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[modifier] Description

Rotative Timson ZMR à l'imprimerie Jouve (Mayenne).

[modifier] Légende

Rotative.

Marinoni, Hippolyte-Auguste (1823-1904) créateur de la rotative moderne

Mécanicien et inventeur français, constructeur de presses rotatives et de matériels d’imprimerie et patron de presse (Paris, 8 septembre 1823 – Paris, 7 janvier 1904).

UN MÉCANICIEN ET UN INVENTEUR SURDOUÉ

Fils d’Ange-Joseph Marinoni (1786-1830), dragon italien de l’armée napoléonienne devenu brigadier à cheval de la Gendarmerie royale à Paris, Hippolyte-Auguste Marinoni, orphelin de bonne heure, est placé en apprentissage dans la capitale à l’âge de douze ans. Dès octobre 1837, il obtient un brevet de tourneur-mécanicien. Tour à tour serrurier, tourneur mais aussi fondeur de caractères, compositeur, margeur voire conducteur puis mécanicien, il est amené à fabriquer des composteurs que son patron l’envoie vendre chez les imprimeurs. Attiré par la fabrication de matériels d’imprimerie, il entre en 1838 chez le constructeur de machines typographiques Pierre-Alexandre Gaveaux (1782-1844). C’est alors que, choqué de voir toutes les presses de France importées d’outre-Manche, y compris à l’Imprimerie royale, il se met au défi de fabriquer un jour des « machines à imprimer » que même l’Angleterre sera obligée de lui acheter. En attendant, la route est longue : le jeune mécanicien doit prendre des cours au Conservatoire national des arts et métiers pour réparer les lacunes de sa brève instruction. Inventif, observateur et travailleur, il est bientôt remarqué par son patron, Alexandre-Yves Gaveaux (1814-1885), qui a succédé à son père, et devient l’un des contremaîtres de l’entreprise. Chargé de contrôler le fonctionnement des « presses mécaniques » dans les imprimeries travaillant pour la presse quotidienne, il fait la connaissance d’Émile de Girardin (1806-1881), patron pionnier de La Presse, qui cherche alors à développer la capacité de tirage de son périodique et va s’attacher les services du jeune mécanicien. C’est pour Girardin que Marinoni met au point, en collaboration avec son patron Gaveaux, la première presse française à retiration dite « à réaction » à quatre cylindres (1847), pour laquelle il obtient un brevet et qui, dès 1848, équipe l’imprimerie de La Presse en lui permettant d’atteindre un tirage de 5 500 exemplaires / heure. L’année suivante, aidé par Girardin, Marinoni s’établit à son compte en association avec le mécanicien Charles-Hyacinthe-Joseph Baillet. En 1849 encore, pour la nouvelle machine à imprimer qu’ils font breveter, tous deux sont récompensés par une médaille de bronze à l’exposition industrielle de Paris. En janvier de l’année suivante, Hippolyte Marinoni et Charles Baillet obtiennent un brevet pour une machine à plier les journaux qui révolutionne aussi la production des périodiques. L’autre invention fondamentale du XIXe siècle, sur laquelle réfléchi l’anglais William Nicholson dès 1790, concerne « la technologie du cylindre et celle de l’intégration fonctionnelle de la machine avec son environnement » (F. Barbier). Le 17 février 1850 et le 26 juin 1851 Marinoni participe aux premiers essais concluants de la rotative à bobine et à clichés cylindriques de Jacob Worms. C’est une première mondiale : sont alors utilisés des clichés cylindriques du journal La Presse pour un tirage de 10 000 exemplaires. Mais la législation du timbre, un marché qui n’est pas encore prêt, ainsi que les dettes de Worms interrompent la mise au point de cette rotative. Les essais seront repris et développés par l’imprimeur Nicolas Serrière père, et surtout par Marinoni quinze ans plus tard. À partir de 1850, Marinoni continue ses recherches pour le perfectionnement des presses au sein d’une nouvelle association, formée en mars 1851 avec Jean-Marie Chevalier et Jean-Frédéric-Eugène Bourlier. Tous trois font breveter le 25 octobre 1850 un nouveau système de va-et-vient appliqué aux presses typographiques qui recevra une médaille d’argent à l’exposition industrielle de Besançon (1850) puis, en 1851, ils mettent au point l’Universelle, nouveau modèle de presse récompensé par une médaille de première classe à l’Exposition universelle de Paris de 1855. En 1857, avec le seul Bourlier, Marinoni sort encore de nouveaux modèles de presses, notamment l’Indispensable, distingué par une médaille d’argent à l’exposition industrielle de Dijon (1858). De 1859 à 1861, ayant dissous sa société, Marinoni réoriente un temps ses recherches : avec le mécanicien Richard Lenoir, il se lance dans la fabrication du moteur à air dilaté par la combustion des gaz au moyen de l’électricité, en association avec le fabricant Louis Julien et l’entrepreneur Auguste Lévêque. Malgré le succès du moteur mis au point (qui sera honoré par une médaille d’argent à l’exposition de Metz en 1861), l’innovation vient trop tôt et Marinoni, en faillite, doit renoncer à la développer. En 1862, après avoir remonté une société avec François-Noël Chaudré, Marinoni revient à l’univers de la presse. Il révolutionne d’abord la composition typographique en substituant aux traditionnels coins en bois des coins mécaniques en métal — innovation immédiatement adoptée partout — puis, en 1864, il présente avec Chaudré un nouveau modèle de machine à vapeur à « moteur inexplosible » pour l’alimentation des presses mécaniques. En 1865, explorant cette fois la voie de la mécanisation de la lithographie, Marinoni met au point une presse « typo-lithographique » dont le principe aboutira plus tard au procédé de la zincographie avec sa presse la Diligente en 1883, et, par-delà, à la Roto-calco, puis à l’offset.

LE TEMPS DE LA ROTATIVE ET LA CONSÉCRATION

Séparé de Chaudré mais disposant des vastes locaux de la société, au 67 rue de Vaugirard, Marinoni à la demande de Girardin pour le journal La liberté, s’inspirant des travaux de William Nicholson et de Jacob Worms, dépose successivement deux brevets importants, le 24 avril 1866 pour une presse rotative cylindrique à retiration, et le 10 mai 1867 pour une machine typographique cylindrique à six margeurs, laquelle permet, par un jeu de cordons et de guides, de conduire les feuilles à imprimer des cylindres de marge aux cylindres imprimeurs. Millaud en commanda quatre pour Le Petit Journal. Ces innovations vont ouvrir la voie à l’utilisation et à la fabrication industrielle de la rotative avec cliché cylindrique (stéréotype) en France, en s’opposant tout en perfectionnant les prototypes de presses géantes de l’Américain Richard Hoe* et de l’Anglais Augustus Applegath* à cylindre polygonal vertical ou horizontal et caractères mobiles, tout en réduisant leur encombrement. En 1867, lors de l’Exposition universelle, Hippolyte Marinoni et son concurrent Jules Derriey, le mécanicien de Hoe en France, présentent ainsi, chacun de son côté, les premiers modèles de rotatives françaises.

Mais Marinoni va plus loin : le 3 juillet 1872, il dépose un brevet d’invention pour un système de presse cylindrique à retiration fonctionnant avec du papier continu et muni de receveurs mécaniques. En novembre 1872 Marinoni livre toujours au journal La Liberté une des première « machine cylindrique à papier continu » de France. Il est en concurrence avec Jules Derriey qui au même moment en construit une pour le journal Le Petit Moniteur de Paul Dalloz. Marinoni en installe dans le même temps cinq pour le Petit Journal. Ce faisant, l’inventeur français permet au principe de la rotative par cliché et papier en continu — un principe retenu par l’ensemble des constructeurs à travers le monde et qui est toujours valable aujourd’hui encore — d’accéder enfin à un stade industriel et à son entreprise d’acquérir une notoriété internationale. À partir de 1878, il concurrence les Anglo-Saxons en construisant ses propres presses à pédale, sur un principe venu d’Amérique en 1862, l’Utile et l’Active — ces machines s’opposent aux presses à platine classiques. Grâce à Marinoni, et conformément au rêve patriotique de son adolescence, la France vient alors occuper le premier rang mondial dans le domaine de la construction des machines typographiques.

Le temps est enfin venu de la reconnaissance publique : fait successivement chevalier (1875), officier (1884) puis commandeur (1886) de la Légion d’honneur, Marinoni reçoit à travers le monde de multiples récompenses et titres honorifiques pour ses travaux. En 1877, il transfère atelier et siège social à un emplacement beaucoup plus vaste — celui de l’actuelle faculté de droit d’Assas (92-96, rue d’Assas) —, dont la superficie sera doublée en 1881. Jusqu’en 1885, l’inventeur ne cesse d’œuvrer à l’amélioration du processus de production des imprimeries et de protéger ses perfectionnements par des brevets. Il transmet ensuite la direction de l’entreprise à l’ingénieur centralien Jules Michaud (1840-1921), mari de sa fille George-Héloïse Marinoni (1856 - ?), et à son fils Eugène-Albert Marinoni (23 octobre 1851 – 1912). Jules Michaud, auteur de nombreux perfectionnements et innovations (notamment sur les presses à pédale et les rotatives), sera un pionnier de l’énergie solaire, qu’il associera à une machine à vapeur et à l’Utile de Marinoni en 1889, et de l’impression en couleurs des périodiques avec sa « rotative chromo-typographique » (1890, supplément illustré du Petit Journal). Il fonde en 1899 le syndicat des constructeurs de machines d’imprimerie ( actuel SCIPAG-EMBALCO) .

LE « NAPOLÉON DE LA PRESSE » ET SON PETIT JOURNAL

Avec son autre gendre, Marie-Désiré Cassigneul (1835-1906), ancien typographe breveté imprimeur en 1867 et époux de sa première fille Laure-Eugénie (1845-1893), Hippolyte Marinoni continue de veiller sur le groupe de presse qu’il a constitué autour du Petit Journal fondé par Moïse Millaud. Dans un premier temps, en 1869, il lance Le Bon Journal, puis en 1871, L’Espérance et La Revanche. En 1873, avec Émile de Girardin et deux autres associés, il crée une société anonyme d’exploitation pour gérer Le Petit Journal en situation de liquidation financière. Les associés apportent avec eux le Journal illustré qui sera intégré au groupe du Petit Journal et, en 1874, Marinoni rachète l’imprimerie du Figaro, rue Drouot, où il va installer ses rotatives. En 1882, après la mort de Girardin et de l’un de ses associés, Marinoni est porté à la présidence de la société d’exploitation du Petit Journal puis, à la disparition de cette société, il devient président du conseil d’administration et directeur politique du Petit Journal. En 1884 il fournit les machines pour les nouveaux travaux d’aménagement du journal Le Temps. Le groupe de presse que Marinoni a constitué est alors le plus important au monde. Le tirage du Petit Journal est de 900 000 exemplaires en 1886 puis d’un million en 1890 (production de 40 000 unités à l’heure, 250 employés à l’administration et à l’imprimerie, 150 porteurs et plieuses, 3 000 vendeurs à Paris et 8 000 correspondants et vendeurs en province) — et Michaud et Cassigneul vont contribuer encore à le développer. Autour du Petit Journal sont regroupés de nouveaux titres dont certains, comme L’Agriculture moderne et La Mode du Petit Journal, prolongent son influence. Marinoni compte aussi de nombreuses participations financières dans différents journaux dont Le Jour. Suivant de près la politique à la fois rédactionnelle, industrielle et financière de ses journaux, ce « Napoléon de la presse », comme l’ont surnommé les journalistes américains en 1890, va peser de tout son poids pour faire du Petit Journal un média à la fois de masse et de progrès en s’efforçant d’intéresser le plus grand nombre aux questions d’intérêt général, aux enjeux de la Revanche et aux valeurs de la IIIe République. Ses initiatives personnelles sont nombreuses et témoignent de son souci de la solidarité (caisse des victimes du devoir, caisse de secours gérée par le syndicat de la presse parisienne, caisse du secours immédiat gérée par Le Petit Journal…) et surtout de l’innovation et du progrès sous toutes ses formes : en 1891, première course cycliste (Paris-Brest-Paris), préfiguration du Tour de France ; en 1894, première course de voitures à vapeur et à pétrole, préfiguration de nos actuelles voitures à essence, entre Paris et Rouen puis, en 1895, entre Paris et Bordeaux ; participation la même année à la création de l’Automobile Club de France et à l’organisation de concours de romans-feuilletons ; en 1896, bourses de voyages pour étudiants pauvres et méritants ; entre 1894 et 1900, soutien à diverses recherches et inventions (bicyclettes à pétrole, machines volantes, hydrographie sous-marine, machine à écrire, télégraphie sans fil, téléphone, etc.) et devient un des administrateurs de l’Opéra Garnier. Parallèlement, le patron de presse continue à explorer en personne plusieurs pistes d’innovation. Fondateur en 1891 de la ville de Beaulieu-sur-Mer, près de Nice, dont il est le premier maire, il y expérimente aussi un bateau à propulsion mécanique utilisant l’électricité qu’il a lui-même construit.

L’AFFAIRE DREYFUS : APOGÉE ET DIFFICULTÉS

Conscient de l’ascendant de son groupe de presse, Hippolyte Marinoni s’engage, lors de l’affaire Dreyfus, avec la ferme intention de couvrir l’armée, pilier du régime, et de défendre la raison d’État. À partir de 1898, c’est donc avec sa pleine approbation que le rédacteur en chef du Petit Journal, Ernest Judet, se fait dans ses colonnes le champion de l’antidreyfusisme, au besoin en défendant des thèses radicalement antisémites. Les 23 et 25 mai 1898, deux articles de Judet, « Zola père et fils » et « Zola le récidiviste », proposent une biographie diffamatoire de l’auteur de « J’accuse » visant à discréditer définitivement le camp des dreyfusards. Un procès s’ensuit à l’issue duquel Judet et Le Petit Journal sont condamnés à une amende et aux dommages et intérêts. Mais la bataille ne s’arrête pas là. Judet décide à son tour de poursuivre Émile Zola pour usage de faux à l’occasion de la publication de trois articles du romancier consacrés à son père François Zola dans L’Aurore (janvier 1900). Ni Zola, acquitté un peu plus tard mais décédé en septembre 1902, ni Marinoni, emporté en janvier 1904 par la tuberculose, ne verront la réhabilitation du capitaine Dreyfus en juillet 1906. Entre-temps, malgré les remous de l’Affaire et les positions indéfendables soutenues par Judet et la direction du quotidien, Le Petit Journal a pu continuer sa progression : tirage moyen dépassant le million d’exemplaires, bénéfices avoisinant les 400 000 francs par an jusqu’en 1900, construction en 1901 d’une nouvelle imprimerie — la plus grande au monde, avec 14 nouvelles rotatives Marinoni — sur les terrains de la cité Cadet voisine de la rue Lafayette. Pourtant, à partir de cette même année 1901, le quotidien commence à voir reculer ses bénéfices et à perdre du terrain face à la concurrence des journaux à 5 centimes et du Petit Parisien, plus modéré politiquement et dont le tirage commence à dépasser celui du Petit Journal. Malgré ces difficultés, l’organe phare du groupe de presse de Marinoni lui survivra 40 ans, pour ne disparaître qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, après être passé par les mains du colonel de La Rocque.

MARINONI APRÈS MARINONI

Dans l’intervalle, en 1921, la Société des anciens établissements Marinoni (rebaptisée en 1923 Marinoni, Machines et matériel pour l’imprimerie et les industries annexes) absorbe les ateliers Voirin, fondés par Henri Voirin (1827-1887), inventeur et constructeur de presses lui aussi, et établis par son héritier Jules Voirin à Montataire et à Thiverny (Oise) en 1893. La société issue de cette fusion absorbe en 1922 la société MIMO (Matériel d’imprimerie et machines-outils) puis les établissements Alauzet et Derriey en 1923, tout en restant à la pointe de la technique. En 1950 y est mise au point, pour le Reader’s Digest, la première des machines offset multicolores en bobines au monde. La société Marinoni vers 1962 est l’agent en France de la firme Intertype Corporation, de Brooklyn, une branche de la société américaine Harris. La firme américaine Harris-Intertype Corporation, de Cleveland, décide de signer un accord d’assistance technique et accepte de prendre une participation en 1963 dans les sociétés françaises Marinoni et Édouard-Lambert afin de s’implanter sur le marché européen mais aussi d’ouvrir les produits de ces deux sociétés françaises au marché américain. En février 1965, la société Marinoni absorbe les établissements Édouard-Lambert basés à La Plaine-Saint-Denis. Les événements de mai-juin 1968, avec l’arrêt pendant trois semaines de l’activité de l’usine de Montataire et la disparition des imprimeries Paul Dupont, entraînent quelques difficultés financières qui seront prises en charge par la société Harris-Intertype. Le délégué de celle-ci, Théodore Niggli, nommé directeur général en 1970, s’attache à restructurer la société Marinoni. Entre 1970 et 1972 il demande à Jean Gaillochet, président-directeur général de transférer le siège social et tous les services de la société Marinoni de Paris à Montataire. Les locaux de l’entreprise Édouard-Lambert à La Plaine-Saint-Denis sont vendus au journal Le Monde. En 1977, T. Niggli succède à J. Gaillochet en qualité de président-directeur général et facilite l’absorption totale de la société Marinoni par la société Harris, rebaptisée en 1982 Harris-Marinoni SA. Mais dès 1983 le groupe Harris-Intertype vend la branche imprimerie à Clayton & Dubilliers de New York. La nouvelle société ainsi créée porte le nom de Harris Graphics Corporation (siège social à Dover, New Hampshire). En 1986 AM-International (États-Unis) prend le contrôle de Harris Graphics et, en 1987, T. Niggli devient le président de Harris Graphics USA et Europe pour le secteur de la rotative. Confronté en 1988 à une tentative de rachat par un groupe japonais, il incite le groupe allemand Heidelberg Druckmaschinen AG à racheter à AM-International son activité rotative, la société Harris Graphics Corporation. À la faveur de cet achat, Heidelberg Harris SA accède à partir de 1991 au rang de premier constructeur mondial de machines à imprimer. Heidelberg Web Press, à partir de 1995, puis Heidelberg Web Systems, depuis 1999, est toujours installée sur le site historique de Montataire ; elle a déposé en juillet 2003 les archives des établissements Marinoni-Voirin, classées et inventoriées depuis peu, au musée de l’Imprimerie de Lyon.

Éric Le Ray. Ph.D & Jean-Dominique Mellot. Ph.D

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Photographie effectuée par ©éréales Kille® - 27 mai 2004

[modifier] Description technique

Photographie prise avec un appareil numérique HP Photosmart R707 5,1 MPx. VGA, f/2,9, 1/121 s, flash 1000 bcps, ISO 119

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César Alexanian

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actuel29 mai 2004 à 10:49640×480 (122 Kio)Céréales Killer (Discuter | Contributions) (Rotative (imprimerie))

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