Discuter:Banque

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	Tâches à accomplir pour Banque	modifier • suivre • rafraîchir • aide
	une définition plus précise de Banque doit être faite dans le sens où ce terme est très vague. Il faut parler d'Etablissements financiers, notions plus large comprenant les banques, les sociétés financières, les autrorités de régulations (Banques centrales par exemple)...

Sommaire 1 Liste de banques 2 Bandeau franco-centré 3 Remises de chèques 4 Problème dans les origines (premier paragraphe, sur le crédit) 5 système bancaire islamique 6 Rôle 7 valeur ajoutée, fondement des frais bancaires ou "comment les banquiers font leur beurre"

[modifier] Liste de banques

Pour les listes de banques par pays, je propose de ne citer que les filiales "majeures" et ayant une enseigne commerciale connue du grand public (sous peine d'avoir très vite des listes interminables, à caractère commercial).
De plus, mentionner ces quelques filiales sur la même ligne que le "Groupe" ou maison-mère (voir la liste "France"). BMR 5 septembre 2005 à 13:14:03 (CEST)

[modifier] Bandeau franco-centré

Je ne vois rien qui justifie le maintien de ce bandeau, que je supprime.Htournyol 10 octobre 2005 à 17:42 (CEST)

[modifier] Remises de chèques

Aucune signalisation sur les remises de chèques dans cette définition des banquees! c'est tres dommage....

Je ne comprends pas. Peux-tu expliquer ce que tu entends par là? Htournyol 16 novembre 2005 à 19:14 (CET)

La remise de chèque est une opération bancaire parmis des dizaines et même centaines d'autres. Peut être à développer dans l'article moyen de paiement --Pgreenfinch 16 novembre 2005 à 20:48 (CET)

[modifier] Problème dans les origines (premier paragraphe, sur le crédit)

il me semble que le mont-de-piété est un principe fondamentalement différent du pret à crédit. C'est un pret sur gage. Il donne une somme d'argent en contre-valeur de la cession d'un objet ou de terres. Contrairement au pret à crédit, il n'est pas condamnable par la religion chrétienne. En effet, ce qui est condamnable, c'est de "faire de l'argent" avec de l'argent.

[modifier] système bancaire islamique

En cherchant des infos sur WP suite au travail fait sur l'article Iran, je m'aperçois que cet article est bien occidentalo-centré : il manque un pan complet sur le système bancaire islamique, qui a sa logique et ses caractéristiques propres... J'ai trouvé un doc assez complet sur ce sujet : [Défis au système bancaire islamique], et ça serait bien que quelques "financiers" se penchent dessus pour faire des ajouts à cet article, notamment sur le § "modèle économique". Merci d'avance.

Oui. L'établissement de banques islamiques est attesté dès le Xe siècle par l'historien Bernard Lewis. Mais peut-on relier les banques du monde arabe au concept moderne des banques "occidentales" ?

« Au IXe siècle, [le changeur] se transforma en banquier, soutenu par de riches marchands détenteurs de capitaux à investir. On connaît alors des banques dont le centre est à Baghdad, avec des « succursales » dans les autres villes de l'empire, dotées d'un système élaboré de « chèques », de lettres de crédit, etc. : il était possible, par exemple, d'émettre un chèque à Baghdad et de l'encaisser au Maroc. A Bassora, centre principal du commerce florissant avec l'Orient, on disait que chaque marchand avait son compte en banque et que les paiements du bazar ne se faisaient qu'en chèques, jamais en liquide. Au Xe siècle, on trouve dans la capitale [Baghdad] des banques gouvernementales portant le titre de « Banquiers de la Présence », qui avançaient au gouvernement les sommes d'argent nécessaires pour les dépenses administratives, en échange de la ferme des impôts à collecter. L'usure étant interdite aux musulmans par la Loi, la plupart des banquiers étaient des juifs et des chrétiens. On connaît cependant quelques banquiers musulmans : certaines écoles d'interprétation de la Loi estimaient qu'un taux d'intérêt raisonnable ne pouvait passer religieusement pour de l'usure. » — « L'empire islamique », dans LEWIS, Les arabes dans l'histoire, 1950 rev.1993, p.116

-- irønie turlut 3 octobre 2007 à 17:00 (CEST)

Vous pourrez déjà trouver des informations sur cet article: Finance islamique. Elles sont bien incomplètes j'en conviens mais permettent d'avoir un premier apercu. N'hésitez pas à enrichir vous même l'article ou tout autre du Portail:Finance !

--Bombastus ^{[Разговор]} 3 octobre 2007 à 18:41 (CEST)

irønie , je ne parlais pas des banques du Xème siècle, mais bien des banques islamiques modernes, et de leur attitude particulière vis-à-vis des intérêts et des investissments notamment. Pourquoi parles tu de banques du monde arabe quand je te parle du monde islamique ? les arabes ne sont pas forcément musulmans, et lycée de versailles, comme dirait l'autre... فاب - so‘hbət - 4 octobre 2007 à 16:52 (CEST)

Pour ma part, je pense que cet article est très très léger comparativement à l'importance de cette activité. A travailler donc, pas à pas. Cordialement. --brunodesacacias 5 octobre 2007 à 10:47 (CEST)

[modifier] Rôle

Je n'ai pas compris comment il y a création de monnaie lorsque la banque accorde un crédit?Puisqu'elle prete de l'argent qu'elle détient? Merci d'avance de clarifier le premier paragraphe de la section rôle.

A étudier en effet. Mais en un mot, si Dupont confie 1 euro à Mabanque et que Mabanque en prête 2 à Martin alors Ma banque a créé 1 euro. Voilà. --brunodesacacias 5 octobre 2007 à 10:49 (CEST)

[modifier] valeur ajoutée, fondement des frais bancaires ou "comment les banquiers font leur beurre"

Il serait a mon avis très intéressant que soit expliqué en quoi consiste la valeur ajoutée du métier de banquier dans un contexte de commerce avec le particulier

En effet, le profane que je suis ne comprends pas pourquoi les banquiers prélèvent des frais divers alors que les comptes courants ne sont pas rémunérés : le service rendu pour la "tenue d'un compte" se réduit t il au simple fait de mettre a disposition du client des liquidités retirable a tout guichet et des carnets de cheque pour le paiement ? Pourquoi les cartes bleu sont elles payantes ?

J'ai cru comprendre que le banquier se sert des dépôts de ses clients pour "garantir" des sommes qu'il prête a d'autres clients et qu'ainsi de la monnaie est crée. Or les intérêts sont perçus par le banquier grâce a l'argent déposé par ses clients. Pourquoi les comptes courants ne sont ils pas rémunérés s'il permettent au banquier de travailler (ils sont sa matière première) ?

+1. L'article me semble très incomplet voire contestable sur ces sujets. Je pose donc les mêmes questions. Cordialement. --Bruno des acacias 1 février 2008 à 14:52 (CET)

Je suis d'accord sur le fait qu'il faille compléter le chapitre sur la rentabilité de la banque et ses sources de revenus.

Pour donner juste quelques précisions, le banquier gagne de l'argent principalement par 2 moyens:

1- Sur ses services (comme n'importe quelle société de conseil). Par exemple il fait payer des frais sur une carte de crédit car il fournit avec cette carte un service de sécurisation des transactions, des garanties sur la fraude, un système informatique qui permet de faire les paiements et retraits...

2- Sur la trésorerie déposée par les clients. Lorsque vous déposez de l'argent sur votre compte, la banque pourra s'en servir pour le replacer (voire Gestion de trésorerie bancaire) ou pour le prêter à quelqu'un d'autre.

Il existe aussi des services qui ne sont pas payants (ouverture et clôture d'un compte courant, moyen de paiement standard type chèque...). Même si le service est ici gratuit, la banque se rémunèrera en faisant travailler la trésorerie mise à disposition. En revanche attention à la loi sur la levée du "ni-ni" (ni rémunération-ni facturation) qui imposait aux banques de ne pas rémunérer les comptes courant en contre-partie de quoi, l'ouverture d'un compte courant et services standards de retrait n'étaient pas facturés. Cette obligation étant levée, certes les comptes courants pourront être rémunérés (à un taux très faible donc peu rentable pour le client) mais surtout les banques factureront les services standards comme l'utilisation d'un chéquier.

Ainsi les sources de revenus de la banque sont nombreux car tous les services sont potentiellement facturables (une opposition à prélèvement, un déblocage de chèque sans provision, une utilisation de facilité de caisse, des garanties diverses, un service de suivi de compte par internet, les intérêts de prêts - immo, conso, revolving... -, les frais d'opérations, un service de paiement sécurisé ou garantie...).