Number one (film, 1973)

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Number one
Titre original Number one
Réalisation Gianni Buffardi
Acteur(s) Luigi Pistilli
Renzo Montagnani
Claude Jade
Chris Avram
Scénario Sandro Continenza
Musique Giancarlo Chiaramello
Photographie Roberto D'Ettorre Piazzoli
Montage Maurizio Mangosi
Producteur(s) Gianni Buffardi
Production Sant'Ignazio (Italie)
Format Couleur (Eastmancolor)
Monophonique
Genre Film policier
Durée 95 min
Sortie 28 mai 1973 Italie Italie
Langue originale Italien
Pays d'origine Italie Italie
Fiche IMDb

Number one est un film italien réalisé par Gianni Buffardi et sorti en 1973.

Sommaire

[modifier] Synopsis

Le Number One, une boîte de nuit célèbre de Rome, est au centre d'un grand scandale en 1971 : un trafic de cocaïne qui impliqua des noms de la jet set internationale. C’est la découverte, dans une villa romaine, d’une jeune Américaine morte d’overdose, qui conduisit les policiers à enquêter dans les milieux interlopes de la capitale. Parallèlement, alors qu’ils sont sur la piste de voleurs d'œuvres d'art, les policiers découvrent que ces voleurs sont également mêlés au trafic de drogue.

[modifier] Commentaire

Ce film offrit l'occasion à Gianni Buffardi de réaliser une radiographie de la Rome nocturne et secrète.

[modifier] Fiche technique

  • Titre : Number one
  • Titre d’origine : Number one
  • Réalisation : Gianni Buffardi
  • Scénario : Sandro Continenza d’après une idée de Gianni Buffardi
  • Musique : Giancarlo Chiaramello
  • Direction de la photographie : Roberto D'Ettorre Piazzoli
  • Cadreur : Adolfo Bartoli
  • Montage : Maurizio Mangosi
  • Pays d’origine : Italie Italie
  • Langue de tournage : italien
  • Producteur : Gianni Buffardi
  • Société de production : Sant'Ignazio (Italie)
  • Format : couleur par Eastmancolorson monophonique35 mm
  • Genre : film policier
  • Durée : 95 min
  • Date de sortie : 28 mai 1973 en Italie Italie

[modifier] Distribution

[modifier] Autour du film

  • Claude Jade[1] : « Je partis de mon côté pour Rome, où l’avocat Claudio Giglioli, correspondant de l’agence Marceline Lenoir, m’avait trouvé deux films. Je descendis à l’hôtel de la Ville, via Sistina, et je demandai à maman, qui était à la retraite et qui avait du temps, de m’y rejoindre. Le premier des films s’appelait Number One, du nom d’une boîte de nuit qui avait servi de cadre à un scandale, mettant en scène des call girls. Ce n’est pas exactement le rôle que je jouais ! Je crois que j’étais une jeune femme détective, ou quelque chose dans ce genre. Très vite je me suis demandé ce que je faisais là et pourquoi Giglioli m’avait trouvé ce personnage. Gianni Buffardi, le producteur, avait de très beaux bureaux et collectionnait les œuvres d’art, mais c’était aussi un escroc, et je ne fus jamais entièrement payée. Mon pseudo-agent, qui était son copain et qui défendait ses intérêts, ne fit rien pour moi ; je renonçai à lui faire un procès… Grâce à Jacques Dufilho, je fis la connaissance d’une jeune femme, Francesca Saxon-Mills, qui fut amenée à remplacer l’avocat romain qui ne me paraissant pas très net. »

[modifier] Lien externe

[modifier] Notes et références

  1. Extrait de son autobiographie Baisers envolés, Éditions Milan (Hors-collection), Toulouse, 2004, ISBN 2745912410