Prévention de la criminalité
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La prévention de la criminalité centralise toutes les actions qui sont utiles à la prévention d’un délit.
Ces actions sont divisées en trois catégories différentes, se référant au moment auquel la mesure de prévention se déroule en rapport avec un délit.
- La «prévention primaire», qui regroupe les actions prisent longtemps avant un délit, tel que par exemple le développement d’une éducation positive au sein des familles, dans les jardins d’enfants et les écoles primaires qui visent à une forme de vie sans violence.
- La «prévention secondaire» groupe les actions qui ont pour but d’empêcher de délits qui sont relativement imminente. Ces actions sont par exemple des cours d’autodéfense ou des enseignements dans les écoles qui sont effectués par les professeurs et la police.
- Les actions de la «prévention tertiaire» veulent éviter de délits ultérieurs après un délit déjà résulté. Ce sont entre autres les stations de jeunes (comme par exemple à Gera), dans lesquelles la police et le ministère public travaillent ensemble sous un même toit. Le but de cette collaboration des autorités est une réaction convenable qui s’effectue actuelle, éducative et préventive.
Les projets de la prévention policière ont la fonction sociale de travailler avec autant d’acteurs que possible. On y retrouve souvent
- la police,
- le service de l'aide sociale à l'enfance et à la jeunesse,
- les écoles,
- les associations
- et des individus (les parents, les élèves, les personnalités importantes).
Actuellement, on se concentre en particulier sur les délits de proie, de vol, de blessure corporelle, de cambriolage, de criminalité lié au commerce de drogues, de criminalité sur Internet et sur des projets pour des groupes déterminés de la population (par exemple les jeunes, les personnes âgées, les émigrants).
Les actions de la prévention policière offrent une chance pour réduire la criminalité qu’il faut prendre au sérieux.
Depuis peu, on discute une approche comme trame théorétique qui fait référence à une théorie méta de psychologie sociale très connu dans le milieu spécialisé : la « Feldtheorie » de Kurt Lewin.
