Lac Holden
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| Lac Holden | |
| Administration | |
|---|---|
| Pays | Ontario, Québec, Canada |
| Province | {{{province}}} |
| District forestier | {{{district forestier}}} |
| Statut | {{{statut}}} |
| Géographie | |
| Type | - |
| Origine | {{{origine}}} |
| Bioclimat | {{{bioclimat}}} |
| Superficie | Erreur d'expression : l'opérateur < n'est pas reconnu |
| Longueur | Erreur d'expression : caractère de ponctuation « { » non reconnu |
| Largeur | Erreur d'expression : caractère de ponctuation « { » non reconnu |
| Altitude | m |
| Profondeur | - m |
| Volume | Erreur d'expression : caractère de ponctuation « { » non reconnu |
| Hydrographie | |
| Bassin versant | {{{bassin}}} km² |
| Alimentation | Rivières des Outaouais |
| Émissaire(s) | - |
| Durée de rétention | {{{durée de rétention}}} |
| Nombre d'îles | {{{nombre d'îles}}} |
| Île(s) principale(s) | {{{îles principales}}} |
| Peuplement piscicole | {{{peuplement piscicole}}} |
| Peuplement avifaune | {{{peuplement avifaune}}} |
| Commentaire | {{{commentaire}}} |
Le lac Holden est un plan d'eau situé au nord-ouest de la municipalité de Rapides-des-Joachims et à 70 km à l'est de la ville ontarienne de North Bay.
Vers 1950, un barrage est construit à Rapides des Joachims, sur la rivière des Outaouais. Le niveau de l'eau s'élève alors et se forme un lac long de 84 km et large de près de 3 km. Délimité au nord-ouest par le lac la Cave et à l'est par le lac McConnell, il reçoit le trop-plein de plusieurs cours d'eau, dont la Dumoine et la Maganasipi.
Après de longues et parfois difficiles discussions entre les autorités canadiennes et québécoises sur le nom à retenir pour l'entité nouvellement créée, on choisit de rendre hommage à l'ingénieur Otto Holden (1891-1966). Né à Toronto, en Ontario, il fait des études en hydraulique à l'université de cette ville et entre à la Commission ontarienne d'hydroélectricité en 1913. Assistant-ingénieur en hydraulique en 1924, ingénieur en chef dans ce domaine en 1937, il devient ingénieur en chef de la Commission en 1955 et conserve ce poste jusqu'à sa retraite, en 1960. Pendant sa longue carrière, il met en œuvre plusieurs projets hydroélectriques, dont celui de la chute des Chats, premier développement interprovincial de la rivière des Outaouais.
