Discuter:Mort

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Sommaire

[modifier] Philosophie

La mort on ne la vie jamais. C'est un nom que l'on donne à un évènement particulier. Nous ne la ressentirons jamais, et l'on peut dire qu'elle nous sera peut-être assimilable au fait de ne pas "être avec le temps", dans la mesure ou le vie est le fait d'être avec le temps.

[modifier] Citation

On pourrait ajouter cette citation de "brèves de comptoire" :

Dans la vie, on est plus longtemps mort que vivant... (à verifier)

C'est justement le problème des « citations » de cet article: on ne sait pas de qui elles sont, à quoi elles font références, et globalement c'est assez minable. Je propose de poubelliser cela, si vous êtes d'accord. LT-P 30 octobre 2006 à 01:41 (CET)

[modifier] Différentes morts

Bonjour, au niveau de la mort en général sur la wikipédia, on trouve principalement trois articles : Mort, Mort (homonymie) et La Mort (mythologie). Il serait peut-être interessant de spécialiser correctement chacun de ces articles. À mon avis, Mort devrait être constacré à la notion première de Mort, c'est-à-dire celle en biologie et en médecine. Mort (homonymie) devrait regrouper tous les divers sens et acceptations du terme et La Mort (mythologie) traiter le cas de la mort en tant que personification. Qu'en pensez-vous ? Tout 13 juillet 2005 à 13:51 (CEST)

[modifier] Citations

" La vie n'est qu'un éclair entre deux éternités "


" L'homme ne sera jamais parfaitement décontracté, tant qu'il sera mortel " Woody ALLEN

[modifier] Citation

«Moi je sais ce qu'il y a après la mort : la mortadelle ! 
C'est dans le dictionnaire, vous pouvez vérifier»

Anonyme

Christophe MOUSTIER 22 octobre 2005 à 10:02 (CEST)

[modifier] Citation

«La vie est une maladie sexuellement transmissible, presque toujours mortelle.»

Anonyme

--Christophe MOUSTIER 22 octobre 2005 à 10:04 (CEST)

-- une autre compréhension de la mort sur le site : www.paulmoyne.com

[modifier] La mort, le suicide et l'action

«Cette conscience de la mort est un moteur de cohésion sociale (s'unir pour résister aux calamités, aux ennemis) et d'action (réaliser quelque chose pour laisser une trace)»

On parle de Métaphysique mais ce n'est qu'un seul point de vu. Je pense qu'il serait peut-être une bonne idée de parler d'évolutionisme, d'instinct de survie et de philosophie de l'absurde et existentialiste. Pour certains philosophes (cf Albert Camus) l'action n'est pas simplement une manière de laisser une trace, elle est plus généralement liée à l'instinct de survie par le suicide. Comme il est dit dans l'article, la plupart des philosophes considèrent que la mort est ce qui détermine l'Homme par rapport aux autres animaux1. Ce que je penses important c'est le procécus qui lie la prise de conscience de soi, de l'absurdité de sa condition humaine et de la mort, puis la possibilité de la préssipité. L'Homme prend connaissance du paradoxe entre son existence et sa condition, il a conscience de l'absurde, qu'Albert Camus défini comme naissant "de cette confrontation entre l'appel humain et le silence déraisonnable du monde" dans Le Mythe de Sisyphe et comme "le divorce de l'homme et du monde" dans l'Etranger. Ce phénomène ce produit lorsqu'un Homme ce rend compte que sa condition n'est pas sensé, l'insensibilité entre autre révèle la duperie du phantasme. L'Homme s'ennuie, il vit l'éphémère, c'est à dire la mort de l'amour en générale, dont sa mort et celle des autres, et surtout (voir Caligula) se rend compte que finalement ça n'est pas grave, qu'on en souffre pas etérnelement, qu'on l'oublie, ce qui est inhumain. Ainsi ce définis ce paradoxe, ce conflis qui est l'absurde, l'Homme doit accépter qu'il est inhumain. D'une autre manière, selon Arthur Schopenhauer : « La volonté singulière d'un individu n'a qu'une existence illusoire, elle est de toutes parts immergée dans le jeu infini et absurde d'une réalité qui la dépasse et finit par la détruire. ». L'existence de l'Homme n'a pas sens humain, tout simplement. Le reste s'enchaîne. Le suicide est la réponse instincive de tout Homme à l'absurde. Je dis instinctive en admettant que l'Homme se définisse par rapport à la conscience de soi et de sa mort, donc quand je parle de lui j'exclus le "petit-enfant", et pars donc du principe que l'Homme, conscient d'être conscient, né avec le suicide. Cette confrontation au suicide n'est pas forcément directment consciente, par éducation, un être humain, qui a des repères religieux, philosophiques et éthiques, développe souvent la quéstion du suicide inconsciement, je veux dire que, durant son évolution psychologique, elle deviendra une partie de son surmoi (Sigmund Freud) en quelques sorte. Bref, l'Homme est en permanence confronté, consciement ou non, au suicide. Mais, comme tout animal, il a peur de la mort et c'est ce qui le pousse à agir, c'est son seul choix puisque par crainte, très souvent renforcée par sa culture et son éthique, de se suicider, il doit accépter sa condition et la meilleure manière de le faire sera souvent de la démentir. Ainsi il créer Dieu et la métaphysique. Mais il peut au contraire choisir de parler de l'absurde en d'en faire sa révolte, ou bien d'être cohérent avec ce qu'il est vraiment, peut-être comme dans l'idée du sur-homme de Friedrich Nietzsche par exemple. Un autre choix et qu'il peut préférer jouir de ses pulsions les plus simples. Certains chercherons des vérités dans ce qu'on appel des "consciences collectives", et je trouve que c'est intéressant car il est dit dans l'article que "cette conscience de la mort est un moteur de cohésion sociale", et justement, la recherche de vérité dans une société en est une représentation importante. Bref, les Hommes ont peur de mourir et sont constament confrontés a cette peur.
En effet, qu'est ce qui détermine un être vivant? On pense souvent à l'instinct de survie et l'instinct sexuel. Si l'Homme n'avait pas la conscience du suicide il est probable qu'il serait un singe : il boirait, mangerait et forniquerait, et il n'aurait aucune autre raison de dévelloper son intellect comme Arnold Schönberg ou Albert Einstein (ce ne sont que des exemples). D'ailleurs le chimpanzé à des capacités intellectuelles réelles nettement supérieur à celles dont il se sert dans la nature, car il n'a pas à répondre au suicide. C'est seulement en présence de l'Homme qu'il est forcé de les développer. Cette crainte de la mort explique aussi qu'au fil de l'évolution d'un Homme la conscience de l'absurde et du suicide devient inconsciente. (Je ne suis peut être pas très rigoureux ni précis, je ne suis pas psychologue ni psychanaliste). Mais ceci ne l'empêchera pas de les développer toute son existence.

Voila, ceci est une manière de voir l'importance de la mort par le suicide chez l'être humain. De plus dans ce sens dire qu'agir est une façon de laisser une trace après sa mort n'est qu'un épiphénomène de cette réaction au suicide, et je trouve que l'article n'accorde pas assez d'importance au suicide justement.

J'ai conscience que mes connaissances en philosophie, psychologie et biologie (naturiste) ne sont pas celles d'un professionnel et que j'ai donc écris des choses un peu éronnées. De plus je ne dévellope pas tout mais mon commentaire est suffisement long. Je me concentre ici sur la philosophie de l'absurde seulement, cependant elle représente une partie importante de la philosophie, surtout pour ce qui est du rapport entre l'Homme et la mort, et il faudrait la souligner, non?

1-Pour certains à l'exeption du dauphin, dit-on, qui se suiciderait (??), mais je reste septique et de toute façon il y a toujours une exeption, cela ne change pas que la mort détermine un Homme dès lors qu'il prend conscience de son existence
--Coelacanthe 6 février 2006 à 09:58 (CET)

[modifier] Désaccord de neutralité

Vandalism sur le lien externe:

L'article parle seulement sur "biologie" et "médecin", mais il y a d'autre points de vue sur la mort: il y a points de vue de la histoire, culture, religieux, philosophie, ésotérique, éthique, droit, etc. Certains utilizateurs ne voulez pas d'autres point de vue 18 avril 2006 et ils ne respecte pas la neutralité de point de vue voulue par Wikipédia.


Vous êtes gonflé et ne manquez pas de toupet : vous apposez un bandeau NPOV car nous retirons un lien d'une secte que vous déposez tel un coucou dans cet article générique ! C'est d'ailleur votre seule et unique "contribution" à cet article. Comme je vous l'ai suggéré dans votre page de discussion, vous devriez créer un article : La mort selon les rosicruciens et y mettre le point de vue rosicrucien. En l'état votre lien n'à rien à faire sur cet article. Moez m'écrire 18 avril 2006 à 05:09 (CEST)

Voilà l'article est crée. Il ne vous reste qu'à développer. Moez m'écrire 18 avril 2006 à 05:15 (CEST)

Très mauvaise idée. Ca ne me plait pas du tout cet article La mort selon les rosicruciens qui tombe de la lune. Je le supprime en attendant discussion. Bradipus bla 18 avril 2006 à 08:30 (CEST)

[modifier] Caractère définitif et définition

Bon, d'accord, j'entube un peu les mouches, là mais..... Si la mort se caractèrise par son aspect "définitif", on ne peut jamais la constater(sauf à atendre indéfiniment la non-résurection). Le terme "irréversible" n'est-il pas suffisant (il implique une notion d'estimation qui est plus ou moins intrinsèque à la mort) --Madlozoz 12 septembre 2006 à 15:07 (CEST)

Toujours à propos de la définition (définition générale), cet article affirme que la mort est "l'incapacité permanente d'un organisme à répliquer son code génétique". P'tain!!! Vous etes vache avec les gens stériles, là! Les femmes ménopausé et les fourmies ouvrières sont donc mortes. Mais le mort qui a un frère jumeau est vivant :-/ . Ne serait-il pas plus exact de définir la mort comme le moment ou un être vivant cède "irréversiblement" à la pression de son environnement? --Madlozoz 12 septembre 2006 à 15:15 (CEST)

Hum, bonne remarques. Modifie l'article conséquemment :) Moez m'écrire 12 septembre 2006 à 17:17 (CEST)
Ouaip! Mais pour une fois, je la joue, démocrate, discutio, toussa... Je propose cette définition:
"On peut donc en conclure que la mort biologique est l'incapacité permanente d'un organisme à résister à son environnement. Cette définition permet de définir en miroir aussi ce qu'est la vie (dans sa définition la plus large) : la capacité à maintenir son intégrité (techniquement parlant, de maintenir une entropie basse) malgré la pression de l'environnement."

-A madlozoz :Je me permets de m'insérer : L'histoire de la réplication des cellules n'a aucun rapport avec la reproduction...Les Celleules des fourmis, mêmes ouvrieres, et des gens stériles, sont forcées de se diviser (se répliquer) constament, sinon, l'organisme régresse (les cellules meurent et ne sont pas remplacées), et...meurt! Mais il y a bien une réplication forcée des cellules pour qu'il y ait de la vie.

[modifier] Citations

Je me suis permis d'ajouter deux citations que je trouve pertinente. A vous de juger. Jeeps