Discuter:OGLE-2005-BLG-390L

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[modifier] Sources ?

J'ai supprimé le passage suivant, qui cite des personnes sans indiquer d'où proviennent ces citations :

La planète ressemblerait à la Terre notamment par sa taille et sa composition chimique, a indiqué Stéphane Brillant, un astronome français de l'ESO. « En termes de masse, elle est plus proche de la Terre que de toute autre planète. A son centre, elle est formée de roches, ce qui la rend aussi semblable. Elle n'est pas identique à la Terre mais nous sommes plus proches qu'avant ».

D'après l'Allemand Daniel Kubas, « La recherche d'une deuxième Terre a été le moteur de nos investigations et cette découverte nous permet de faire un grand saut en avant puisque c'est la planète la plus similaire à la Terre connue jusqu'à présent ».

« OGLE est la troisième planète extrapolaire découverte grâce à la micro-optique », a indiqué Jean-Philippe Beaulieu, un autre astronome français.

— Poulpy 26 janvier 2006 à 15:09 (CET)

... extrapolaire ;-))) Nord ou Sud ??? briling 10 mars 2006 à 21:29 (CET)

[modifier] Encore un passage sans sources

J'ai enlevé le passage suivant, qui tient plus de la vaticination :

Extrapolation à la vision des systèmes solaires dans l'Univers

La découverte de la planète tournant autour de cette étoile ouvre de nouvelles voies. La detecté à été extrêmement difficile, puisque qu'elle à été rendue possible à la suite d'un passage devant son soleil très rarement observable depuis la Terre. Cela nous prouve que les planètes telluriques hors du système solaire, dont cette planète découverte est la première de l'histoire, sont peut-être très répandues dans notre galaxie, et pourquoi pas dans les autres. Selon le découvreur de l'exoplanète, entre 50 et 100 % des soleils pourraient posséder des planètes telluriques, trop petites pour être détectées par nos moyens actuels. Cela peut dire qu'il pourrait y avoir des millions de cousines de la Terre, de vénus ou de Mars rien que dans notre galaxie.

— Poulpy 13 mars 2006 à 11:40 (CET)

[modifier] Désaccord

Je suis en désaccord avec le passage suivant : OGLE-2005-BLG-390L est probablement une naine rouge de type spectral M (avec une probabilité de 95%, 4% qu'il s'agisse d'une naine blanche et moins d'1% qu'elle soit une étoile à neutron ou un trou noir). En effet, l'étoile OGLE-2005-BLG-390L ne peut en aucun cas être un trou noir ni une naine blanche à cause de sa masse qui vaut 0,22 ± 0.1 fois celle du Soleil. Les chiffres de probabilité mentionnés ne veulent rien dire. Une naine blanche est l’avant-dernière phase de l'évolution des étoiles dont la masse est comprise entre 0,8 et 8 fois celle du Soleil, tandis qu'un trou noir a une masse supérieure à celle du Soleil. Merci de corriger ce paragraphe.

Petite précision : pour que la planète ait une température de 53 K, cela correspond à une puissance stellaire de 6,748 * 10²² watts à une distance de 2,6 UA, ce qui en résumé veut dire que l'étoile a une luminosité environ 5600 fois plus faible que celle du soleil, ce qui équivaut à une magnitude absolue de +14,2. Cela correspond à une naine rouge.

-- Giordano Bruno Contact - 27 août 2006 à 17:09 (CEST)

Prétendre que ces probabilités ne veulent rien dire me paraît tout de même un petit peu présomptueux, dans la mesure où cette phrase est directement extraite du papier annonçant la découverte publié en janvier 2006 dans Nature et cosigné par 84 astronomes du monde entier !...

On peut y lire ceci : « This analysis gives a 95% probability that the planetary host star is a main sequence star, a 4% probability that this is a white dwarf, and a probability of < 1% that it is a neutron star or black hole »[1].

Personne n'a jamais « vu » l'étoile autour de laquelle orbite cette planète en dehors de cet évènement de microlentille gravitationnelle qu'elle a provoqué, puisqu'elle est totalement « noyée » dans la lumière de l'étoile d'arrière plan.

Les valeurs que vous indiquez (masse, température de la planète, ...) n'ont en aucun cas été mesurée, mais résultent d'une étude statistique, et il est bien évident que si l'on se place dans le cas où l'étoile hôte est une étoile à neutron, la masse et la température résultantes seront différentes.

Pour votre information, les seules données qui ont été directement fournies par l'évènement de microlentille, sont le ratio entre la masse de l'étoile et celle de la planète, et la séparation (projetée sur la sphère céleste) entre les deux corps. Tout le reste n'est « que » probabilités... et si l'article n'est pas clair, c'est sur ce point, pas sur la phrase que vous citez.

stanlekub 27 août 2006 à 19:34 (CEST).

Merci de votre précision, je comprends mieux le contexte. -- Giordano Bruno Contact - 27 août 2006 à 19:42 (CEST)