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Tâches à accomplir pour Bréhat |
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Au sujet du « pont » et d'une initiative de Vauban entre les deux îles principales de l'archipel de Bréhat.
Le mot « pont » est utilisé pour des quais, des jetées. « Pont » est utilisé à Pors-Even (Ploubazlanec) pour nommer le quai du port. Il n'y a pas de pont en langue française entre l'île Nord et l'île Sud. Il y a un pont (en langue bretonne), un accès, de quelques mètres, construit comme un chemin pratique, sur le point haut de la jonction des deux parties de l'île. Aucun ennemi n'aurait pû passer par là. Même avec une planche à voile sans dérive aux plus hautes mers. A moins que Vauban ne fût pas dans un état normal, je ne vois pas pourquoi il en aurait fait un ouvrage de défense de l'île. Cette affirmation comme quoi ce passage entre l'île Nord et l'île Sud a été construit sur l'ordre de Vauban reste à prouver. Référence nécessaire. Si c'est vrai, on pourra ajouter que Vauban avait abusé du cidre ou laissé embobiner par quelque bréhatin ou bréhatine le jour le jour où il a décidé ça. Celà permet de joindre les deux îles à pied sec même aux grandes marées. C'est tout. --Michel Barbetorte 4 avril 2007 à 21:24 (CEST)
Le mot "pont" est une déformation du breton pour "pann", c'est à le "bout" ou "l'extrémité". Ainsi, le "pont" Vauban tire-t-il son nom de la prairie qui le précède "pont ar prat". De même, le phare du "bout" de l'île nord est dit "phare du Paon" par déformation du "pann". Il est très fréquent que les noms de lieux en breton soient ainsi modifiés par transmission orale, par lecture approximative, plus rarement par une traduction exacte ... Eric Lebec le 11 mars 2008 à 18 h 05
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Le pont (un quai), une fortification de Vauban ? Alors là ! Le moulin du Birlot fut-il aussi un prototype de l'usine marémotrice de la Rance, et le sémaphore de Bréhat la première réalisation de Chappe ?--Michel Barbetorte 13 février 2007 à 21:49 (CET)
[modifier] Avis déposé par un utilisateur non enregistré
- Transféré depuis l'article par R (d) 11 mars 2008 à 20:55 (CET)
Il est inexact que Théodore Botrel soit venu à Bréhat : il n'a d'ailleurs visité Paimpol que longtemps après le succès de sa fameuse rengaine ... De même, Pierre Loti n'a jamais passé plus d'une semaine à ... Paimpol et s'il est venu à Bréhat, il n'en fait aucune mention. Gauguin n'est pas venu ... Ce n'est pas "Henri" Matisse, mais son homonyme "Auguste" qui a séjourné à Bréhat. En revanche, sont bien venus : Foujita avec son ami Desnos, Max Jacob, Chagall, Kickert, Josephson, Osterlind, Seevagen,Haraucourt, Vermare, Waroquier et plus récemment Colette chez Georges Wag, et aujourd'hui Erik Orsenna qui avait une maison dans l'île nord ...
Budoc venait probablement de Cornouailles et il fut le maître de saint Guénolé dans son monastère abrité dans une ancienne villa gallo-romaine sur l'île Lavrec. Le jésuite Maunoir, venu 2 fois en mission à Bréhat, a laissé une influence considérable par ses textes en breton et en latin. Eric Lebec, le 10 mars 2008, 18 h 28, source "L'Archipel de Bréhat", du même auteur, au syndicat d'initiative — Le message qui précède, non signé?, a été déposé par 82.251.135.47 (d · c).