Temple solaire égyptien

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Temple solaire.

On ne connaît pas de temple solaire autre que ceux du site d'Abou Ghorab, d'Aïn Chams dans la banlieue du Caire, et ceux du pharaon Akhénaton.

Sommaire

[modifier] Abou Ghorab

Restitution du temple solaire de Niouserrê
Restitution du temple solaire de Niouserrê

Les documents égyptiens font mention de six temples solaires sur le site d'Abou Ghorab datant de la Ve dynastie. Seuls deux sont surement identifiés, celui d'Ouserkaf et celui de Niouserrê qui est le mieux conservé.

[modifier] Aïn Chams

Le quartier d'Aïn Chams (l'Œil du Soleil) a été construit sur les ruines de la cité antique de Héliopolis (la ville du Soleil), nom donné par les Grecs à la ville de Iounou (Jwnw), capitale de Basse-Égypte qui était le centre du culte du dieu-soleil . Un temple solaire qui daterait de Ramsès II y a été découvert sous un marché aux puces.

[modifier] Akhetaton

Akhetaton (l'horizon d'Aton) fut fondée par Akhénaton. Les temples, dédiés au dieu unique Aton, y sont construits à ciel ouvert pour permettre aux rayons du soleil d'y pénétrer.

[modifier] Bibliographie

  • Friedrich von Bissing, Das Re-Heiligtum des Königs Ne-woser-Re (Rahutes) I, II & III, Berlin 1905, 1923 & 1928.
  • Jacques Vandier, Manuel d'archéologie égyptienne, Tome II, Les grandes époques - L'architecture religieuse et civile, Paris 1955, p. 582-594.