Discuter:Pascal Salin

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Petite correction suite au "coup de gueule" poussé par un gamin visiblement trop attardé pour comprendre que Wikipedia est une encyclopédie et non un forum de discussion. DMT

Merci au gamin de 17 ans de ne pas qualifier de vandalisme des apports factuels. Une contradiction majeure des propos de Pascal Salin tient à son statut de fonctionnaire. Les ressources de l'Etat étant des revenus volées aux individus, le salaire de Pascal Salin est constitué de revenus volés aux individus.

Si tu trouves l'article sur Pascal Salin non neutre, tu peux l'améliorer. Mais tu ne peux pas modifier la section Citations avec tes propres commentaires. Pour information, je suis plus vieux que ce gamin que tu as tenté d'influencer et je fais partie de la communauté universitaire ([1]).~Pyb 20 nov 2004 à 16:14 (CET)
[Coup de gueule on]
Je pense très sincèrement que l'âge, même si aux extrêmes on peut raisonnablement être objectif, est un argument tout à fait lâche et tout à fait méprisable. Un gamin de 17 ans peut fondamentalement tout comprendre dans les domaines des sciences et de l'économie, et même mieux que quelqu'un de plus agé, souvent moins ouvert et plus spécialisé. Trouvez moi une notion qu'un gamin de 17 ans ne puisse pas comprendre !
Vous pouvez vous défendre, de penser que ce qu'a dit tel ou tel contributeur est incorrect, et de lui expliquer, en apportant des preuves de ce que vous dites.
Par contre, insultez quelqu'un en lui disant en somme « Me dérange pas petit, je fais des choses sérieuses, tu comprendra quand tu sera plus tard, va jouer ailleurs » est tout à fait méprisable. Utiliser les informations que les gens communiquent à la communauté contre eux, c'est bas.
Et s'il n'avais pas eu 17 ans ? Et s'il mentait sur son âge ? Sa critique aurait-elle été plus crédible ? Vous semblez vous intéresser moins au fond de ce qui est dit, qu'à la personne qui le dit (c'est tellement plus facile). Il y a ceux qui savent, et les autres. Drôle de manière de voir le monde, dans les milieux universitaires (puisque vous l'invoquez)... pas mieux que le manichéisme d'Hollywood.
Au fait, qui êtes-vous ? Quel âge avez-vous ? Pourquoi vous attaquez-vous aux gens de manière anonyme ? Peut-on plus vous faire confiance ? Quelle sont vos compétences ? Vous dites des choses, mais quelles valeurs ont-elles ? Qu'est-ce que ce "NDLR", mi-figue, mi-raisin ?
Il me semble que ce gamin marque au moins un point, il est plus courageux que vous.
[Coup de gueule off]
Ceci étant dit, quel âge me donnez-vous ?
Xillimiandus
Ecrire : [NDLR : Pascal Salin étant fonctionnaire, son salaire est constitué par le vol des revenus des français ] n'est pas faux d'un point de vue libertarien, mais pourra être interprété par les non-libertariens comme un POV. De plus, je ne vois pas ce que ça apporte à l'article. Dilbert 21 déc 2004 à 10:45 (CET)

Note: J'ai effectué le changement car tout a fait objectivement : en France un professeur d'Université est fonctionnaire sauf à appartenir à la catégorie des professeurs, or P. Salin étant docteur en économie et agrégé ès sc. éco, il est statutaire. Indiquer qu'il est fonctionnaire semblait être péjoratif et relever d'un jugement personnel. A noter, Bertrand Lemmenicier, autre libertarien est lui aussi professeur à Paris 9.

En fait Lemennicier est à Paris II.Son caractère délirant fait que l' Administration le tient à l' écart des étudiants. Notons que ce rigolo qui invite les autres à prendre des risques en a pris un dans sa vie; passer de Dauphine à Assas !!!!!

Bertrand Lemennicier n'invite pas ses étudiants à prendre des risques ; il les invite à constater que l'esclavage auquel les vouent la dette "publique" et la retraite par répartition, ainsi que les interdictions de travailler auxquelles les expose la réglementation du travail, ont pour effet de rendre leur vie précaire, et il leur donne les moyens intellectuels de faire face du mieux qu'ils peuvent à cette violence de la caste exploiteuse installée.

Sommaire

[modifier] Avez-vous des renseignements sur le financement de Forces par les industries du tabac?

A' mon avis, la référence au financement de Forces par l'industrie du tabac est réellement POV, et il faut l'éliminer. Il s'agit d'une information 1) qui n'a rien a faire avec la valeur scientifique des thèses de Pascal Salin 2) mais surtout elle devrait être démontrée. En cas échéant, il s'agit tout simplement d'une calomnie (très grave en général, et spécialement dans l'esprit de "neutralité" qui caractérise Wikipédia). Il est tout à fait évident que dans la logique libertarienne il reste parfaitement légitime pour les défenseurs du droit de fumer de demander de l'argent aux industries du tabac, et pour ces dernières de le donner. Mais ce n'est pas le point de vue libertarien qui est en discussion ici...

Il ne s'agit que de trouver une occasion de diffamer, à propos d'un aspect insignifiant du personnage. L'examen de ses comparses montre qu'il s'agit de libéraux-libertariens, qui se sont convaincus, comme c'est vraisemblable, que la campagne sur le tabagisme passif est mensongère, et qui ont trouvé l'occasion de défendre à peu de frais le Droit des fumeurs. Quant à l'accusation de recevoir de l'argent des industries du tabac, si celles-ci sont les cibles innocentes d'une campagne de falsifications visant à les dépouiller, elles ont le Droit de se défendre, et ceux qui les voient comme des victimes ont le devoir de les y aider.
On s'amuse à voir les étatistes employer un argument marxiste pour discréditer ces défenseurs, alors qu'ils sont eux-mêmes le plus souvent des parasites sociaux institutionnels qu'aveugle leur intérêt de classe.


[modifier] Apport de Pascal Salin

Il y a peu de fonctionnaires qui ont le courage de théoriser sur le thème de l'Etat illegitime car financé par un moyen recourant a la violence potentielle induite par l'impot.

[modifier] Les libéraux qui refusent l'argent de l'état se font victimes et complices de l'esclavagisme et de la censure

Le monopole socialiste de l'"éducation nationale" vole l'argent de tout le monde, et distribue le butin de ce vol aux seuls enseignants qu'il a approuvés, et dont la plupart trouvent normal de vivre d'argent volé aux autres par la force. La conséquence en est que l'enseignement de l'économie n'y reflète pas les préférences de la population qui paie cet enseignement, mais en majorité les conceptions esclavagistes-absurdistes d'exploiteurs du peuple qui n'ont pas honte de l'être.

Cette usurpation antidémocratique du pouvoir social place les institutions d'enseignement supérieur privé dans une situation de concurrence déloyale, qui les force à accepter à leur tour l'argent volé au peuple, aux condition fixées par les voleurs, sous peine de devoir réclamer des frais de scolarité insupportables par rapport à ce que paient les étudiants du monopole socialiste : L'impôt verrouille le monopole, et en fait un instrument de censure, d'autant plus efficace qu'on ne le perçoit pas comme tel. Les économistes dont la vocation est d'enseigner ne peuvent donc pas le faire sans recevoir de l'argent volé, et dépendre en outre à ce titre de parasites sociaux destructeurs et aveugles, qui sont hostiles à toute compétence économique parce que la compétence économique les désigne justement pour ce qu'ils sont : des parasites sociaux destructeurs et aveugles.

C'est à cela que sert la prétendue "éducation nationale" : assurer à la caste socialiste exploiteuse une clique de gardes du corps intellectuels, qu'elle paie avec de l'argent volé à ses victimes. Les propagandistes stipendiés du pillage légal y font de moins en moins semblant de respecter le "pluralisme" et la "liberté d'expression" qui servaient jusqu'à présent d'alibi à cette censure de fait. La censure indirecte par l'impôt y est de plus en plus ouverte, et c'est désormais expressément que les syndicalistes s'y opposent, y compris au mépris de la loi, à l'embauche de professeurs d'économie libéraux, par définition les seuls compétents. Quant à ceux qui arrivent malgré tout à passer ce barrage, ils ne demanderaient pas mieux que d'enseigner dans une université honnête, c'est-à-dire privée et concurrentielle. Mais c'est interdit par la police : la police du socialisme au pouvoir — la police qui vole au peuple l'argent nécessaire pour envoyer ses enfants à l'école, la police qui ferme de force les institutions d'enseignement qui subsistent quand elles déplaisent trop à ses maîtres.

L'argent volé dont vivent les universitaires libéraux, ils voudraient bien qu'il ne le soit pas, volé. Mais il l'est, et s'ils le refusaient, ce sont les pires receleurs — ceux qui ne reconnaissent même pas la réalité de ce vol, qui le recevraient à leur place, et pour faire son apologie. Ils ne feraient alors que subventionner les imbéciles, les escrocs et les fous de l'esclavagisme-absurdisme d'état, se faisant à la fois victimes et complices de cette machine de guerre contre le Droit de libre expression qu'est le socialisme au pouvoir, et assurant à leurs propres dépens le triomphe de ses mensonges de propagande. Les contradictions apparentes de l'universitaire libéral ne sont donc que le reflet de l'absurdisme socialiste, et c'est donc à ceux qui, apparemment, le partagent, d'assumer la responsabilité de ces contradictions.

Cet absurdisme socialiste, les économistes libéraux font pour leur part tout ce qu'ils peuvent pour le combattre, même s'ils ne peuvent pas l'éradiquer. Quant à l'argent volé dont ils peuvent vivre, ils sont les seuls qui aient le Droit de le recevoir, parce qu'ils sont les seuls qui dénoncent ce vol, et les seuls qui, s'il était supprimé, pourraient vivre honnêtement de leur enseignement : en tant que libéraux, ils sont par définition les seuls professeurs d'économie qui ne soient pas des charlatans.

[modifier] La diffamation sournoise ne passera pas

Il n'y a aucune honte à défendre les fabricants de tabac, pas plus que les trafiquants de drogue ou les proxénètes, si c'est ce qu'on croit juste ; mais que Pascal Salin le fasse n'est qu'un aspect secondaire de son activité, et le mentionner dans un article qui est à peine sorti de l'ébauche, et comme s'il définissait le personnage, n'est qu'une tentative sournoise de diffamation, de type marxiste. Un tel détail ne sera admissible, dans un article censé être neutre, que si on le présente parmi les nombreuses participations de l'intéressé à diverses conférences et institutions.

Ce détail ne peut nous éclairer que comme la marque de son opposition ouverte aux vérités officielles de l'establishment, en dépit du fait qu'il le fréquente en partie - et qu'il a écrit un livre entier sur la macroéconomie keynésienne où, tout en montrant qu'il la comprenait mieux que ses partisans, il se gardait d'enfoncer dans son coeur le pieu que représente l'exposition par Hazlitt et Rothbard du fait que le prétendu "multiplicateur" keynésien n'est qu'une erreur mathématique grossière, et évidente pour qui se pose seulement la question.

Vérification faite, il semble que cette information ait été apposée par un fanatique anti-tabac, qui ne sait pas distinguer entre des assassinats de masse et une surmortalité induite par la pratique d'un vice [2]. Il est vrai qu'on est en plein politiquement correct et que le politiquement correct, qui ne se gêne pas pour punir, comme s'il s'agissait d'un crime, la vente de produits que les gens choisissent d'acheter, nie en même temps la notion de vice, la responsabilité de quiconque s'y adonne, ainsi que le caractère objectif des raisons pour lesquelles on le qualifie de tel.

Hé, t'insinues pas que je suis marxiste j'espère? :D Au plaisir ;) -Rodrigues- 7 mai 2006 à 16:48 (CEST)

Les marxistes passent leur temps, pour les discréditer, à publier que les libéraux sont payés par des entrepreneurs privés pour faire leur propagande. En réalité, de même que le protectionnisme n'oppose pas les intérêts nationaux aux intérêts étrangers, ni ceux des producteurs à ceux des consommateurs, de même l'étatisme n'oppose pas les intérêts capitalistes à ceux du peuple, mais ceux des puissants exploiteurs aux producteurs innocents. C'est pourquoi toute mention du fait que les libéraux reçoivent de l'argent des entrepreneurs privés mérite le soupçon d'être entachée d'une telle erreur d'interprétation - ou plutôt de cette falsification - marxiste, en plus d'être un argument ad hominem. En fait, on a plutôt affaire ici à un autoritaire anti-tabac spontanément fanatique, qui semble incapable d'imaginer que le discours officiel sur le tabac puisse mentir, et qu'on défende la liberté et la responsabilité des fumeurs. Il n'empêche, on n'est justifié à mentionner ce détail que dans un article plus étoffé, sous peine de fausser la présentation du personnage.