Sigonce

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Sigonce
"d'azur à la lettre S capitale d'argent, surmontée de trois étoiles du même mal ordonnées"
Pays	France
Région	Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département	Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement	Forcalquier
Canton	Forcalquier
Code Insee	04206
Code postal	04300
Maire Mandat en cours	Marcel Turin 2008
Intercommunalité	Communauté de communes du Pays de Forcalquier et Montagne de Lure
Coordonnées géographiques	43° 59′ 52″ Nord 5° 50′ 28″ Est / 43.9977777778, 5.84111111111
Altitudes	moyenne : {{{alt moy}}} minimale : 414 m maximale : 744 m
Superficie	1 997 ha = 19,97 km²
Population sans doubles comptes	385 hab. (2 005)
Densité	15 hab./km²

Sigonce (Sigonça en provençal selon la norme classique et Sigounço selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Sigonciers (ou Sigonçois).

Sommaire

1 Géographie
2 Économie
3 Histoire
4 Administration
5 Démographie
6 Lieux et monuments
7 Personnalités liées à la commune
8 Voir aussi
- 8.1 Articles de Wikipédia
- 8.2 Liens externes
9 Sources
- 9.1 Notes

[modifier] Géographie

Se trouvant à 470 m d’altitude^[1] et non loin de Forcalquier (9 km), ce petit village provençal possède quelques placettes fleuries et ombragées, des vieilles pierres restaurées.

[modifier] Économie

[modifier] Histoire

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1206^[1]. Elle est alors une réserve de chasse des comtes de Forcalquier, qui la donnent au monastère de Ganagobie.

Sigonce paie une rançon pour éviter le pillage des Camisards en 1393^[1]. Au siècle suivant, le village d'Aris lui est rattaché.

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792^[2].

[modifier] Administration

Période		Identité	Parti
Liste des maires successifs^[3]
2001	2008	Jean-Paul Giai-Checa	Sans étiquette
mars 2008		Marcel Turin	Sans étiquette

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1851	1962	1968	1975	1982	1990	1999	2005
557	123	173	180	208	279	319	385
Nombre retenu à partir de 1968 : Population sans doubles comptes

[modifier] Lieux et monuments

À découvrir : l'église Saint-Claude des XIV^e et XVI^e siècles (classée monument historique) à la toiture polylobée en lauses de pays, le château de Bel-Air (XVI^e sur fondations XII^e) et le vieux moulin à farine, qui a gardé son enseigne.

Chapelle Notre-Dame de Bon-Secours (chœur XIV^e) ; deux pigeonniers du XVI^e siècle.

Ruines du château des moines de Ganagobie (XII^e et XIII^e siècles) ; de l’église Notre-Dame des Clots.

[modifier] Personnalités liées à la commune

Barlière du Lauzon, de son vrai nom Claude Ferdinand Estève : poète provençal.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles de Wikipédia

[modifier] Liens externes

[modifier] Sources

[modifier] Notes

↑ ^a ^b ^c Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », Paris, 1989, Relié, 72 (non-paginé) p. (ISBN 2-7399-5004-7)
↑ Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1^er trimestre 1989, 108^e année, p 296-298
↑ Site de la préfecture des AHP