Discuter:Triche

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cela peut être un vaste dossier à mettre en forme qui pourrait être amha abordé sous l'angle plutôt humoristique. essayer d'évoquer les nuances triche/ruse (guerre, politique...) sport/politique (nageuses est allemandes)... ajouter des exemples littéraires et des anecdotes.

Utilisateur:Fhtrufhd


http://fr.answers.com/topic/tricher-1 http://www.sensagent.com/dictionaries/fr-fr/0074007200690063006800650072/n/

tricher(v.) 1.enfreindre des règles pour parvenir à un résultat. 2.dissimuler, agir avec mauvaise foi.

synonymes copier, dissimuler, filer, filouter, frauder, gonfler, maquiller, piper, resquiller, souffler, tromper, truander, truquer

enfreindre des règles pour parvenir à un résultat[Classe] jouer à un jeu

décevoir, tromper

triche, tricherie • escroc • trompeur, trompeuse[Dérivé]

Littré

TRICHER(v. a.) 1. Tromper au jeu. Il m'a triché.

• J'eus toutes les peines du monde à lui faire apercevoir que je le trichais (J. J. ROUSS. Ém. III)

Fig.

• À tout jeu le sort nous triche (BÉRANG. On s'en fiche.)

2. V. n. Tromper au jeu.

• Jeunes oisons et bégueules titrées, Lorgnant des sots et trichant au piquet (VOLT. Épît. 35)

• Tricher au jeu sans gagner est d'un sot (VOLT. Satires, Hypocr.)

• À une époque où les femmes de la cour avaient l'habitude et la fureur de tricher (CARMONTELLE Prov. t. IV, p. XLI, dans POUGENS)

Fig.

• Représentez-vous, s'il vous plaît (et que votre modestie ne triche point), les grâces dont je vous suis redevable (BOURSAULT Lett. nouv. t. II, p. 119, dans POUGENS)

• La fortune et les dieux trichent comme de grands coquins (GALIANI Corresp. t. I, p. 78)

3. Fig. Tromper, soit en de petites choses, soit par des voies basses et misérables.

• Le nôtre [gouverneur] est devenu trop riche ; On ne peut tant gagner, à moins que l'on ne triche (BOURSAULT Fabl. d'Ésope, II, 5)

Par antiphrase.

• J'ai reçu avec la vôtre du 9, la petite caisse et le café sur lequel vous m'avez bien triché, puisque la quantité en est bien plus forte que celle en échange de laquelle j'envoyais les pommes (J. J. ROUSS. Ém. II)

4. Terme d'arts et métiers. Dissimuler un défaut de symétrie, de régularité.

HISTORIQUE

XIIe s.— Mult sunt faus li prelat.... Quant trechent lur Signur, poi te serunt feeil [fidèles] (Th. le mart. 29)— Car vers vus nus volt faire parjurer e trichier (ib. 43)

XIIIe s.— Pechiés seroit, se tu trichoies, Qu'il m'est avis que loial soies (la Rose, 1987)— Et maistre Pierre li Lombars, Qui Paris triche par ses ars (Bataille des sept arts)— Cinquante anz [elle] a en s'escuele, S'est maigre et seche ; N'ai pas paor qu'ele me treche (RUTEB. 6)— Si doit perir qui s'amor triche ; Qui dame trice u qui li ment, Tros qu'elle l'aime loiaument, Cil soit par tot le mont treciés [poursuivi] (Partonop. v. 5473)

XVIe s.— C'est Charles V, dit Charles d'Autriche, que les anciens François de son temps brocardans appelloient Charles qui triche, faisant allusion sur Austriche qui triche, autant à dire qui trompe (BRANT Capit. estr. t. I, p. 1)

ÉTYMOLOGIE

Provenç. trichar, tricher, tric, tromperie ; ital. treccare. Diez rejette le lat. tricari, chercher des détours, parce que l'i long latin n'aurait pas donné un e (trecher, treccare) ; suivant lui, le mot est germanique : néerlandais, trek, action de tirer et tour qu'on joue.

Mais alors, inversement, d'où viendrait l'i en français et en provençal ? Le français, qui a trecher et tricher, fait la transition, et il faut adopter tricari.

http://www.metagames-eu.com/forums/discussion-generale/t-devoir-de-ecjs-75919/page4.html

La « triche », un sport national en France ?: Réalités, causes et remèdes



I) Introduction


Tricher (du latin tricarre, soulever des difficultés). Tricher, c'est enfreindre les règles d'un jeu en vue de gagner; c'est enfreindre une règle, un usage en affectant de les respecter; c'est se conduire avec mauvaise foi, trahir ce que l'on affecte de servir, de respecter; c'est dissimuler un manque, un défaut dans la confection d'un ouvrage matériel. La France et les français sont réputés pour être des tricheurs.Mais est-ce vrais, et si c’est le cas pourquoi, et comment ? D’abord nous parlerons de la triche à l’école, dans le sport, et avec l’Etat.Puis nous aborderont les question comme « Ou mène la triche ? Qu’est ce que ça apporte ?et Quels sont les risque ? »Et pour finir nous conclurons disant si les Français trichent-ils plus que les autres.

II) La triche à l'école

Tricher à l’école, est-il le fait d'atteindre un but recherché en usant de moyens malhonnêtes ? Si l’on triche à l’école c’est sûrement pour obtenir de meilleurs résultats Quand on consulte le site du ministère de l'Education nationale, à la rubrique Bulletin Officiel, et qu'on entre les mots clés "interdiction d'examen", on est très étonnés de la longueur de la liste des noms et des procédures qui ont amené les instances disciplinaires à prendre la décision suivante: " l'interdiction de subir tout examen conduisant à l'obtention du baccalauréat… pour une durée de deux ans, dont un an avec sursis". Ce sont les adolescents, semble-t-il, qui sont amenés à tricher. En effet, cette réalité concerne peu les enfants du primaire. Ceux-ci peuvent être tentés de regarder la copie du voisin mais préméditer l'acte, par la préparation d'une anti-sèche, par exemple, leur est étrange La triche dans de grands établissements parisiens va encore plus loin. Ces établissements qui comptent dans leur mur des classes préparatoires aux Grandes Ecoles, où la concurrence est rude pour obtenir le droit de les intégrer: il semblerait qu'on y vende les contrôles donnés l'année précédente par tel ou tel professeur. La question de "la triche à l'école" amène à poser une question essentielle: celle, non seulement du contenu de l'enseignement, mais aussi celle des méthodes d'enseignement. Quand un contrôle se résume à restituer des définitions, inculquées pendant un cours, qui peuvent tenir sur un petit bout de papier, on peut se demander s’il est nécessaire d’apprendre ces définitions sachant qu’il y ait de grandes chances que l’élève ne s’en souvienne plus après quelques temps, car il ne les aura sûrement plus utilisées. L'école est-elle un lieu hautement culturel permettant l'épanouissement des enfants et des adolescents? L'aveuglement de certains enseignants lors des contrôles rejoint leur volonté de ne pas se poser des questions sur ce qu'ils font en classe. Quand on "balance" aux élèves une liste fournie de formules mathématiques, on les incite de manière évidente à tricher. Ce qui est vrai pour les mathématiques, est valable pour toutes les autres matières. Quel adulte, normale, supporterait de rester sept heures par jour, à écouter un professeur de maths, d'anglais, d'espagnol, de latin, de français, d'histoire… parler de choses "essentielles". On comprend aisément que certains ne réussissent pas leurs études, ou que certains trichent… Aujourd’hui, la France semble être un des pays où il y a le plus de triche aux examens : en 2002, 64% des étudiant interrogés avouent avoir déjà triché a un examen ou à un contrôle et 22% ont souvent trichés.

(+ voir interview --> Pierre Ledoux)


III) La triche dans le sport

Depuis que le sport a été inventé, la tentative (et tentation) de mieux faire a toujours hanté les sportifs, et passionné les spectateurs et téléspectateurs. De plus, la nature même de l'homme, et le pouvoir de l'argent, on comprend très vite ce qui peut se passer dans la tête de plus d'une personne... Certaines personnes pensent quelle que soit la compétition à laquelle on assiste, on a plus de 90% de chances (ou de risques) de regarder un spectacle truqué, de par tous les artifices que l'on peut imaginer.

A/Le dopage Le dopage est l’une des méthodes de triche les plus répandues dans le milieu du sport.

On a par exemple l'affaire Festina, une équipe française du tour de France.L'affaire Festina est une affaire de dopage qui a touché le cyclisme professionnel en 1998. Cette affaire démarre peu avant le tour de France 1998 .Un soigneur de l'équipe Festina, se fait contrôler par la douane française au niveau de la frontière franco belge, en juillet 1998. Il conduisait une voiture mise à disposition de l'équipe Festina, par la société du Tour de France. Les douanes découvrent dans ce véhicule de grandes quantités de produits dopants : hormones de croissance, ou encore des doses de produits dopants et stupéfiants. Devant tant de preuves, Willy Voet passe aux aveux. Il dénonce un dopage organisé et médicalisé au sein de cette équipe. Le directeur sportif de Festina, Bruno Roussel, avoue lui aussi l'existence de ces pratiques. Les accusations de Willy Voet et Bruno Roussel dénoncent très vite des coureurs comme Richard Virenque, Laurent Brochard et Alex Zülle, tous deux français comme le reste de l’équipe. Mais d'autres coureurs, de cette même équipe, sont également impliqués. Suite à ces révélations, la direction du Tour de France met hors course l'équipe Festina le 18 juillet 1998

Ou encore plus récemment, toujours dans le monde du cyclisme et au Tour de France, et encore une équipe française : l’affaire Cofidis. L'affaire Cofidis est une affaire de dopage qui a touché le cyclisme professionnel en 2004. Cette affaire démarre avec un coup de filet de la brigade des stupéfiants. Un ancien coureur de l'équipe, Marek Rutkiewicz, se trouvait en possession de d'ampoules d'hormones de croissance. En novembre 2006, les coureurs ou anciens coureurs de cette équipe comparaissent devant le tribunal de Nanterre. Oleg Kozlitine, directeur sportif d'une formation de troisième division, Boguslaw Madejak, soigneur, Pierre Ben Yamin, pharmacien parisien du XVIe arrondissement, sont également renvoyés devant le tribunal. Le verdict a été renvoyé à janvier 2007.

B/La corruption La corruption est elle aussi considérée comme une triche.On a par exemple l’exemple du match Metz-Lyon en octobre 2005, deux équipes françaises. Le 22 octobre 2005, Lyon gagne contre Metz 4 à 0.Il y a des rumeurs comme quoi de mystérieux coups de téléphone auraient été reçus par un joueur (qui a démenti) et par un agent de plusieurs joueurs du club lorrain. Coups de fil visiblement passés depuis la Belgique par des parieurs en ligne apparemment désireux d'influer sur le cours du match en proposant une forte somme d'argent (200 000 euros). Face au refus de l'agent en question de demander à "ses" joueurs de lever le pied, le mystérieux correspondant aurait indiqué vouloir contacter en direct plusieurs Messins. Cela a-t-il été réellement fait ? Et si oui, cette tentative de corruption a-t-elle pu avoir un effet ? Du côté de Metz, aucun joueur n'a affirmé un quelconque contact avec un corrupteur et Joël Muller, l'entraîneur, après avoir revisionné le match, affirme n'avoir rien remarqué d'anormal. Ce qui est anormal en revanche, ce sont les paris très élevés enregistrés par plusieurs bookmakers sur Internet. De plus, ce n’est pas l’un des premiers matchs truqués de Lyon… C/La France triche-t-elle plus qu’un autre pays dans le domaine sportif ? Il semblerait qu’en général la France ne triche pas beaucoup plus que les autres pays dans le domaine sportif.A peu prés dans tous les pays on retrouve le dopage, la corruption et le truquage, que ça soit dans le foot ou dans un autre sport.

IV) La triche avec l’Etat

Aujourd’hui, concernant la triche avec l’Etat, la France n’a pas une très bonne réputation, c’est même un de ses points noirs. En particulier la triche avec l’administration fiscale (aussi appelée plus familièrement le fisc). Les Français sont réputés pour payer le moins possible d’impôts ou pas du tout. Aussi près d’un Français sur cinq avoue ainsi avoir travaillé au noir ou voyagé sans billet dans le train, le bus ou le métro ; 11% reconnaissent s’être déjà exemptés de redevance télé et 7% d’avoir fraudé le fisc.Certains de nos concitoyens essayent aussi de tricher avec la Sécurité Sociale. En effet le trou de la "Sécurité Sociale" est en partie dû aux gens qui touchent des prestations sociales auxquelles ils ne devraient pas avoir droit. D’autres touchent le chômage, alors qu’ils travaillent en même temps.


VI) Où mène la triche? Qu’est ce que ça apporte? Quels sont les risques?

A courts termes la triche n’est pas très grave, mais à long terme elle peut devenir dangereuse pour certains cas et même devenir une dépendance pour certaines personnes.Cela peut commencer lorsque quelqu’un va tricher, car il se dit qu’il n’a pas le choix. Puis ils va comprendre que tricher est un moyen rapide d’arriver à ses fins, et il va donc recommencer.Mais au final la triche fait toujours prendre des risques, car le fait de tricher, c’est de violer les règles (ou les lois) imposées, et le plus souvent la violation des règles, est suivie d’une sanction.La sanction est le plus souvent donnée par un tribunal lorsqu’une loi a été violée. Certaines personnes vont en prison pour avoir triché. A long terme elle peut aussi entraîner une baisse du niveau intellectuel d’une population si une bonne partie de la population, ou toute la population se met à tricher. Au niveau sportif, une personne qui se dope trop souvent, va entraîner des complications vis-à-vis de son corps, devenant même une drogue avec certaines substances. La triche peut apporter fortune ou gloire, alors que la personne qui a triché ne mérite ni l’un ni l’autre.C’est donc un moyen d’arriver à ses fins, mais un moyen loin d’être honorable. Au final les risques sont divers.Il peut y avoir un risque de baisse intellectuel, un risque pour la santé, et même un risque de sanction.Au niveau des sanctions, cela peut même aller jusqu’à plusieurs années de prison ferme.


VII) Conclusion

Les français trichent-ils plus que les autres? Il semblerait que dans certains domaines, les français trichent plus que les autres mais pas tous.Par exemple en sport tous les pays ayant les moyens trichent plus ou moins, alors que du côté de l’Etat, il est vrais que les français trichent plus que les autres avec les impôts par exemple.Mais cette triche avec l’Etat amène une autre question.Pourquoi les français trichent-ils plus que les autres avec l’Etat.Etant donné que la France est un des pays ou il y a le plus de taxes et d’impôts, nous pouvons émettre l’hypothèse que les français trichent pour combler l’argent qu’ils croient perdre en payant toutes ces taxes et ces impôts.Ainsi dans certain cas la triche est-elle justifiée ? Oui et non.Oui parce que toute les taxes et les impôts que l’on paye vont en général à ce qu’on appel la « Solidarité National », c'est-à-dire par exemple la Sécurité Sociale, les retraites, la construction des route, l’aide aux pauvres, ou encore le salaire des enseignants du publique, car l’école est gratuite, donc il faut bien que les enseignant soient payés.Ainsi toutes ces taxes et impôts vont être plus ou moins acceptée par les différentes classes sociales.Pour les plus pauvres elles rendent beaucoup service, c’est donc un avantage car ça serait encore plus dur pour eux de payer l’école, les médicament,etc… Mais pour les classes les plus aisées ça peut être un inconvénient.Car elles auraient les moyens de payer eux même les médicaments ou l’école par exemple. Au final, même dans certains cas la triche n’est pas justifiée, car comme dans l’exemple, la Sécurité Nationale par exemple rend service à tout le monde, et elle permet d’aider les plus pauvres.Mais il semblerait que la triche est quand même en hausse, car les générations d’aujourd’hui attache de moins en moins d’importance aux règles.Certains jeune se disent « prés à tout » pour arriver à leurs fins, même ne pas respecter les règles imposées.

Michel BUZE 15 février 2007 à 15:40 (CET)

http://www.er.uqam.ca/nobel/r30034/aide.html

Éthique du travail intellectuel étudiant  :

Quelques conseils :

  • L'affirmation par l'enseignant, en début de session, qu'il ne tolérera pas la fraude et l'inclusion dans son plan de cours, comme cela se fait dans beaucoup d'universités, d'une référence claire au code de déontologie étudiante et aux conséquences des violations de ces normes.
  • La création de versions différentes du questionnaire pour chaque examen
  • L'espacement double des étudiants dans les salles d'examen
  • L'interdiction aux étudiants de
    • Sortir de la salle d'examen
    • Entrer dans la salle avec des notes, des papiers, etc.
  • La création d'une liste de noms d'étudiants soupçonnés de tricherie
  • La surveillance accrue de ces étudiants
    • En les faisant s'asseoir en avant de la classe durant l'examen
    • En créant des examens spéciaux de vérification de leurs connaissances
  • Le refus des enseignants de donner des lettres de recommandation à l'étudiant soupçonné de tricher ou frauder
  • L'emploi de logiciels et d'outils de détection de la fraude comme le fait maintenant l'université McGill, ainsi que le mentionne Marc Thibodeau (Un « radar » pour épingler les tricheurs à McGill, La Presse, Montréal, lundi 3 avril 2000, A-5)

http://www.er.uqam.ca/nobel/r30034/thibod02.html

http://www.web-tricheur.net/ Michel BUZE 15 février 2007 à 19:07 (CET)