Discuter:Tekno
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Cet article est une vaste plaisanterie, la tekno est de la techno, c'est juste que les freeparteux ont toujours tenus à mettre des "k" partout car ça fait plus rebelz. De plus comment différencier le "commercial" du "non commercial". Que je saches, des disques "tekno" comme vous dites, sont également disponibles à la vente depuis le début des free parties, ils n'étaient pas donné gratuitement au public et au DJ's que je sache. Enfin pour les fêtes elles mêmes, si effectivement nombre d'entre elles étaient accesibles gratuitement au public, on ne peut toutefois pas dire que les organisateurs ne faisaient aucune business dans leur soirées. Des disques à la vente bien sûr, mais aussi du merchandising (T-Shirts, Sweat Shirts...) et je ne parle pas du business de produits illiites car ça vas faire pousser des hauts cris, mais tous les gens non hypocrites du milieu vous diront que c'est vrai.
Cet article est surtout un bel exemple de réécriture de l'histoire à la sauce free parteuse. l'évocation des origines de la techno et de la rave : des foutaises. le classement des styles "free" : des foutaises. le discours sur la teCHno, musique "commerciale" : des foutaises. Qu'on m'explique en quoi Suburbass serait moins commercial que Drexciya, ça m'intéresserait fortement. Parce qu'il a un kamtar ?
"Le terme tekno désigne la musique électronique présente en free party (aussi appelée teuf en verlan).
Ce terme est apparu au milieu des années 1990.
L'orthographe du mot vise à distinguer la tekno (musique libre, voir copyleft) de la techno (musique commerciale du type discothèque ou radio et soumise aux droits d'auteurs)."
[Il est remarquable de voir comment, dans leur ignorance crasse, les adeptes des free parties ont assimilé la techno, musique fondamentalement libre et créative, à un genre "commercial", sous prétexte que "ça ne tape pas assez" pour accompagner les effets des stupéfiants dont ces ignares se bourrent généralement pour palier à leur absence d'oreille musicale objective. Il est également assez drôle de constater actuellement un regain d'interêt pour la techno dans les free parties, les mêmes fêtards (du moins les survivants) finissant par s'apercevoir avec la maturité que, tout de même, la techno de Detroit, l'acid ou l'electro c'est légèrement plus intéressant musicalement que la tribe pouet pouet et le frenchcore à la Radium (grand anarchiste s'il en est).]
"Ce souci de distinguer la fête libre de la manifestation commerciale est central dans cette musique qui est née dans la contestation des fêtes institutionalisées en Grande-Bretagne (Voir article détaillé rave party). Par la suite dépassé par son propre succès, le mouvement s'est scindé en deux avec d'un côté les rave parties diffusant de la techno et acceptant certaines contraintes administratives et de l'autre les free parties diffusant de la tekno et privilègiant la clandestinité."
[Bel exemple ici de réécriture de l'histoire à la sauce post-Mariani. La rave (à l'époque on ne parlait pas encore de free party) n'est pas apparue dans la contestation, puisque l'acid house et la techno ont commencé par se répandre en Europe depuis des clubs comme l'Hacienda de Manchester où des spots comme Ibiza, qui n'est pas spécialement un haut lieu de la contestation de l'establishment. Bien plutôt, la rave-party est le fruit d'une nécessité tant artistique qu'hédoniste de prolonger la musique et la fête, ce qui devenait difficilement envisageable dans des clubs soumis aux lois thatcheriennes. La rave a rapidement été confrontée aux forces de l'ordre qui la percevaient comme un débordement inacceptable mais elle n'est fondamentalement pas contestataire, trop consciente de son caractère éphémère et utopique pour pouvoir devenir une contestation au quotidien. Notons que les initiateurs du mouvement free party en France, les légendaires Spiral Tribe, n'étaient pas si tranchés que ça en matière de fête commerciale ou "free", puisque l'organisation du premier teknival français n'est que la conséquence de l'annulation d'une rave payante et encadrée à laquelle le mythique sound system devait participer]
"On distingue deux type de performances en musique tekno :
le mix, qui se pratique généralement avec des platines vinyle, on dit alors que l'interprète est un disc jockey, le live act, qui est basé sur l'utilisation de machines paramétrables telles que des échantillonneurs, des synthétiseurs, des processeurs d'effets, etc., l'artiste étant alors appelé liver. La tekno est absente des grands réseaux habituels de distribution (majors, médias) et a su mettre en place son propre réseau alternatif de distribution et de diffusion notamment en utilisant les nouveaux moyens de communications comme internet.
Quelques sous-genres sont répertoriés :
Tribe Acid Acidcore Hardcore Hardtek Speedcore "
[le petit descriptif des sous-genres ci-dessus est parfaitement grotesque. je laisse aux freeparteux la glorieuse paternité de la tribe et de la hardtek, genre de hard techno cheap. pour le reste, ces différents styles ont toujours été joués indifféremment dans les fêtes "free" ou "commerciales" un peu partout en Europe, et ne sont absolument pas l'apanage du mouvement free. Sachant que l'acid est un style apparu dans les années 80 dans les milieux afro-gays de Chicago, il est même particulièrement grotesque de le voir figurer au rang des propriétés de ceux que l'ensemble de la scène techno a affublés du sobriquet de "petit pois" en raison de leur affection pour la couleur kaki et les tenues et ambiances paramilitaires. Pour en finir avec cet article, il suffit de dire que la distinction entre techno et tekno est parfaitement factice et ne repose que sur des à priori idéologiques. le même disque glisserait même de l'une à l'autre catégorie selon qu'il serait joué en club ou en free party, ce qui se produit tout de même en plus en plus souvent, d'une part parce que la "free" s'est largement commercialisée et que ses artistes se produisent désormais dans des espaces institutionnels, et d'autre part parce qu'heureusement comme on l'a vu plus haut, une large frange du mouvement free revient à une diversité musicale incluant des styles comme l'electro, la techno, le breakbeat, voire la house (longtemps décriée dans ces milieux comme "commerciale" et "musique de pédés" (sic). On conclura ce petit rectificatif par cette constatation simple : les critères politiques ne s'appliquent pas à la musique. Il n'existe que deux sorte de musique : la bonne et la mauvaise, quel que soit le lieu où on l'écoute, dans une clairière, sur un aérodrome ou dans un club. Toute autre considération n'a plus rien à voir avec la musique, et il serait dangereux de vouloir l'y enfermer : ce serait l'apauvrir et la châtrer, à l'image de la tribe produite au kilomètre dans la première moitié de cette décennie, dont le seul but était d'accompagner le délire de teenagers défoncés en goguette. la TECHNO mérite mieux que ça.A vrai dire, la free party méritait sans doute mieux aussi.]
Un des membres de Drexciya (James Stinson, RIP) était routier de profession alors que Suburbass se déplaçait en voiture pour venir jouer son live en soirée ;)
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Il y a une méthode simple pour transformer de la techno en tekno : il suffit de jouer un vilain disque de techno capitaliste en 45t, et il perd instantanément tous ses ions négatifs et commerciaux pour devenir un authentique disque de bonne tekno 100% alternative ! Les dj's de free l'ont compris dès la fin des 90's : c'est fou ce qu'on arrive à faire avec une platine vinyle !!!
Et alors pour toi par exemple, la compile "sound of free party", c'est plutôt de la techno ou de la tekno ? (pour moi c'est de la merde, mais tous l'égout sont dans la nature...)
mais virez donc cet article nauséabond svp !!! ça ne mérite pas de figurer dans une encyclopédie ça a été écrit par un idiot qui n'a certainement pas de reelle culture musicale sinon jamais il n'aurait étalé un tel monceau de conneries
puis j'ai ma petite idée sur l'auteur de cet article (personnage opportuniste se goinfrant sur le dos d'une scene à laquelle il ne comprend rien) cet article est un peu un pretexte pour faire de la pub pour son site qui est donné dans "liens externes"
bref cela ne mérite pas de figurer sur wikipedia
Cet article est une farce ordurière et je suis d'accord avec la plupart des commentaires ici présent. A effacer ____________________________________________________________________________________________________ By jay :
Je suis partisan de la free et j'ai tendance à avoir la "k" manie qui m'amène à écrire techno : tekno mais il est inutile que ce terme rentre dans une quelquonque catégorie de wikipedia car inexistant et en double avec le terme techno. J'adhère à plusieurs idées free, mais il faut savoir que la free est presque morte, quand comme dit plus haut les artistes initiateur de se mouvement n'hésitent pas à aller jouer en club et sortent un dvd juste avant les fêtes de noel !! y a pour moi comme un contre sens avec l'esprit free.
Une suppression de cet article ne dérangerai pas grand monde !
