Rap ivoirien

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Le rap ivoirien,bien qu'ayant connu un succès capital dans la fin des annees 80 et durant les annees 90,n'est plus aujourd'hui considéré comme une musique populaire en côte d'ivoire, mais plutot comme une musique de riche. Ce qui explique son declin dans le coeur des melomanes ivoiriens,qui estiment que les textes de la plupart des rappeurs ivoiriens n'expriment pas de manière concrete le quotidien et le vecu des jeunes ivoiriens,mais se rapprochent plus ou moins du style de vie et de l'expression occidentale.

Cela dit,le hip hop ivoirien a toujours son public,même s'il faut reconnaitre que celui si s'est considérablement reduit au fil des années. Si Almighty,Stezo et M.A.M etaient les portes-flambeaux du genre musical auparavant,la nouvelle génération du rap ivoirien est representée par Rudy 225,Tour 2 Garde ou encore Toure Mederic en sont un parfait exemple. Il faut cependant noter l'arrivée du groupe Garba 50,sur la scène du rap ivoirien en 2006. Ce groupe un peu plus populaire en Cote d'Ivoire,exprime justement les réalites actuelles de la jeunesse ivoiriens sur un rythme purement hip hop,avec un utilisation recurrente du nouchi. Ou encore,celle de Rageman dont le titre Kpatason a eté un veritable succès national.


Sommaire

[modifier] Historique rapide du rap en Côte d'Ivoire

Le rap ivoirien, est né lors de l'été 1985, alors qu'un étudiant ivoirien en France, Yves Zogbo Junior, revient au pays. Ce dernier lance l'émission Zim Zim Flash sur la RTI. Le premier maxi de rap ivoirien nait lors de ce même été, c'est le groupe ACB (Abidjan City Breaker) qui sort cet enregistrement.


[modifier] Les années 90

Le Hip Hop des années 90 a pris une importance majeure sur la scene musicale ivoirienne vers la fin des annees 90 avec en tetes d'affiche Almighty et son Ministère Authentik et Stezo de la Flotte Imperiale. Le Rap Dogba initie par Angelo Dogba et les Dogbas,a egalement connu un certain succes,grace au somptueux melange de rythmes occidentaux et de rythmes traditionels africains.

[modifier] Maximum

[modifier] Références