The Elder Scrolls II: Daggerfall

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The Elder Scrolls II: Daggerfall
Éditeur	Bethesda Softworks
Développeur	Bethesda Softworks
Distributeur	{{{distributeur}}}
Concepteur
Début du projet	{{{début du projet}}}
Date de sortie	1996
Licence	{{{licence}}}
Version	{{{version}}}
Genre	rôle
Mode de jeu	Un joueur
Plate-forme	PC
Média	cd-rom
Langue	{{{langue}}}
Contrôle	clavier, souris
Évaluation	{{{évaluation}}}
Moteur	{{{moteur de jeu}}}

The Elder Scrolls II: Daggerfall est un jeu vidéo de rôle édité par Bethesda Softworks en 1996 sur PC. Il s'agit du second épisode de la série The Elder Scrolls. Successeur d’Arena et inspirateur de Morrowind, Daggerfall constitue l'un des rares jeux offrant une liberté presque totale au joueur. Il utilise le moteur graphique XnGine.

Sommaire 1 Univers 2 Gameplay 3 Notes et références 4 Liens externes

[modifier] Univers

Daggerfall est un jeu de rôle sur ordinateur où le joueur incarne un seul personnage en vue 3D subjective. Dans ce jeu, le joueur évolue dans une contrée appelée la Baie d'Iliac (qui graphiquement rappelle un peu le pourtour méditerranéen) à la recherche d'aventures. De même que dans Arena ou Morrowind, le choix du personnage et de sa conduite sont entièrement laissés à la discrétion du joueur. Daggerfall fut surtout influencé par les jeux de rôle « papier » comme Donjons et Dragons et Vampire : la Masquarade. En revanche, d'après le lead designer du jeu, aucun jeu vidéo n'a réellement influencé Daggerfall à l'exception de son prédecesseur, Arena^[1].

Il y a d'immenses contrées à explorer (45 000 km² d'après Bethesda, 116 000 km² d'après les calculs des joueurs, mers et océans compris) et un immense nombre de personnages non joueurs (PNJ) avec lesquels le joueur peut dialoguer (plus de 3 millions).

[modifier] Gameplay

Le joueur choisit son personnage parmi 8 races (elfes, humaines, animales), et 18 classes. Il a également la possibilité de créer sa propre classe. Il ou elle sera ensuite défini(e) par 8 caractéristiques et 27 compétences allant du combat à la hache jusqu'à la connaissance de l'étiquette en passant par la restauration, le pickpocket ou le crochetage des serrures. Le joueur dispose de 18 types d'armes différents, en 10 matériaux spécifiques. Son armure est composée de 7 parties de 12 matériaux possibles. Un voleur ne peut porter la même armure qu'un barbare : escalader les toits serait alors trop dangereux, voire impossible. Ceci permet d'obtenir une gestion du personnage pointue et réaliste.

Pour se déplacer, le joueur a le choix entre la marche, la course à pied, la nage, le bateau, voler, la carriole, le cheval, escalader, ramper...

Comme dans la plupart des jeux de rôle, la discussion est primordiale pour réussir les quêtes. Les quêtes, très nombreuses (des Add-Ons réalisés par des joueurs sont disponibles sur le Net) totalement indépendantes de la quête principale, qui, au départ, est très vague. Ces quêtes permettront d'améliorer son personnage, de lui forger une réputation, de le faire grimper dans le rang des Guildes (officielles ou non, telle la Guilde des Assassins). Rien que le ton choisi pour les conversations influence le déroulement du jeu!

Le joueur peut contracter des maladies comme la peste, mais également la lycanthropie, mi-homme mi-animal (vampire, loup, sanglier). Le commerce, marchander, vendre des objets d'art (tableaux...) n'est pas oublié (un commerçant miteux achetera les trésors à prix d'or par rapport à une boutique de luxe), ni la réparation des armes auprès des forgerons.

Le joueur a accès à des ItemMaker afin d'enchanter lui-même des objets sur mesure, avec la possibilité d'y emprisonner des âmes capturées au combat; de même les PotionMaker pour concocter des recettes magiques et jouer à l'apprenti sorcier en mélangeant au hasard les ingrédients de son choix. Les SpellMaker permettent de créer ses propres sorts en plus de la centaine de sorts affiliés aux 6 écoles de magies.

Très buggué lors de sa sortie (de nombreux graphismes présents dans les fichiers du jeu mais non exploités laissent à penser qu'il a dû être sorti précipitamment), Daggerfall a été corrigé depuis par les développeurs. Le dernier patch en date est le 2.13.

Ce jeu ne requiert pas de machine puissante avec carte 3D, il est cependant introuvable à la vente, sauf sur des sites de vente en ligne ou chez des vendeurs de jeux d'occasion.

[modifier] Notes et références

[modifier] Liens externes

• Le site de Haldegarh : site de fan, il vous donnera un aperçu de ce qu'est Daggerfall. Généralement considéré comme le site francophone de référence.
• La Grande Bibliothèque de Tamriel : Pour tout savoir sur l'univers des Elder Scrolls.
• Le wiwiki : Site d'aides techniques et de jeux sur Elder Scrolls (Comme comment faire tourner Daggerfall sur un PC recent).
• Daggerfall en français : Page de téléchargement du Projet French Daggerfall qui traduit partiellement Daggerfall en français (PFD)

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