Discuter:Journée de solidarité envers les personnes âgées

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Sommaire

[modifier] Sources

Dominique de Villepin déclaration 1 juin 2006 :

La loi: http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=A031643B2C4D1B3505740582FC337769.tpdjo15v_3?cidTexte=JORFTEXT000000622485&dateTexte=20080512


[modifier] Inexactitudes

La loi prévoyais dès le départ que la journée de solidarité pouvais être aménagé de plusieurs manières. Le problème (pour l'organisation de cette journée) a essentiellement résidé dans le choix du lundi de pentecote en journée "par défaut".

L'article ne fait pas état de ce problème et colporte beaucoup d'erreurs grossières

[modifier] Arithmétique erronée ?

On peut lire sur le débat français la chose suivante : «pour le salarié, à une augmentation du temps de travail de 0,50%, c'est-à-dire une baisse du salaire horaire de 0,50%». Je ne comprends pas bien du tout ce résultat ? Si une journée de plus représente 0,5% alors cela implique qu'il y ait 200 jours travaillés par an (1/200 = 0,005). Il me semble bien qu'il n'y a pas autant de jours de congés sur les 260 jours ouvrés annuels. De la même manière on peut lire que la SNCF demande 7h de travail supplémentaire sur un an, «ce qui correspond mathématiquement à 1,52 min de travail supplémentaire par jour». Ce qui donc correspondrait à 276 jours travaillés (7h / (1,52/60)=276). Cette fois le chiffre me semble trop important : je compte hors congés 52 semaines à 5 jours ouvrés. Ce qui ferait selon moi 260 jours. En tout cas, quoi qu'il en soit, les deux nombres sont contradictoires et me semblent tous deux exagérés (dans des extrêmes opposés). Quelqu'un m'explique et m'aide à corriger ces informations ? Je peux faire la division, par contre je ne sais pas combien on doit considérer de jours travaillés par an ! / DC2 • 19 juillet 2006 à 20:39 (CEST)

Quatre années durent environ 1461 jours soit 208 semaines et cinq jours.Sur cette période, un salarié "ordinaire" travaille 208 x 5 jours et vingt cinq septièmes, moins quatre lundi de Paques, moins quatre Ascensions, moins quatre lundis de Pentecôte, moins les cinq septièmes de quatre fois huit jours (01/01; 01/05; 08/05; 14/07; 15/08; 01/11; 11/11; 25/12, qui arrivent chacun cinq fois sur sept un jours ouvré), moins quatre fois vingt cinq jours de congé.
Ce qui fait environ 918 jours et 5/7 en quatre ans, soit environ 232 jours.
Pour avoir un compte plus précis, il faudrait recenser le nombre exact de chaque fête mobile qui tombe un samedi ou un dimanche sur une période de 400 ans, qui dure 400 x 365 + 100 - 3 = 146097 jours = 20871 semaines: au bout de cette période, l' ordre des jours se répète, et la répartition de chaque jour de l'année n'est pas égale sur les 7 jours de la semaine. Le gain en précision serait illusoire, aucune Loi sur la durée du temps de travail n'ayant été en vigueur assez longtemps pour qu'on puisse constater un écart statistiquement significatif avec une répartition équiprobable. Rigolithe 19 juillet 2006 à 22:13 (CEST)
Il faut quand même remarquer que ces 232 jours annuels sont théoriques. Il y a lieu d'enlever les jours non travaillés et payés qui restent à la charge de l'employeur, et qui peuvent varier d'une entreprise à l'autre, d'une C.C. à l'autre (maladie, enfant malade, événements familiaux, etc). A cette remarque près, il y convient de parler d'une baisse du taux horaire de 0,43%(1/233) pour le salarié. Pour l'employeur, c'est plus difficile à dire, les charges étant différentes selon le secteur d'activité. Pour un taux de charges arrondi à 50%, l'employeur paye dans la configuration ancienne 12 x 1,5 s soit 18 x s pour 232 journées, et dans la nouvelle 18.003 x s pour 233 journées le rapport entre les deux est : (18003 x 232) / (18000 x 233) = 418296/419400, ce qui équivaut à une baisse du coût salarial de 0,41% . La différence entre les deux est ce qui revient à l'état rapporté à une année (0,3% / 12 = 0,025%). Contrairement à ce que dit Galouzeau, c'est calculable. Et c'est parfaitement risible. Rigolithe 19 juillet 2006 à 23:17 (CEST)
ou plutôt, la nouvelle 12 x (1,5 + 0,003) x s pour 233 journées soit 18.036 x s pour 233 journées. Le rapport entre les deux est : (18036 /233) / (18000 / 232) = 0,9977. soit une baisse du coût horaire salarial charge comprise de 0,23%.
Merci bien, je trouvais les chiffres initiaux absurdes. J'ai essayé de les corriger : on n'est pas à un ou deux jours près par an, mais là les chiffres qui étaient sur l'article était exagérés et forcément faux. Peut-être des fautes de frappe : exemple je trouve 1,82 min/jour pour la SNCF au lieu du 1,52 qui était écrit. . . CQFD. En tout cas, maintenant l'article est devenu à la fois cohérent avec lui-même et crédible avec la réalité du temps de travail. / DC2 • 20 juillet 2006 à 01:34 (CEST)
Pardon, j'ai mal compris ton calcul de bénéfice pour l'état. De plus, un pourcentage faible sur quelle somme au total ? (si un milliardaire voulait me donner 0,025% de son compte en banque je suis preneur). Je pense que l'article mériterait d'être amélioré au niveau de la précision des affirmations. C'est juste du calcul, y'a moyen de trouver les bons chiffres.
Pour le nombre de jours ouvrables en France, je vous suggère la lecture de:
http://www.insee.fr/fr/indicateur/cnat_trim/Pub_Meth/47g430.pdf

[modifier] "En pratique, les entreprises..."

Et en pratique pour les fonctionnaires, où est le gain pour l'état ? Avec l'exemple fameux des enseignants qui viennent travailler une journée... sans élèves. Ce cas est suffisamment important numériquement pour être évoqué Peps 29 septembre 2006 à 16:06 (CEST)

[modifier] Quelques idées en vrac

Bonjour.

On pourrait rappeler que la plupart des administrations et services publics n'ont pas vocation à faire des bénéfices ni à gagner de l'argent. Donc si l'état les fait travailler une journée de plus (sans payer plus de salaires) il n'en tirera pas de bénéfice lui permettant de financer l'aide au personnes agées. Par exemple pour un collège ou un lycée, ça coûterait plutôt à l'état de l'ouvrir un jour de plus (électricité, ...). Bien sûr il pourrait y avoir une valeur d'exemple, et de commodité si les parents travaillent. Pour la SNCF, de toute façon les trains circulent tous les jours...

On pourrait rappeler aussi que toutes les recettes de l'état (TVA, TIPP, impots sur le revenu, sur les entreprises, sur les successions, ... Budget de l'État français ) vont dans la même caisse, Trésor public. Ensuite ce budget est divisé en dépenses. Ainsi quand on crée un nouvel impot pour financer une dépense particulière, c'est un peu hypocrite : on aurait pu aussi augmenter un impot existant, émettre plus de monnaie (difficile aujourd'hui avec l'Euro), laisser augmenter la dette, faire des économies ailleurs, ... Le jour férié travaillé pour les personnes agées est très symbolique, mais économiquement assez discutable. Il ne touche que les salariés. Et de façon marginale, ce n'est pas très bon pour l'économie des loisirs et du tourisme...

On pourra se demander un jour aussi s'il faut travailler plus pour produire plus de voitures, plus d'embouteillages, plus de cancer du poumon, plus de grandes surfaces, plus de maladies cardio-vasculaires, ... Mais c'est un autre débat.

--Tchai 29 mai 2007 à 18:40 (CEST)

[modifier] plus de journée de solidarité en 2008...

citation de l'intro de wikipedia :

En 2008[2] la mesure devrait être abandonnée et ce jour redevenir simplement férié, selon un projet de loi qui serait déposé au cours du printemps. Toutefois, le principe de cette solidarité existera toujours. La manière de payer cet impôt étant désormais à définir pour chaque entreprise. Sommaire


L'affirmation est imprécise voir fausse

un article à ce sujet : [1]