux stay-behind français n'était pas acceptable en l'état. Je l'ai remplacée par une phrase qui indique qu'aucune autre étude ne reprend cette allégation. Si quelqu'un connait une publication qui confirme ou infirme ce lien, il faudrait corriger cette phrase. En outre, il faudrait de vraies références (titres et auteurs de l'article dans The Nation, titre exact et éditeur ou revue pour les travaux de Ganser), si possible avec des numéros de page. GL 13 juillet 2006 à 10:30 (CEST)

The C.I.A.'s Secret Armies in Europe. By: Kwitny, J. | April 6, 1992 issue . This article focuses on the secret operations of the United States Central Intelligence Agency (CIA) in Europe. Eighteen months have passed since the sensational disclosure of Operation Gladio in Italy brought to light more than a dozen secret armies established in Western Europe by CIA at the start of the cold war. It was also learned that secret armies like Gladio and its counterparts in Germany and France at times got out of control and were used by groups promoting a return to fascism. Mark Wyatt, an acting chief of station in Rome in the 1960s who attended a secret CIA training camp for Gladio soldiers in Sardinia, says he believes the program was valid and important in its early days. © Copyright 2006, The Nation Company LP http://www.thenation.com/archive/search.mhtml us code art 7 ss 107 copyright Atchoum 13 juillet 2006 à 20:26 (CEST)
merci pour tes infos! mais, outre le fait qu'elles soient en anglais et pas forcément compréhensibles par tous (tu as le wiki anglophone pour satisfaire ton anglophilie!), ce passage ne parle pas de l'OAS; j'ose espérer qu'il ne s'agit pas de la mention "secret armies"!!! L'Organisation Armée Secrète (et non pas "DE l'armée secrète", car ce n'est pas une armée qui est secrète, mais l'organisation elle même!) a été créée pour défendre les intérêts des colons pieds-noirs en algérie au moment où la France (le gouvernement) s'acheminait vers "l'auto détermination" du département algérien pour rester dans l'Etat français ou non. Aucun rapport donc entre l'OAS, lutte bi-polaire à la fois anti-france (un coup d'Etat, avec saut des paras sur Paris avait même été préparé!) et anti-fln, et la lutte anti-communiste, même si, d'une part, le financement du FLN était largement le fait de pays ouvertement pro-soviétique, tel l'Egypte, et d'autre part le fait que, dès le conflit franco-algérien terminé, les ex OAS qui ont fuis la France ont regagnés les rangs des anti-comunistes (dont, curieux paradoxe, le SAC)... l'OAS n'a donc pas été le bras armé occulte de l'OTAN. Nous n'en dirons pas la même chose des "barbouzes" anti-OAS du SAC, qui lui, a été créé bien avant l'OAS (dès 58) et a survécu jusque dans le années 70... Vegetarien75 1 octobre 2006 à 10:32 (CEST)

Proposé par : >> --Lebob 29 janvier 2007 à 00:19 (CET)<<

[modifier] Raisons de la demande de vérification

À remplir par le proposant

La partie "Belgique" de cet article amalgame dans un brouet pour le moins indigeste des faits dont les liens sont loin d'être prouvés de façon irréfutable et définitive. Il est encore plus curieux de voir s'y ajouter désormais la découverte récente d'un groupuscule d'extrême droite au sein de l'armée belge. Quel peut bien être ce lien entre Stay-behind, un réseau apparemment fondé par d'anciens résistants de la seconde guerre mondiale pour parer à l'eventualité d'une invasion du pays par les troupes du Pacte de Varsovie, qui fut dissous en 1990, et un réseau d'extrême droite dont l'existence est découverte plus de 15 ans après. Par ailleurs, le lien entre les Tueries du Brabant wallon et Stay-behind n'a jamais pu être établi de façon formelle.

A cet égard, je dirais que la teneur actuelle de l'article, pour sa partie relative à la Belgique du moins, relève plus de la Théorie du complot que d'un article encyclopédique.

Par ailleurs, en ce qui concerne les autres parties de l'article, je constate que l'essentiel des sources citées se résume à Daniele Ganser, un historien suisse qui n'hésite pas à associer le réseau gladio aux attentats du 11 septembre 2001[1]. Bref, j'ai des doutes sur la NPOV de cet article.

Sans compter que je me demande ce que vient faire le lien vers Werwolf en bas d'article. S'agit-il d'une tentative d'amalgame essayant d'assimiler Stay-behind à un réseau de résistance nazi ayant fonctionné à le fin de la seconde guerre mondiale en Allemagne?

Autrement dit, mon sentiment est qu'un travail en profondeur s'impose sur cet article. --Lebob 29 janvier 2007 à 00:19 (CET)

L'amateur d'aéroplanes 8 février 2007 à 09:08 (CET) Idem, on mélange tout est n'importe quoi, les membres de ses réseaux de résistance était recruté, pour la France, parmi les membres du contingent et des unités de réserves. Lire le livre "Histoire de l'espionnage mondial" sortie en 2002 [2] et le site d'histoire comparé Otan/Pacte de Varsovie. Actuellement, l'article est digne du Réseau Voltaire. Dés que j'ai du temps, je réécrit celui ci. Quand au "secret", dés 1978, on en parlait dans les mémoires de l'ex directeur de la CIA. Quand à "De Defensa", il suffit de jetez un oeil sur leurs articles pour comprendre de quelle bord est ce site.
  1. Gladio explique-t-il 9/11?[1]
  2. http://www.amazon.fr/Histoire-lespionnage-mondial-guerre-antiterroriste/dp/2866453948/sr=1-3/qid=1170922221/ref=sr_1_3/402-8651213-5428117?ie=UTF8&s=books

[modifier] Fautes de sens, syntaxe et orthographe.

Il y a de nombreuses fautes dans l'article. Je me suis occupé d'en corriger une petite partie, mais n'étant pas spécialiste du sujet, j'aurais bien du mal à reformuler certaines phrases avec justesse. Il serait bien que les contributeurs concernés s'y mettent.

6 mai 2007 à 16:38 (CEST) J'ai nettoyé la grande partie de mes erreurs. Il faut faire une autre vérification.