Office deStabilisation
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L'Office deStabilisation du Canton de Fribourg est un organe de recherche, d'information et d'aide à la décision de droit public. Ses fonctions sont la création, la pondération et la dissémination de données fondamentales et urbainement pertinentes dans le but d'améliorer, par le souci de localisation, la conscience quotidienne de A cet effet, l'Office deStabilisation emploie les moyens les plus pointus des sciences physiques contemporaines et mise sur le potentiel synergique des corps de métier techniques et administratifs. De plus, l'Office deStabilisation collabore avec de nombreuses universités à travers l'Europe et même jusqu'en Inde!
[modifier] Histoire
L'Office deStabilisation fut créé en 1801 par Jean de Montenach lui-même, alors maire de Fribourg. Il servait à l'époque d'organe de médiation pour les conflits entre bâtisseurs et citoyens dans une ville en crise et sous domination française. Suite à la reprise du pouvoir par les patriciens lors de la restauration, une nouvelle constitution plus libérale mina insidieusement une partie des responsabilités de l'Office deStabilisation dont la reconnaissance fut fortement mise à mal; séparé du groupement dirigeant, l'Office ne revint sur les devants de la scène qu'après la capitulation de la ville face aux troupes protestantes: lors de la guerre du Sonderbund, il eut pour rôle principal d'estimer les dégâts commis par les boulets vaudois dont l'un frappa la façade du Collège Saint-Michel (Fribourg).
L'organe prit une importance accrue lors de drastiques travaux de rénovation en 1848 où il dut apprécier la pertinence d'un projet de pont sur la Sarine et la variation de sécurité résultant de la démolition d’une partie majeure des murs d'enceinte de la ville. L'Office deStabilisation joua à nouveau un rôle crucial en 1862 lors du raccordement aux chemins de fer fédéraux et de la création du "Bahnhofsquartier", shift important et fructueux (mais temporaire) du centre vulgaire de Fribourg. Malgré cela, l'Office deStabilisation manqua de près la dissolution quelques décennies plus tard, suite à la mort de l’un de ses principaux soutiens, le zoologiste et géologue helvético-américain Louis Agassiz. Politiquement dépourvu, l’Office fut écarté du projet de construction de l'université de Miséricorde. Le Grand Conseil aborda lors de la séance exceptionnelle du 15 avril 1901 la question de sa fermeture, mais heureusement, de nombreuses personnalités suisses prirent sa défense: Elie Ducommun et Jakob Amsler-Laffon prêchèrent son utilité, alors que Ferdinand de Saussure défendait la structuration synchronique et diachronique de l'espace ainsi que les avantages apportés par les recherches d'un tel organe dans cette direction.
L'Office deStabilisation garda donc son mandat et fut réinstauré comme organe décisif de l'administration territoriale fribourgeoise en 1924. Il dut être renforcé en 1940 suite à l'éclatement de la Seconde Guerre mondiale durant laquelle il servit à gérer le flux des réfugiés, les mouvements des troupes dans et hors des frontières cantonales et l'agrégation directe et indirecte d'informations clefs. Après la guerre, alors que les activités de gestion et de monitoring se normalisèrent, proposition fut faite au Grand Conseil de réaménager l'Office. Il s’ensuivit un hiatus technique qui se résorba en 1993 avec l'ouverture définitive de l'Office deStabilisation, restructuré et entièrement repensé, tel que nous le connaissons actuellement.
[modifier] Avenir
Bien que le sort de l'Office deStabilisation ait été incertain par le passé, son avenir est à présent assuré: les projets visionnaires de la nouvelle direction ainsi qu'une réorientation-résultats ont permis la production d'outputs scientifiquement spectaculaires qui ne devraient pas tarder à susciter l'engouement du grand public. Pourtant, l'avancée techno-sociale ne s'arrête pas là. Ses horizons sont larges et l'approche pragmatique, encouragée par l'Office deStabilisation, permettra de nombreuses autres (r)évolutions dans des domaines actuels, de même que de véritables changements paradigmatiques dans d'autres domaines d'application potentiels, tels que la nanotechnologie (et particulièrement la nanochirurgie ), la chimie quantique, le jardinage et la haute finance.
