Discuter:Vallée de l'Ubaye

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Sommaire

[modifier] Finalisation de l'article

  • Je crois que je suis allé au bout de ce que je peux faire avec mes connaissances, mes livres et les recherches internet. Je fais docn appel à tous ceux qui passerait par ici et qui serais originaire de cette vallée, où la conaitrai très bien, pour finaliser l'article. Il reste notament la partie géologie à créér entièrement. Il faudrait aussi dévelloper les parties climats, gastronomie, démographie. De plus il serait bon de trouver suffisament d'info pour etoffer la partie Histoire pour ensuiter créer une sous-article détaillé, et de trouver des infos sur les traditions populaires.
  • Pour les articles connexes, en vrac les articles massif des Séolanes, Fortifications en Ubaye (même si un article fort de Tournoux existe déjà mais ça ne suffit pas), immigration ubayenne au Mexique et en Louisianne seraient à créer. Pour ce dernier, on en parle deja un peu dans l'article Frères Arnaud, mais il manque encore des infos. Pour tout cela je n'ai pas les conaissances nécessaires. Certains articles comme Barcelonnette, massif de Chambeyron, massif du Parpaillon seraient à etoffer et develloper. Cliquez en bas de l'article sur la catégorie "Vallée de l'Ubaye", qui rassemble une cinquantaine d'article concernant de près ou de loin la vallée de l'Ubaye.
  • J'espère que d'autres wikipédiens viendront m'aider dans ces tâches ^^ Pour ma part, partant dans cette vallée la semaine prochaine, j'essayerait des collecter infos et photos pertinente pour enrichir l'artciel mais aussi la catégorie "vallée de l'ubaye"...

PS : je vais remettre le bandeau ébauche...

Sobek 8 juillet 2006 à 18:27 (CEST)








bonjours à tous. J'aimerai savoir pourquoi les images disparaissent régulièremennt, alors qu'elles ont été chargé sur wikimedia commons...

[modifier] Lac d'allos en Ubaye?

Bonjour,

Il me semble que le lac d'Allos donne sur le Verdon. Il n'est donc pas dans la vallée de l'Ubaye.

Quelqu'un peut confirmer?

François

[modifier] Réponse à François

géographiquement, tu a raison. Mais dans la Vallée, on considère souvent qu'il fait un peu partit des lacs de la vallée, car étant proche (proche du lac de la Petite Cayolle par exemple). Ceci dis, si on veut être vraiment rigoureux, on peu le supprimer de l'article, mais ce n'est pas vraiment faux de le laisser.

PS : personne n'a d'info sur les images qui disparaissent toute seule ?

[modifier] Réponse à ??

Bonjour,

Je persiste à penser que la mention du Lac d'Allos faisant partie de la vallée de l'Ubaye est une erreur. Ce lac se trouve sur le territoire de la commune d'Allos, située dans le basin hydrographique du Verdon. Bien que le Lac d'Allos n'est pas d'éxutoire, une résurgence situé à 2200 m d'altitude et au Nord-Ouest de Notre-Dame des Monts est la source du torrent La Serpentine, qui rejoint le torrent du Chadoulin (1970 m) et se jette dans le Verdon au niveau du village d'Allos (1390 m d'altitude).

Les Valéians se sont peut-être "approprié" ce Lac, mais je peux vous confirmer que, côté Verdon, personne ne penserait à le situer ailleurs que dans la vallée du Verdon!

Je pense donc qu'il serait mieux de supprimer les références (texte et photo) à ce Lac dans l'article sur la vallée de l'Ubaye.


--François 17 mars 2007 à 08:27 (CET)

[modifier] modifications de 86.200.11.69 sur article massif de l'Ubaye

Je colle ici un commentaire ajouté à l'article massif de l'Ubaye à titre d'information. Celui-ci est soupçonné de copyvio et n'est pas du tout wikifié, mais il peut servir à enrichir l'article vallée de l'Ubaye à laquelle il se réfère davantage.

Ubaye, portrait abrégé L’Ubaye, à mi-chemin entre Grenoble et Nice, Marseille et Turin, est un affluent exclusivement montagnard de la Durance. Longue de soixante-dix kilomètres, elle arrose un bassin versant de plus de cinq cents kilomètres carrés, niché à la pointe nord des Alpes-de-Haute-Provence, dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il est d’usage de nommer « Ubaye » l’ensemble du territoire comprenant la rivière Ubaye, ses affluents et tous les versants qui les bordent. On la nomme aussi Vallée de Barcelonnette, sa petite capitale. La vallée est environnée de célèbres voisins: au sud les sources du Verdon, du Var et de la Tinée, dévalant les pentes du Parc national du Mercantour vers l’arrière-pays niçois et la haute Provence ; à l’est le Piémont italien, à la fois sauvage et proche des métropoles de la plaine du Pô ; au nord le Queyras et le massif des Écrins ; à l’ouest enfin, notre cours d’eau rejoint la retenue de Serre-Ponçon, le plus vaste lac artificiel d’Europe. Cette vallée très encaissée est cernée de toutes part par des sommets dépassant trois mille mètres d’altitude. Sa morphologie accidentée en fait un espace enclavé, à l’écart des grands axes routiers, au plus grand bonheur des visiteurs à la recherche d’espaces sauvages. À l’exception de la route venant de l’ouest et suivant le cours de l’Ubaye, il n’y a pas d’autre issue que les cols, dont les plus élevés sont fermés plus de six mois par an par la neige. Du fait de son altitude moyenne élevée et de sa proximité avec la Provence, l’Ubaye est le siège d’un conflit entre le climat méditerranéen et le climat de montagne. Il en résulte une importante durée d’insolation (les trois cents jours de soleil par an ne sont pas une légende), mais aussi des hivers longs et rigoureux : cent quatre-vingt-dix jours de gelée par an à Barcelonnette. Il n’est pas exceptionnel de relever des températures inférieures à - 20 °C entre Barcelonnette et Uvernet, en décembre et janvier. La neige, tombant moins abondamment que dans les Alpes du Nord, est cependant mieux conservée par la froidure des nuits claires du climat des Alpes Internes, et a permis le développement de toutes les activités liées aux sports d’hiver : les villages de Pra-Loup, Le Sauze-Super Sauze, Sainte-Anne, Saint-Paul et Larche en attestent. En été, le soleil généreux permet de réaliser de nombreuses randonnées en moyenne et haute montagne. La partie nord de l’Ubaye est formée de hauts massifs, propices à la pratique de l’alpinisme ou la randonnée, tel le massif de Chambeyron, point culminant du département des Alpes-de-Haute-Provence à 3 411 mètres. La rudesse de cette vallée n’ a pas empêché les hommes de l’occuper depuis plus de deux mille ans. Le paysan de l’Ubaye, éleveur de moutons avant tout, a construit son habitat de façon très dispersée. Soumis aux exigences du terrain et de son travail, il a éparpillé une multitude de hameaux et de fermes isolées, à l’architecture variée car parfaitement adaptée. La plupart, aujourd’hui laissés à l’abandon, sont en ruines ou ont disparu. Ces conditions de vie provoquèrent d’autre part, jusqu’au xixe siècle, un phénomène d’expatriation hivernale particulier aux vallées alpines ; les montagnards paysans consacraient le temps libre que les rigueurs de l’hiver imposaient à colporter des tissus à l’extérieur de la vallée. D’un haut niveau d’instruction, les colporteurs valléians confortèrent cette tradition de voyage mercantile. C’est ainsi qu’à partir des années 1820, plusieurs centaines d’enfants du pays sont partis pour les terres lointaines du Mexique, pays neuf demandeur de savoir-faire et de main-d’œuvre. Quelques familles y fondèrent de véritables empires financiers, et, une fois fortune faite, marquèrent leur pays natal, notamment Barcelonnette et Jausiers, de plusieurs dizaines de maisons de caractère qu’ils firent construire à la jonction des xixe et xxe siècles. Ce sont ces grandes villas qui siègent au milieu de parcs entourant le centre-ville, donnant à la capitale de la vallée un cachet très particulier. Aujourd’hui, l’activité économique et sociale du pays est presque entièrement dépendante du tourisme. Plus que jamais, les “valéians” savent que leur qualité de vie dépend de la qualité de l’accueil qu’ils réservent à leurs visiteurs...

Salutations. Gemini1980 24 février 2007 à 15:56 (CET)