Banque

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Agence de Serra Talhada (Permanbouc, Brésil) de Banco do Brasil
Agence de Serra Talhada (Permanbouc, Brésil) de Banco do Brasil
Logo de la banque Bank of America
Logo de la banque Bank of America

Une banque est une société financière qui gère les dépôts et collecte l’épargne des clients, accorde des prêts et offre des services financiers.

Elle effectue cette activité en général grâce à un réseau d’agences. Elle utilise de plus en plus d'autres canaux de distribution : opérations par internet, accords avec les commerçants pour le crédit à la consommation et le paiement par carte, guichets automatiques dans des lieux publics, publipostage, centres d'appel. Les banques commerciales font partie des établissements de crédit.

Dans certains pays[réf. nécessaire], cet établissement financier doit posséder une licence pour pouvoir exercer, laquelle est délivrée par un État et validée par des institutions spécifiques.

Par extension, la « banque » est le secteur économique qui regroupe les activités de conception, de production et de commercialisation des services offerts par une banque (voir secteur bancaire).

Sommaire

[modifier] Histoire

Le banquier Jacob Fugger avec son comptable. Les dossiers derrière eux citent le nom des succursales de la maison Fugger, véritablement internationale : Rome, Venise, Cracovie, Lisbonne, Innsbruck, Nuremberg, etc.
Le banquier Jacob Fugger avec son comptable. Les dossiers derrière eux citent le nom des succursales de la maison Fugger, véritablement internationale : Rome, Venise, Cracovie, Lisbonne, Innsbruck, Nuremberg, etc.

Le mot banque apparaît dans la langue française au milieu du XVe siècle[1]. Au bas Moyen Âge, l’activité de changeur de monnaie s’était développée face à la prolifération des devises. Les banquiers lombards apportent alors deux innovations fondamentales, à la base de l'essor du capitalisme occidental : le compte à vue, rendu possible par l'invention concomitante de la comptabilité en partie double et la lettre de crédit. Désormais, les marchands peuvent circuler et commercer plus sereinement, sans avoir à transporter des sommes importantes sur les routes encore peu sûres d'Europe. Les premières banques sont familiales, citons les Médicis en Italie, les Fugger en Allemagne qui ouvrent des établissements bancaires dans les grandes villes. Comme le précise Jean Favier, « la banque est née du commerce, de ses besoins comme de ses opportunités »[2].

Le développement du prêt s'ensuit rapidement et les banquiers deviennent les financiers des monarques européens (les Fugger sont banquiers du Saint-Empire, les Médicis ceux du roi de France). Les princes d’Europe ont besoin de financer les conflits incessants qui les opposent. Le dogme chrétien qui considérait l'usure comme un péché, n'est plus respecté. La communauté juive perd le « monopole » du crédit portant intérêts. Même l’Église catholique romaine s’y met et ouvre, en 1462, le Mont de Piété permettant aux miséreux de convertir leurs biens en monnaie sonnante et trébuchante.

Quelques faillites retentissantes, comme celle du système de Law au XVIIIe siècle impose des principes prudentiels essentiels au bon fonctionnement de cette activité fondée sur la confiance. C'est ainsi que les banquiers de la Haute Banque du XIXe siècle sont convaincus que leur force réside dans de solides fonds propres, qui mettent leur clientèle en confiance et leur permettent d’obtenir des dépôts. Ils les accumulent et les investissent dans le développement du commerce et de l’industrie. En période d'expansion, ils réalisent, en cédant leurs investissements, de substantielles plus-values et accrossent encore leurs fonds propres. La perte de confiance des déposants peut survenir et l’impossibilité de liquider raisonnablement les actifs provoque alors la faillite du banquier incapable de restituer les dépôts de ses clients. Jacques Laffitte est ainsi, malgré l’accumulation, dès 1825, de plus de sept millions de francs de fonds propres, menacé de faillite et doit liquider une partie de son patrimoine. Le Crédit Mobilier de France, des frères Pereire, doté d’un capital de 120 millions de francs, et dont le soutien aux projets les plus novateurs de l’époque est incontestable, ne résiste pas à la crise de 1867. Le Crédit Lyonnais faillit de se faire emporter lors de la crise de 1882. Henri Germain, son fondateur, constatant que les fonds propres assurant le ratio de sovabilité ne suffisait pas, invente la banque française moderne en déterminant les « règles d’or » de la liquidité : la disponibilité des actifs de la banque doit correspondre à l’exigibilité de ses dettes : « Il faut désormais, écrivait le siège parisien de cette banque, que nous ayons toujours sous forme d’encaisse, de Londres, de bancable[3], de reports une somme égale à celle de nos dépôts à vue et de nos comptes créanciers ». Ses actifs immédiatement disponibles représentent entre 1884 et 1893 de 88% à 100% des exigibilités au lieu de 34,5 % en 1881[4].

[modifier] Rôle économique

La Dansk Bank, banque danoise à Copenhague (Danemark)
La Dansk Bank, banque danoise à Copenhague (Danemark)

Les banques sont également les organismes qui produisent de la monnaie. Selon l’adage « les crédits font les dépôts » ("loans make deposits"), tout crédit accordé par une banque augmente la masse monétaire en créant un dépôt bancaire (monnaie scripturale) de montant équivalent, et tout crédit remboursé réduit la monnaie en circulation.

Les banques contribuent, de même que le marché financier, à orienter l’argent de ceux qui en ont momentanément trop vers ceux qui en ont besoin et présentent des garanties suffisantes. Elles ont un grand rôle dans la sélection des projets en fonction de leurs perspectives économiques.

Elément clé de l’économie d’un pays, chaque banque est soumise à une supervision assez stricte par une autorité de tutelle, afin de vérifier la solidité de l’établissement financier par rapport aux risques auxquels ses opérations l’exposent au risque de crédit, de marché, au risque pays, au risque de liquidité ou au risque opérationnel.

Etant donné les relations financières qu’entretiennent les banques au sein du système bancaire, la faillite d’une banque peut entraîner par effet de dominos, celles d’autres banques, qui, faute d’avoir été remboursées par la banque défaillante, seraient à leur tour incapables de faire face à leurs engagements. Ce scénario catastrophe pour le système bancaire, aussi appelé risque systémique, entraînerait une contraction immédiate des crédits et une entrée en crise économique du pays faute de financements. Le régulateur oblige donc à respecter certains ratios financiers afin de limiter ce risque. Le plus connu est le ratio d’adéquation des fonds propres le ratio Mac Donought (anciennement ratio Cooke), récemment remis à jour dans le cadre des directives Bâle II, qui oblige les banques à un niveau de fonds propres minimum pour assurer les engagements de la banque. Certains pays organisent un fonds interbancaire de garantie, permettant de rembourser les clients de la banque.

[modifier] Types de banques

[modifier] Par métier

L’ensemble des banques, chapeauté par la banque centrale, forme le secteur bancaire d’une zone monétaire. On distingue ainsi différents types de banques selon leur rôle.

Une banque centrale, comme la Réserve fédérale des États-Unis, la Banque du Canada, ou la Banque centrale européenne, a pour rôle de réglementer et superviser les opérations des différentes banques, de veiller à leur solvabilité à l'égard des déposants, de superviser la production de monnaie par ces banques, et d’en réguler l’usage par le biais du taux directeur. La théorie économique y voit un moyen de réguler la croissance, via l’incitation à l’épargne ou à la consommation, et d’agir sur l’inflation.

Les banques de dépôt (en anglais : commercial banks) travaillent essentiellement avec leurs clients, particuliers, professionnels et entreprises, reçoivent des dépôts, accordent des prêts et sont traditionnellement séparées entre la banque de détail (en anglais, retail banking) destinée aux particuliers, aux professionnels et aux petites et moyennes entreprises, ou la banque d'affaires (en anglais, wholesale banking) destinées aux moyennes et grandes entreprises. La banque d'investissement (en anglais, investment banking) est active sur les marchés financiers, se chargeant des opérations financières comme les émissions d'emprunts obligataires, les souscriptions d'actions, l'introductions en bourse, les fusions-acquisitions, etc.

De plus en plus, les banques de détail et d’investissement sont de simples filiales de groupes diversifiés qui intègrent parfois l'assurance, la gestion de fonds de placement ou d’autres activités financières. Fréquemment, ceux-ci rattachent à la filiale banque d’investissement les activités de banque d'affaires.

Aux États-Unis, le Banking Act de 1933, plus connu sous le nom de Glass-Steagall Act, a imposé une stricte séparation entre les activités de banque de détail, qui reçoit les dépôts et qui effectue des prêts et de banque d'investissement, qui réalise des opérations sur titres et valeurs mobilières. Adoptée à l’apogée de la crise de 1929, cette loi visait à interdire la répétition de ce qui, à l’époque, était perçu dans l’opinion comme l’une des causes de la bulle boursière et la spéculation sur les actions par les banques de détail. Battu en brèche depuis la dérèglementation des marchés financiers américains le 1er mai 1975, le Glass-Steagal Act est tombé progressivement en désuétude et a fini par disparaître à l’automne 1999 pour permettre la constitution aux États-Unis de grandes banques universelles, comme Citigroup.

Il existe des banques spécialisées dans un segment d’activité spécifique, souvent issues d’une ancienne règlementation ou, en France, de la distribution dans le passé de certains prêts bonifiés :

  • banques spécialistes du crédit à la consommation,
  • ou au contraire, banque spécialisées dans la gestion de fortune,
  • banques spécialisées dans le crédit immobilier,
  • banques spécialisées dans le crédit-bail aux entreprises,
  • banques spécialisées dans le financement d’une activité économique particulière (agriculture, cafés-restaurants, commerce de l’art, pétrole, etc.).

[modifier] Par type d'actionnariat

On distingue aussi les banques en fonction de leur actionnariat.

  • Une banque mutualiste est contrôlée par ses sociétaires qui détiennent des parts et qui sont souvent ses clients. C’est un régime qui provient de l’esprit coopératif initié notamment par le milieu agricole (voir coopérative, mutualité et Caisse d'épargne). Les banques mutualistes peuvent être cotées en bourse, dans ce cas il s'agit d'un holding qui est créé ad hoc. C’est le cas en France du Crédit agricole, dont le holding Crédit Agricole SA est côté. Une banque mutualiste peut aussi détenir des filiales côtées, par exemple LCL (anciennement Crédit Lyonnais) dans le cas du Crédit Agricole.
  • Les banques commerciales sont des sociétés dont le capital est détenu par des actionnaires et sont généralement cotées en Bourse
  • Une banque peut être propriété de l'État. En Allemagne, les Landesbanks ont pour actionnaire principal un Land.


Dans chaque pays, il existe un ou plusieurs organismes professionnels qui représentent les banques, parfois selon leur type. La Fédération bancaire française est l’organisation professionnelle qui représente toutes les banques installées en France : commerciales, coopératives ou mutualistes, françaises ou étrangères.

[modifier] Autorités de régulation

En dehors des banques centrales déjà citées plus haut, les établissements financiers sont soumis à l'autorité de différents organismes de tutelle et de régulation, selon les pays et les réglementations. L'Union européenne a mis en place le CESR, Committee of European Securities Regulators et le CEBS Comittee of European Banking Supervisors.

En France, l'Autorité des marchés financiers (AMF) regroupe l'ancienne Commission des opérations de bourse et le Conseil des marchés financiers. L'AMF représente la France au sein du CESR de l'Union européenne. Le Comité des établissements de crédit et des entreprises d'investissement (CECEI) dépend de la Banque de France et est chargé de délivrer les agréments aux nouveaux établissements. La réglementation bancaire et financière est quant à elle placée sous la responsabilité de la Banque de France après avoir été dévolue au Comité de la Réglementation Bancaire et Financière.

Aux États-Unis, la Securities and Exchange Commission (SEC) est l'équivalent de l'AMF française.

Au niveau international, l'Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV ou IOSCO, selon l'acronyme de son nom anglais, International Organization of Securities Commissions) regroupe les autorités de marché (l'AMF pour la France, la SEC pour les États-Unis…). La Banque des règlements internationaux (BRI ou BIS, selon l'acronyme de son nom anglais Bank for International Settlements) est « la banque centrale des banques centrales » et est à l'origine des accords de Bâle.

Les associations de défense des consommateurs peuvent apporter leur soutien aux clients des banques pour les aider à faire valoir leurs droits, par exemple en cas de découvert sans avertissement et de non-respect des procédures (comme la loi Scrivener en France). Elles peuvent notamment préparer la défense des consommateurs devant les tribunaux d'instance et assigner une banque devant ces mêmes tribunaux. Les principales associations de défense des consommateurs face aux banques sont l'Association française des usagers de la banque (AFUB)[5] ou l'Association contre les abus des banques européennes (ACABE)[6].

[modifier] Modèle économique et métiers

Le produit net bancaire des banques est la différence entre le chiffre d’affaires et les charges. Il provient :

  • des charges financières (les agios) sur les opérations
  • des commissions sur les services financiers (cartes bancaires, etc.)
  • des intérêts perçus en plaçant et prêtant l’argent déposé par leurs clients
  • de la création monétaire : les banques commerciales sont autorisées à prêter environ dix fois ce que leurs clients déposent auprès d'elle
  • des activités de banque d'investissement
  • des frais liés aux activités de gestion d'actifs

[modifier] Financement

Les banques permettent aux particuliers de financer leurs projets en leur octroyant des prêts, soit immobiliers soit à la consommation. Cette distinction dépend à la fois de l’objet (du bien financé), du montant et de la durée.

Dans divers pays dont la France, la loi protège le consommateur (loi Scrivener) en obligeant par exemple la banque à faire figurer des mentions légales (le TEG, le coût global du crédit, l’assurance…), en lui laissant un délai de rétractation, ou en fixant un plafond d’endettement bloquant tout recours supplémentaire au crédit, et qu’il est de la responsabilité de la banque de vérifier avant tout accord de prêt.

Il convient de distinguer 2 types de prêts : les prêts affectés et les prêts non affectés. Les prêts affectés sont des financements pour lesquels la destination de l'argent est connu (exemple : crédit immobilier, crédit auto...) à la différence des prêts non affectés pour lesquels l'emprunteur peut disposer de l'argent comme il le voudra. Le métier de prêteur étant essentiellement un métier de maitrise du risque, le prêteur trouvera toujours un risque moindre en octroyant un crédit affecté plutôt qu'en octroyant un crédit non affecté... (Exemple : avec un crédit non affecté, vous demeurez libre d'aller jouer au casino la somme empruntée...)

Dans d’autres cas, le but du prêt n’est pas directement de financer un objet mais plutôt des besoins de trésorerie. Le prêt prend alors trop souvent la forme d’un crédit revolving... alors qu'un prêt personnel pourrait largement suffire !

D'autant que le développement du marché des crédits pousse les établissements à montrer le créditrevolving comme une solution pratique et astucieuse pour régler un problème passager... ce qui est une hérésie bancaire.

Voir aussi Types de crédits bancaires.

[modifier] Dépôts et épargne

Les clients peuvent déposer (momentanément) ou placer (pour une certaine durée) leurs liquidités et économies sur différents comptes bancaires et plans d'épargne, notamment :

  • le compte courant traditionnellement appelé « compte chèques », qui sert de pivot aux mouvements de fonds du client,
  • le livret épargne, encore nommé compte d'épargne ou encore livret bancaire, permet d'avoir un capital rémunéré, selon un taux annuel fixé par la banque auprès de laquelle le livret est ouvert, ou bien directement par l'État,
  • le compte rémunéré une variante du compte courant bénéficiant de versement d’intérêts calculés sur les soldes hebdomadaires ou mensuels,
  • une variété de comptes et plans d’épargne, qui peuvent bénéficier d’avantages fiscaux sous certaines conditions, par exemple s'ils sont dédiés à la retraite, à l’accession au logement,
  • des comptes-titres permettant d’effectuer les opérations de bourse, et réceptacles également des fonds d’investissement,
  • des formules d’assurance-vie dont certaines permettant la capitalisation au même titre qu’un plan d’épargne.

Pour le détail voir compte courant et types de dépôts bancaires.

[modifier] Moyens de paiement

La banque délivre des moyens de paiement à ses clients (et par ailleurs encaisse ceux reçus par ses clients) :

  • versements et retraits d’espèces à ses guichets
  • délivrance de carnets de chèques
  • cartes de paiement
  • devises étrangères
  • titres de voyage, échangeables gratuitement auprès d’un choix étendu de banques internationales, émis en monnaie nationale ou en devises, et bénéficiant d'une assurance sur le titre.
  • elle peut aussi effectuer et recevoir des virements isolés ou périodiques entre comptes du même titulaire ou d’autres tiers (par ex. : domiciliation de salaire, paiement de factures d’électricité, abonnements divers…), au moyen d'un relevé d'identité bancaire comportant l’identification de la banque, du compte et les noms et adresses de son titulaire, au plan national (numéros RIB, RIP…) ou international (numéro IBAN en Europe).
  • paiements et transferts de comptes en ligne (Internet, téléphone…) au moyen de codes d'accès

[modifier] Services divers

Elle offre enfin des services divers comme l’accès à des coffres, la souscription et la conservation de titres, le passage d’ordres de bourse, etc.

Elle commercialise aussi des contrats d’assurance, les deux métiers étant de plus en plus proches : c’est la bancassurance.

[modifier] Services aux entreprises

Beaucoup de services offerts aux entreprises sont similaires à ceux offerts aux particuliers, tels que les financements et les services de paiement et de placement mais avec des différences de montants, de nombre d’opérations et de complexité (opérations internationales ou engineering financier par exemple). Voir à ce sujet banque d’entreprise.

[modifier] Banquiers célèbres

[modifier] Les banques en France

En France, en 2001, il existait 1 068 établissements de crédit[7]. La moitié des établissements de crédit sont des banques[8]. Ils représentent :

  • 25,7 milliards d'euros de bénéfices nets en 2005[9] ;
  • des dépenses informatiques équivalentes en volume au reste de l’industrie française[réf. souhaitée] ;
  • 2,5% de la population active (420 000 postes directs et 200 000 indirects), soit le 3e employeur privé en France [10];
  • premier embaucheur de France avec 20 000 nouveaux contrats signés chaque année[réf. souhaitée].

[modifier] Notes et références

  1. Alain Rey (dir), Dictionnaire historique de la langue française, Dictionnaires Le Robert, 1998, p. 320.
  2. Jean Favier, De l'Or et des épices : naissance de l'homme d'affaires au Moyen âge, Fayard, Hachette Littératures, coll. Pluriel Histoire, 1987, p. 289.
  3. les créances commerciales escomptables sur la place de Londres ou auprès de la Banque de France
  4. H. BONIN, La banque et les banquiers en France, Larousse 1992, ISBN 2-03-720220-2
  5. L'Association Française des Usagers de la Banque (AFUB)
  6. L'Association contre les Abus des Banques Europeennes (ACABE)
  7. cf. « Le système bancaire français », site de l'Ambassade de France aux États-Unis d'Amérique
  8. « Qu’est-ce qu’une banque ? », Institut de recherches et prospective postales
  9. « Les chiffres du secteur bancaire », Fédération bancaire française
  10. « Les chiffres du secteur bancaire », Fédération bancaire française

[modifier] Voir aussi

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[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes