Discuter:Finnegans Wake

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Bonjour et bonjours...lol..bon alors pour faire succintement...depuis peu,pris par un emploi du tps demesuré du fait de mon engagement en fac de philo, je me suis remis à lire de la littérature et quelques questions se sont vite imposées à moi et pas des moindres...une mise en jambe de Shakespeare, jusque là tout va bien, et les choses se compliquent ensuite. J' ai fait l' aquisition d' un exemplaire de Finnegans Wake de James Joyce chez Folio, et je me retrouve perdu. N' ayant pas pour habitude de baisser les bras, j' ai forcé un peu et réussi tant bien que mal à achever les 2 ou 3 premieres pages. Je décide de faire un tour sur le net chercher des avis et autres commentaires, qui décrivent l' oeuvre de Joyce comme Oeuvre majeure de la littérature du 20ème siecle. D' autres questions se chvauchent alors dans mon esprit, "suis-je stupide","moi je n'arrive pas a lire ceci, comment a-t-il fait pour écrire cela", j'en passe et des meilleures,...je soumet la question à ma libraire(d'autres ont leurs médecins moi j'ai ma libraire,...) et me dit que je dois lire Finnegans Wake, ds le sens "je ne comprends pas, mais j admets",...est ce vrai? Alors je demande à vous autres internautes des informations pour venir à bout des quelques 900 pages de ce pavé..merci, et bonne lecture...


Bonjour

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Pour ce qui est de la discussion, Finnegans wake est une tentative qui n' rien à voir avec le processus classique un écrit pour une lecture(ou un écrivain écrit pour un lecteur), je crois que joyce nous invite à étre notre propre ecrivain ,à aller voir derriere les coullisses ce qui ce trame(ou qui ce tisse), dans le dos du lecteur, personne ne connait les 14 langues utilisées par Joyce ce qui montre à l'evidence que le probléme n'est pas de comprendre, mais d'entendre, entendre quoi là est la question?.

[modifier] Psynnouillage au bond de l’éveil contréchote le rêve de savoir.

Finaigre en soicte à plein will obscur novie se dérôle comme des spaghettis et ce n’est fiche repas la sauce tomate qui manque. Conçu comme obscur, exécuté comme obscurité, il est obscur et rien ne le fera jamais non obscur. Joyce se donna du mal pour rendre l'opacité plus profonde, jusqu'à insérer du samoyède ajuté du parmesan. « C’est naturel que les choses noctes soient pas si claires, on peut à peine voir, on a le sens plus tôt ».

[modifier] Evaluation