Discuter:Prison en France

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sommaire 1 Historique détruit 2 Phrase sur la réinsertion 3 Irresponsabilité 4 chapître malades mentaux 5 Disparition du viol ? 6 Perte de données sans en discuter ? 7 Le détenu, s'il a accès à la presse, n'est pas autorisé à consulter internet

[modifier] Historique détruit

Les 44 contributions suivantes (du 8 décembre 2007 au 4 avril 2008), incluant un copyvio depuis [doc] [1], sont exilées dans Special:Undelete/Prison en France/copyvio :

[modifier] Phrase sur la réinsertion

Dans la phrase :

" Dans les faits, la réinsertion est très peu effective, principalement à cause du manque de moyen, en personnel notamment. "

ne devrait on pas plutôt dire "les aides à la réinsertion sont peu effectives" ??? car sinon on dit qu'un ancien détenu ne se réinsere pas souvent...

Je crois que c'est le sens de la phrase : la réinsertion en règle générale, ça ne marche pas. Luk 23 novembre 2005 à 11:07 (CET)

[modifier] Irresponsabilité

Concernant l'irresponsabilité pénale et le traitement carcéral de la maladie psychiatrique nous avons eu 2 infos. La première fait été d'une réduction importante au cours des dernières décennies. J'ai par exemple trouvé pour étayer la chose : [2] qui cite un psychiatre oeuvrant en prison : « car l’immense majorité sont jugés en comparution immédiate et ne voient même pas d’experts. Et pour ceux qui sont examinés, les diagnostics d’irresponsabilité ont été divisés par dix en dix ans ». [3] Un article de l'Humanité avance les chiffres suivants : «Depuis les années soixante- dix, en effet, le nombre de cas d’irresponsabilités pénales prononcés par les experts psychiatriques s’est littéralement effondré, passant de 5 % des criminels à moins de 0,5 % aujourd’hui. Concernant les seuls procès aux assises, de 16 % d’accusés jugés irresponsables au moment des faits au début des années 1980, on arrive à 0,17 % pour l’année 1997.»

Puis l'info a été modifiée annonçant des chiffres stables entre 87 et 98.

L'article de l'humanité semble avancer des chiffres plus rigoureux que le "diviser par 10 en 10 ans" (et pas incompatibles avec ceux présents). SI quelqu'un a les sources pour les stats présentes dans l'article (j'ai rien trouvé de mon côté)... J'attend quelques jours pour voir et je modifies. Luk 9 octobre 2006 à 11:15 (CEST)

[modifier] chapître malades mentaux

Je ne suis pas d'accord avec cet article au moins sur le titre. Les malades mentaux ne sont pas des dépressifs. Mais les dépressifs peuvent être des malades mentaux. Le titre donne une généralité qui n'existe pas. On parle plus de troubles du comportement ou de déviances dans lesquels on inclut les malades mentaux. Le titre actuel est trop spécifique et ne concerne qu'une frange peu importante de la population pénale. Si les p ersonnels de l'administration pénitentiaire qualifient eux-même les prisons d'annexe à l'hopital psy, c'est surtout pour reconnaître une baisse en France des lits à destination de ce genre de public en milieu hospitalier et de condamnations plus importantes de personnes présentant des troubles du comportement englobant des pathologies psychiatrisques telles celles décrites dans l'article (schizophrénie, asocialité, agressivité, maladie dégénérative du cerveau...)

Je pense qu'il serait bon de lire la suite de l'article qui au chapitre concernant la maladie mentale cite des études faisant cas de 25% de troubles psychotiques si ma mémoire et bonne (ça ne me semble pas peu de monde) et l'irresponsabilité pénale divisé par 10 entre les années 70 et les années 80. L'article parle de "trouble psychique" et "trouble mentaux". Ce qui me gène avec "trouble du comportement", c'est qu'en soit un comportement délinquant est un trouble du comportement. Après ça "trouble du comportement" répond peut-être à une définition psychiatrique auquel cas il faudrait établir un lien vers un article approprié. En tout cas, il y a une idée clairement exprimée (et étayée) dans l'article sur l'existence d'un traitement carcéral des troubles du psychisme, ou autre dénomination appropriée et d'une non prise en compte des pathologies plus légères comme la dépression. Luk 23 janvier 2007 à 23:09 (CET)

J'ai lu l'article, ce n'est pas le contenu qui me gêne mais la prétention de cataloguer tous les détenus dits anormaux, qui ne sont pas dans la norme ou qu'ils aient un trouble du comportement comme des malades mentaux. Quant au délinquant, si ce n'est pas un trouble du comportement, qu'est-ce ? On parle bien de personnes qui ne respectent pas les normes d'une société, alors oui le délinquant présente un trouble mais n'est pas un débile pour autant. Coupons la poire en deux: ne parlons pas de malades mentaux mais de troubles mentaux.

Ok pour trouble mentaux. Luk 24 janvier 2007 à 10:59 (CET)

Ravi de s'entendre, alors je te laisse le modifier.

[modifier] Disparition du viol ?

Je ne vois plus de mention du viol en prison. De ce que j'en sais, c'est un phénomène qui n'est pas marginal et qui mérite sans doute d'être lié aux problèmes de Sida dont que je ne vois pas non plus (mais je ne sais pas si il en jamais été fait mention). Luk 16 avril 2007 à 11:29 (CEST)

[modifier] Perte de données sans en discuter ?

Ces modifications doivent être justifiées. La volonté de réécriture est formidable mais elle doit s'interdire toute perte d'information. Ce qui n'est pas le cas ici. (par exemple on a perdu la mention de l'astérisque qui renseignait du changement sur la manière de compter la population carcérale, la mention sur le nombre de personnes de couleur écrouées) Prière de ne jamais supprimer de l'information lorsque vous ordonnez l'article. Gourgandin (William Larrieu) 1 mai 2007 à 17:40 (CEST)

[modifier] Le détenu, s'il a accès à la presse, n'est pas autorisé à consulter internet

Cette information étonne souvent. Mérite-t-elle sa place ? Où la mettre dans l'article ? GNU ^[mail[