Discuter:Civilité

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[modifier] Un défi élevé

Réponse à l'Utilisateur:J.M. Tavernier, suite à ses entraves aux bonnes relations, caractérisées à la page Discuter :Amour – ce qu’il refuse de faire. C’est le mobile de cette rupture délibérée que l’on trouve par hasard en suivant jusqu’au bout les pistes qu’il nous suggère.

Cher Monsieur, Par votre assurance, vous m’invitez à réviser mon jugement (vous ne me laissez d’ailleurs pas d’autre choix !)

  • Je suis donc prêt, malgré le caractère « peu aimable » que vous semblez mettre un point d’honneur à cultiver – le moins que l’on puisse dire est que vous ne faites pas preuve d’un zèle excessif pour expliquer votre point de vue - à imaginer, comme vous me le suggérez en m’envoyant au « nimbes », qu’une logique 'acceptable' puisse conduire en toute équité, au rejet si catégorique de la courte introduction que j’avais faite sur le sujet de l’amour.
  • A ce point, je vous l’avoue, je compte sinon sur votre courtoise, du moins sur le minimum de pédagogie qui pourrait vous permettre de me faire comprendre en quoi je me suis trompé si lourdement que vous n’ayez pas pu imaginer m’imaginer capable de comprendre mon erreur, même si vous condescendiez à me l’expliquer !!!
  • Franchement, monsieur, vous m’inquiétez. M’imaginez vous donc si obtus, ou si peu fréquentable, qu’à l’instar de ces pestiférés auxquels la société retire le statut d’être humain, pour leur plus grand malheur, pour comble de l’injustice, vous préfériez couper court à toute possibilité de conversation ouverte et structurée, ne daignant pas même me donner ne serait-ce que le début d’une explication cohérente !!!
  • C’est donc à un défi élevé que je vous invite : celui de faire comprendre un notion peut-être subtile, à un individu que vous soupçonnez d’en manquer gravement : à vous, qui affirmez votre autorité – que dis-je l’exercice irrévocable d’un arbitrage si absolu qu’il se passe de tout dialogue – car je vous le fais observer, vos messages ne relèvent pas du dialogue mais au mieux de cette logique cachée que je cherche, et que j’imagine encore acceptable, et au pire, de l’ironie la plus inacceptable dans le cadre du minimum de courtoisie dont pour ma part, je refuse de me départir malgré tout.
  • Mais à mieux considérer votre propos, il me vient une dernière idée : ne seriez-vous pas l’un de ces prototypes de brutalité par lesquels la haine se propage aux lieux et places de l’amitié, et pour le moins, de ce minimum de civilité qu’ils transgressent à chaque fois que le très mauvais procédé de l’intimidation leur paraît la seule issue aux fictions qu’ils se savent incapable de soutenir. Car tout bien considéré, votre attitude et votre langage sont loin d’être subtils :
  1. Incohérence sur le fond - Vous invoquez le style pour censurer une introduction faite sur le fond, en parfaite conformité avec les indications de Wikipédia sur ce point ;
  2. Incohérence sur la forme – « Je crains que vous n'avez pas saisi » est parfaitement incohérent. Si vous souhaitez exprimez un doute, l’emploi de l’indicatif est une erreur ; si au contraire vous affirmez votre conviction, « je crains » est en trop.
  3. Ignorance sur le fond – Par votre insistance à censurer ma contribution, vous tendez à l’inflation des effectifs de l’éducation qu'en donnant le désir d’apprendre, une définition pertinente de l’amour menacerait trop ouvertement à votre goût – Or sur ce point, vous dépassez Monsieur Aschieri, dont le moins que l’on puisse dire est pourtant qu’il n’a jamais fait preuve d’un enthousiasme délirant envers les innovations pédagogiques nécessaires.
  4. Mauvaise foi – Lors du débat télévisé sur l’Education Nationale du 08 septembre 2003, sur Antenne 2, celui-ci reconnaissait en effet que « la question fondamentale est de savoir comment faire pour donner le désir d’apprendre ».

En apportant à cette question une réponse claire et dûment argumentée (voir pages sensibilité, et Discuter :Sensibilité), c’est ce problème fondamental que je tends pour ma part à résoudre, en interdisant l’aggravation de la situation, à charge de ces esprits inamicaux et ironiques, incohérent et retranchés, et calculateurs (l’amour dans tout cela, qu’avez vous à en faire, si ce n’est de surveillez que personne ne s’y intéresse de trop près ?) dont vous prouvez être le prototype.