Discuter:Faïence de Quimper

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Je suis Barbarin_Fourchu! Désolé si j'ai fait quelques erreurs, la recherche des fait historiques est difficile sur la faïence de Quimper, il y a tellement de versions contradictoires! Mais je suis satisfait de voir que l'article se développe. Il était très succinct auparavant, sans historique ni petit breton. Dommage pour un tel morceau d'histoire bretonne et pour des produits de renommée mondiale!

Réponse : il suffisait de lire les ouvrages cités en référence au bas de l'article, tous les bons renseignements y figurent.

En ce qui concerne le tricentenaire de la Faïence de Quimper, celui-ci a bien été fêté officiellement et en grande pompe par la mairie en 1990. Quelles sources prouvent que ce fut une erreur de le fêter en 1990?

Réponse : Toutes les sources d'archives, détaillées dans mon livre "Quel tricentenaire ?". Elles sont trop nombreuses pour être énumérées ici, puisqu'elles ont fait l'objet de tout un livre. Mais déjà, on trouve des centaines de signatures de JB Bousquet de 1690 à 1696 comme témoin sur les actes de notaires de Saint-Zacharie (83), où il enterre sa femme en janvier 1694, parraine sa nièce l'été de la même année, règle ses comptes avec son beau-fils en 1696, vend des terres à sa mère la même année et descend apprendre à Marseille le métier de pipier. On le trouve dans la cité phocéenne jusqu'à son départ en novembre 1699. Mais comme il n'a jamais été faïencier de sa vie, ce n'est pas lui qui compte, mais son fils Pierre, marié à Marseille en septembre 1699, y ayant acquis sa maîtrise de faïencier peu après et parti s'établir à Locmaria en septembre 1707, après plusieurs allées et venues entre la Bretagne et le Midi. Tout cela est raconté avec précision dans mon roman historique "La vierge de faïence" (2003). La suite de l'histoire des faïenceries de Quimper figure dans mes deux romans suivants, "La fille du faïencier" (2005)et "Madame la faïencière" (2007). La suite est en cours... Puisque vous vous intéressez au sujet, je vous invite à les lire, pour vous mettre en accord avec ce qu'y ont lu plus de 10 000 Finistériens.

D'où provient l'information que Jules Henriot est le fils d'une Demoiselle Tanquerey?

Réponse : Tout simplement de l'état-civil. Christian De la Hubaudière.



J'ai laissé un message à l'ip qui à créer cette entrée, je pense qu'il y à matière à un article encyclopédique mais en l'état c'est pas recevable cependant ce serait bête de supprimer l'article il suffit de le reprendre et de l'enrichir. J'espere que l'ip à qui j'ai laissé un message pourra amélioré ceci. En ce qui me concerne je ne connais strictement rien à la faïence et strictement rien à Quimper alors comptez pas sur moi ;-)

--•Šªgε• | 14 avr 2005 à 16:47 (CEST)


J'ai du mal à croire que le rédacteur d'origine de l'article ait lu les ouvrages qu'il cite en référence, sinon il n'aurait pas écrit tant d'erreurs. Il importe de ne pas écrire n'importe quoi pour les amateurs de la faïence de Quimper, au risque de les en dégoûter, s'ils ne s'y retrouvent pas entre l'histoire vraie et les légendes. Il reste encore bien des choses à corriger dans cet article, comme à l'article fabriques : fondation en 1708 et non en 1699, Bellevaux n'a jamais été propriétaire de la fabrique, ses beaux-parents lui survivant, le gendre de Caussy était mort depuis belle lurette en 1805, HB n'a jamais voulu dire Hubaudière-Bousquet, mais simplement Hubaudière (voir tribunal de commerce) comme HR veut dire Henriot, lequel est loin d'être le 3e propriétaire de la fabrique Dumaine, etc... Et vive le tricentenaire, cette année 2008, de l'une des plus vieilles faïenceries de France ! Christian De la Hubaudière.


Pitié Monsieur De la Hubaudière... un peu d'indulgence pour le vulgum pecus... pitié Monsieur De la Hubaudière, tout le monde ne peut pas se prévaloir de... votre savoir omniscient ! Un modeste petit Breton... sans particule