Discuter:Keynésianisme

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Sommaire

[modifier] Keynésianisme

Note : le texte ci-dessous a été déplacé depuis le Bistro de Wikipédia.R 2 jan 2005 à 23:41 (CET)

Copyright ? Papillus 1 jan 2005 à 16:59 (CET)


[modifier] Déplacé de "Keynésiennes"

Adj. Relatif à l'économiste anglais Keynes, à ses conceptions économiques.

Chacun sait que les ouvriers ne se laissent plus berner par le truc keynésien de la diminution de leurs salaires réels moyennant une inflation « intelligente », chacun sait aussi que l'autofinancement, les investissements sur programmes longs, la stérilisation d'une fraction d'épargne dans les placements d'organismes publics ou quasi publics ne sont pas la meilleure condition pour que soient réglées par le marché les innovations réalisables étant donné le taux représentatif d'intérêt long. PERROUX, Écon. XXe s., 1964, p. 497.

à replacer dans la partie critique ? sebjd 30 avr 2005 à 19:35 (CEST)

En l'absence d'une argumentation plus développée, ce texte arrogant n'est d'aucune utilité. Milan 3 juillet 2007 à 17:43 (CEST)

[modifier] Marché obligataire

Pourquoi y-a-t'il cette partie ? FP 16 septembre 2005 à 09:18 (CEST)

Semble pas très utile, effectivement. Devait être liée à une ancienne présentation de la th. keynésienne dans l'article.
Ce qui concerne l'épargne et la thésaurisation par contre pourrait rester, bien qu'à resituer. De nos jours la création de liquidités (par baisse des taux favorisant le crédit et défavorisant l'épargne "traditionnelle") ne va pas automatiquement dans la demande de biens et services (sphère économique), mais peut s'orienter vers la sphère financière. La thésaurisation prend un nouveau sens puisqu'elle peut être un transfert des placements monétaires vers les placements financiers et immobiliers. Voir notamment à ce sujet l'évolution des catalogues de "produits bancaires", le compte d'épargne classique perd du terrain, pas seulement du fait des baisses de taux d'ailleurs. Cette évolution écorne sérieusement les politiques dites "keynésiennes", voit les rend contre productives. Le plantage de l'économie japonaise depuis 10-15 ans l'a montré, et l'europe et les usa ont des soucis à se faire suite à l'océan de liquidités et d'endettement actuel digne du tsunami ou de l'ouragan katrina. J'arrête, on va me croire anti libéral, alors que le problème vient largement des états et banques centrales. Ben oui, les spéculateurs adorent les distorsions créees par les politiques publiques ;-)) --Pgreenfinch 16 septembre 2005 à 12:09 (CEST)

Pour "De nos jours la création de liquidités (par baisse des taux favorisant le crédit et défavorisant l'épargne "traditionnelle") ne va pas automatiquement dans la demande de biens et services (sphère économique), mais peut s'orienter vers la sphère financière. La thésaurisation prend un nouveau sens puisqu'elle peut être un transfert des placements monétaires vers les placements financiers et immobiliers", effectivement mais ce n'est pas si nouveau, il s'agit du motif de spéculation tout simplement. Sinon le Japon n'a jamais été vraiment Keynésien. FP 16 septembre 2005 à 22:05 (CEST)

Ben oui, mais le marché financier a pris une importance qu'il n'avait pas avant la mise au point ces 50 dernières années de nouvelles techniques de gestion (diversification efficiente de Markowitz) et de nouveaux instruments (floraison des "dérivés)". La finance est mmaintenant un secteur économique représentant 5 à 10 % du PIB des pays développés. Surtout son impact est devenu bien plus grand sur l'économie (financiarisation). Pour autant il ne faut pas confondre ce secteur avec de la simple spéculation. Il s'agit plutôt d'une machine, non seulement d'allocation des capitaux, mais aussi de transfert et répartition des risques. Certes parfois il connaît des surchauffes et des comportements pas entièrement rationnels, encore qu'un peu-plus que les bureaucraties étatiques dont les initiatives parfois fantasques ou démagogiques créent des opportunités de "spéculation". --Pgreenfinch 16 septembre 2005 à 22:57 (CEST)

Tout à fait d'accord sur l'importance, même si je n'ai pas de chiffres sur cela (tu as déjà vu des textes sur le capitalisme patrimonial ?). Et bien sur d'accord aussi pour ne considérer la spéculation que comme une part d'un ensemble (mais on ne peux changer le terme de Keynes dans cet article). Bon après je ne suis pas opposé par principe à des interventions publiques sur ces marchés, les résultats obtenus dans ce cadre ne doivent cependant être uniquement observé d'un point de vue financier, d'autres objectifs peuvent être recherchés. Après si cela aide certains à spéculer, tant mieux pour eux ;-) FP 17 septembre 2005 à 11:43 (CEST)

[modifier] détermination du taux d'intérêt

je suppose que ce n'est pas faisaible de demander des explications dans un champs de discution, néanmoins j'espere trouver quelqu'un qui pourra m'expliquer cette équation Md = L1(Y) + L2(r). pourquoi dire de l'une croissante et de l'autre décroissante ? vue que les motifs de précaution et de transaction sont liés au revenu global, qui nous dit que ce dernier va croître pour que le paramètre L1 soit correct... merci.

[modifier] Bandeau de pertinence

Type même du pavé indigeste, obscur, délayé et incohérent, Manifestement rédigé au kilomètre, et quasiment incompréhensible. A mon avis effacer le tableau et repartir à zéro, car valeur encyclopédique 1/20 (qu'il partage sans doute avec l'article travail, tout aussi imbitable. D'où mise du bandeau de pertinence --Pgreenfinch 26 octobre 2005 à 14:47 (CEST)

Je me lance dans une réécriture car tout n'est pas à jeter. Néanmoins, des petites erreurs se sont glissées j'ai l'impression. Michaël Malter 18 décembre 2005 à 17:57 (CET)

La partie 2.2.2 n'est pas au top... Plein de Chez Marx, Chez Keynes... Beaucoup de verbiage et finalement pas très encyclopédique. J'hésite un peu avant de virer le machin et de compléter l'article Economie de sous-emploi. Je ne voudrais pas faire vandale.

Bon, j'attends vos réactions... On va le massacrer ce vilain bandeau!!!Michaël Malter 18 décembre 2005 à 19:38 (CET)

Réflexion faite je vire le bordel. Il y a l'historique! Michaël Malter 18 décembre 2005 à 20:10 (CET)

Le passage 2.1 na parle pas ou peu de Keynes! Je ne suis pas très chaud pour réécrire le machin mais c'est à faire, je laisse en l'état tant que personne ne réécrit. Shrat 20 décembre 2005 à 11:55 (CET)

Article plus rigoureux que beaucoup d'autres issus du portail économie de wikipedia me semble pertinent : je propose la suppression du bandeau de non-pertinence

[modifier] Keynésianisme

je ne suis pa calé en economie , je suis etudiant en histiore et l economie est un des aspects de mon aprentissage , j orai aimé un discour clair sur le kenesianisme et avoir l essence de la pensée de keynes lui meme mai apparement il s agit la d un debat plus ideologiquement politique qu autre chose.merci de m eclairé sur les valeures keynesiennes. (81.220.80.177 28 juin 2006 à 01:44 (CEST))

[modifier] réponse au Keynésianisme

En deux phrases. Keynes est l un des premier économistes à prôner l'intervention de l'Etat pour résoudre des crises économiques, en lancant des politiques budgétaires. Qui consistent à augmenter les dépenses de l'Etat A COURT TERME (pas plus de 5 ans), afin de relancer la Demande (par la consommation) et de revenir à un certain équilibre avec l Offre.

Par exemple: l Etat lance de grands travaux il payera des employés qui consommeront et relanceront la demande. (vision grossière)

J espère avoir été clair si des personnes veulent rajouter des choses ou me corriger?

[modifier] Question sur l'introduction

Je ne vois pas pourquoi on opposerait le keynésianisme et le libéralisme économique. Adam Smith justifiait lui aussi l'intervention ponctuelle de l'Etat. L'introduction de cette article me semble donc fausse, en plus d'exprimer un point de vue politisé. Il serait plus judidicieux de préciser qu'il existe plusieurs écoles libérales qui s'oppose sur la nature des interventions de l'Etat.

Pourquoi ne pas modifier l'intro, dans ce cas ? Hardi, prends ton clavier à deux mains ! --AuxNoisettes 2 mai 2007 à 13:37 (CEST)

J'irai même plus loin : c'est un exemple typique de ce qui arrive quand on répète les bétises des autres sans avoir lu les auteurs. Si vous aviez lu Adam Smith, Ricardo ou Malthus, (spécialement Smith) vous sauriez qu'ils ne parlent ni de "prix d'équilibre" ni de marché de concurrence parfaite et qu'ils sont à des années lumières de ces bétises néoclassiques (du genre "le marché est toujours efficient et juste parce que les prix jouent le rôle d'une "main invisible" qui ramène les quantités à l'équilibre") ! Si vous aviez lu Smith (qui utilise la main invisible dans un tout autre contexte - cf dico d'analyse éco de Bernard Guerrien -) vous comprendriez que Smith n'a rien a voir avec cette pensée et qu'il ne parle en rien du taux d'intérêt en ces termes ! Conclusion, quand on participe à une encyclopédie, on vérifie ses sources et on écrit pas des bétises sur des auteurs qu'on a pas lu. Dans le cas présent, on nomme contre qui Keynes s'oppose "les classiques" et au besoin on fait référence à la Théorie Générale (intro) : "La dénomination d' « économistes classiques » a été inventée par Marx pour désigner Ricardo, James Mill et leurs prédécesseurs, C'est-à-dire les auteurs de la théorie dont l'économie Ricardienne a été le point culminant. Au risque d'un solécisme, nous nous sommes accoutumé à ranger dans « l'école classique » les successeurs de Ricardo, c'est-à-dire les économistes qui ont adopté et amélioré sa théorie y compris Stuart Mill, Marshall, Edgeworth et le Professeur Pigou."

[modifier] Jean-Claude Trichet keynesien ?

Bonjour, c'est ce qu'affirme sur l'émission radio décryptage (RFI) Gérard-Marie Henry, économiste, professeur à l’Université de Reims auteur de "Keynes", aux éditions Armand Colin. Qu'en pensez-vous ? Chrisd 13 octobre 2007 à 13:27 (CEST)

Non, Trichet n'est pas keynésien, au sens où on entend le terme. Mais bien sûr, comme Milton Friedman (GM Henry dit dans l'émission : "Friedman aussi est keynésien"), il suit certains concepts énoncés en premier par Keynes, qui fut un très grand précurseur. —MACROECO me parler 13 octobre 2007 à 13:47 (CEST)