Évidence
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L'évidence désigne l'acte par lequel l'esprit saisit de manière indubitable une vérité.
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[modifier] Histoire du concept d'évidence
Le concept d'évidence a commencé à devenir important surtout depuis le début du XVIIe siècle, Descartes étant le premier grand philosophe qui s'est intéressé à ce concept.
[modifier] Descartes
Descartes comprend l'évidence d'une manière très particulière car il définit l'évidence comme une idée claire et distincte entendant par là une intuition qui saisit nettement son objet sans le confondre avec d'autres objets.
[modifier] Kant
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ![modifier] Husserl
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ![modifier] Les différentes formes d'évidences
[modifier] Évidence terminale
On appelle évidence terminale une évidence qui intervient à la fin d'un processus : le doute. C'est en fait une idée qui a résisté au doute. Contrairement à l'évidence immédiate qui peut être ce dont on ne peut pas douter parce que l'on ne le veut pas, l'évidence terminale est ce dont je ne peux pas douter car je ne le peux plus : on sait qu'on est arrivé à une évidence terminale quand la volonté de douter bute sur ce qui résiste, qui est indubitable (mais seulement si elle est le résultat d'un doute).
[modifier] Évidence immédiate
On appelle évidence immédiate quelque chose qui nous paraît évident dans un premier temps, va de soi, ce que l'on est spontanément porté à tenir pour vrai. Dans le langage courant, elle équivaut à l'expression "ça crève les yeux".
[modifier] Voir aussi
- Évidentialité (linguistique)
