Discuter:Hubert-Félix Thiéfaine

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J'ai supprimé les boîtes déroulantes qui falsifiaient le compte des chansons...

La première chanson de chaque album était précédé d'un #

--Erestrebian 26 juin 2006 à 15:23 (CEST)

[modifier] ajout du modèle "sources"

J'ai ajouté ce bandeau car certaines données me paraissent peu crédibles ou donnant un mauvais aperçu de l'artiste (dont je suis moi-même fan) ainsi on a des informations
- soit absurdes, çà ne m'étonnerait pas qu'elles viennent d'une interview d'Hubert Félix, qui comme à son habitude s'amuse à balancer des délires... donc à ne pas prendre au premier degré: soit à citer, soit à supprimer je cite :« Léo Ferré dont Hubert Félix aime à rappeler comment un soir de Juillet lors d'un concert aux Francofolies celui-ci était venu lui tapoter sur l'épaule après qu'HFT ait repris une de ses chansons. Cela n'aurait rien eu de particulier si cela ne s'était produit un an après la mort de Léo. »
- soit difficiles à prouver: je trouve réducteur de voir dans le flamboyant "Alligator 427" une critique du nucléaire, c'est trop matérialiste pour décrire le feeling de l'artiste, tout comme l'est le speech sur « "L'imagerie des « consommateurs de substances illicites »  »
mon principal grief dans ce cas est qu'expliquer une chanson est le travail d'un critique et non d'un encyclopédiste... surtout lorsqu'il s'agit de poésie, dans laquelle les métaphores laissent un large champ d'interprétation à l'auditeur.

je pense à quelque chose comme :

les drogues: "solexine et Ganja", "Pulque Mescal y Tequila", le nihilisme "alligator 427", l'amour "sentiments numériques revisités"... en plus étoffé
Salut! Doei! Bye! Adios! Gis Revido! Kenavo!- Alligator 427

Je me demande bien ce que peut vouloir dire Alligator 427... Une chanson où l'on parle d'atome, de centrales, d'anges nucléaires, de Louis Leprince-Ringuet, de cancer, de compteur électrique a plus à voir avec l'énergie nucléaire qu'avec la négation des valeurs morales et plus généralement, la négation de l'existence d'une réalité substantielle (nihilisme)... Je ne crois pas qu'une intelligence supérieure (qu'un critique n'a certainement pas) soit nécessaire à la compréhension de beaucoup de métaphores de cette chanson! S'il faut ammoindrir le rôle du nucléaire dans cette chanson autant dire que "Solexine et ganja" parle de football...Erestrebian - NeatkaJelgava (discussion) 3 octobre 2006 à 10:39 (CEST)

Disons que pour moi, oui il y a des références au nucléaire dans Alligator427, mais non elles ne sont pas franchement évidentes, çà nécessite une certaine étude, inclue avec pertinence dans l'article Alligator427 (je vois que c'est toi qui l'a créé), est-ce que les conclusions ( « Citons également Alligators 427, traitant du cancer qu'il croyait avoir et de la peur de l'énergie nucléaire 10 ans avant la catastrophe de Tchernobyl » )ont besoin d'être ajoutées à l'article de son auteur? Je mettrais plutôt un lien vers l'article, quant à l'allusion à Tchernobyl, on pourrais aussi dire 23 ans après Hiroshima, enfin pour le cancer que croyait avoir HFT, jamais rien lu de pareil, j'avoue que je n'étais pas né et je n'ai pas tout lu sur HFT..

J'aimerais aussi ton avis sur les autres points évoqués... tu n'as répondu que sur l'un deux Salut! Doei! Bye! Adios! Gis Revido! Kenavo!- Alligator 427 3 octobre 2006 à 13:15 (CEST)

La référence au cancer, je crois que c'est dans "jours d'orage" ou dans un entretien sur France Inter mais je ne peux rien affirmé, n'ayant plus le livre sous la main, ni l'enregistrement. Il est vrai que la référence n'étant pas donnée, il est conseillé de mettre référence souhaité ou de supprimer. Pour moi, les relations entre cancer (allusion à la clope et à la coke) et lui ainsi que les critiques du nucléaires au niveau civil et militaire sont évidentes dans la chanson alligators 427. Quand les gens faisaient allusion au prince ringard c'était soit pour parler de son engagement religieux, soit de ses immenses oreilles, soit du nucléaire. Quand Thiéfaine chante sur mon compteur électrique, j'ai le portrait du prince ringard, je ne vois pas où est le doute. Je n'ai pas vraiment essayer de comprendre Dies ole sparadrap joey où les métaphores sont plus difficiles ou les références manquantes.

La sphère des consomateurs de drogues est présente dans toute son oeuvre. Qu'il parle de lui ou d'éventuelles connaissances, on en retrouve la trace dans chacun de ses albums. De la fille du coupeur de joint à guichet 102, je ne me souviens pas qu'il y fasse allusion dans le dernier album mais de là à ne citer que solexine et ganja je trouve cela réducteur et les citer toutes n'aurait pas de sens.

Je pense d'ailleurs à parler de celle des fous qui est aussi très présente. L'amour et le sexe sont très présent tout au long de son oeuvre (traitant même avec une grande poésie du sado-masochisme dans Sweet amanite phalloïd queen. Je ne me suis jamais vraiment penché sur l'écriture de cet article car même après 5 ans d'écoute acharnée et 12 ans en tout, je découvre à chaque fois de nouvelles choses. J'attends d'avoir tous les éléments pour vraiment en parler.Erestrebian - NeatkaJelgava (discussion) 3 octobre 2006 à 13:37 (CEST)

L'exemple que je donne à ma première intervention n'est pas à une idée définitive, seule;met un paerçu de ce que je propose, qu'il faudrait étoffer. Je ne propose pas de réduire à Solexine et Ganja l'expérience des drogues (et pulque Mescal y Tequila alors?) il s'agit d'illustrations, ou d'exemples si tu préfères, donc en aucun cas une réduction, et encore moins une liste exhaustive... après quand à l'intuition qui fait ou non piger les paroles de Thiéfaine, je suis heureux que tu m'en apprennes tant pour Alligator 427, je confirme qu'après quelques années d'écoute, le prince ringard ne signifiait toujours rien pour moi, je me comtentais parfaitement de l'impression de mort et de destruction qui sort de ses paroles, agrémentées des fantastiques arrangements du Tony Carbonnare... après tout, c'est pareil chez les comiques, chez qui ont détecte un nouveau gag après des années... mais je crois que l'article sur un artiste n'est pas fait pour le commentaire de texte de son oeuvre...

L'anecdote sur Léo, il s'agit d'une apparition avant celle de Ste-Bernadette Soubirous de "27e heure :suite faunesque" ?

Est-on d'accord pour mettre un lien vers Alligator427? Ainsi que s'étendre sur d'autres thèmes du Monsieur?

La folie? un thème en effet incontournable d'HFT, ... Salut! Doei! Bye! Adios! Gis Revido! Kenavo!- Alligator 427 3 octobre 2006 à 17:02 (CEST)

[modifier] Modifs

Bonjour,

Je me suis permis d'apporter quelques modifs sur la bio de Thiéfaine, dont je suis fan depuis tout petit. - J'ai enlevé les références à l'amitié entre Thiéfaine et Mairet, car je ne suis vraiment pas sûr qu'elle soit d'actualité. Idem avec Cantat, ayant entendu Thiéfaine dire qu'il l'avait croisé lors de festivales mais sans plus. - J'ai jugé utile de citer "soleil cherche futur" qui est plutôt son album de référence (avec bien sûr son premier) et celui qui l'a fait connaitre du grand public. - J'ai rajouté ses expériences américaines, qui peuvent paraître superflues, mais on ne pouvait pas laisser un vide entre Alambic sortie sud et la tentation du bonheur.

Par ailleurs, je ne suis vraiment pas d'accord avec ce qui est écrit sur la "Psychanalise du singe": tout d'abord, cette chanson ne mérite vraiment pas toute cette place dans cet espace. Ensuite, c'est bien d'avoir lu Burroughs, mais ça ne veut pas dire que Thiéfaine fait explicitement référence à l'héroïne. A mon avis, dans cette chanson, le singe est plutôt le primate qui habite notre chanteur. Comme il a été dit par ailleurs, si on veut des références à la drogue, on peut en trouver dans la plupart de ses chansons (solexine et ganja, une fille au rhésus négatif), mais pas vraiment dans celle-là. Enfin, faut-il vraiment expliquer une chanson de Thiéfaine? Je souhaite bien du courage à celui qui s'attaque aux dingues et aux paumés!

En tous cas, j'aime bien ce principe de Wiki. Longue vie à Wikipedia!

Fred Salut, j'écoute actuellement '113ème cigarette sans dormir'(1981), et il y a une nappe synthé. Par ailleurs, je redécouvre depuis 15 jours l'album ' dernière balise avant mutation' que je n'ai pas entendu même partiellement depuis 1995. je suis étonné de la qualité acoustique des morceaux.