Georges Mink

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Georges Mink est un sociologue français, directeur de recherche à l'Institut des sciences sociales du politique.

Spécialiste des systèmes sociaux et politiques des pays de l'Europe centrale et orientale, il est ancien directeur du Centre français de recherche en sciences sociales de Prague[1]. Dans L'Europe et ses passés douloureux, il se penche sur les conséquences mémorielles de l'intégration à l'Union européenne de pays issus du bloc soviétique[2].

[modifier] Ouvrages

  • La Force ou la Raison, La Découverte, coll. « Cahiers libres », 1989, 308 p.
  • (co-éd.), Cet Étrange Postcommunisme. Rupture et Transitions en Europe centrale et orientale, Presses du CNRS/La Découverte, Paris, 1992.
  • Vie et Mort du bloc soviétique, Casterman, Paris, 1997, rééd. 2007.
  • avec Jean-Charles Szurek, La Grande Conversion. Le destin des communistes en Europe de l'Est, Éditions du Seuil, coll. « L'épreuve des faits », 1999, 311 p.
  • « La société postcommuniste : théories et données sociologiques », dans L'Europe Postcommuniste, Presses Universitaires de France, 2002.
  • avec Maxime Forest (dir.), Post-communisme : les sciences sociales à l'épreuve, L'Harmattan, coll. « Pays de l'Est », 2004, 208 p.
  • avec Laure Neumayer (dir.), L'Europe et ses passés douloureux, La Découverte, coll. « Recherches », 2007, 268 p.

[modifier] Notes et références

  1. « Le communisme et les élites en Europe centrale », colloque à l'École normale supérieure, 2004.
  2. Voir aussi « Europe : désunion mémorielle », Libération, 29 août 2007.

[modifier] Liens externes