Discuter:Offre et demande

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

[modifier] Traduction libre

Bien qu'il soit de qualité, l'article anglais est trés lourd. Je propose de s'orienter vers une traduction condensée et moins ennuyeuse que l'article original.--Aliesin 27 mai 2006 à 12:02 (CEST)

[modifier] Pas de sentiment

Je ne vois pas en quoi la définition de l'homo oeconomicus indique que ce dernier n'a pas de sentiment, il maximise sa satisfaction, et prend en compte rationellement ses sentiments. S'il aime les chevaux, il maximisera la satisfaction de son sentiment. Bref, je ne vois pas en quoi le consommateur rationel n'a pas de sentiments.--Aliesin 27 mai 2006 à 21:55 (CEST)

ok pour cette formulation ; en fait, je voulais signifier qu'homo oeconomicus n'est jamais fatigué, irascible, enthousiaste, insensible au cours de la bourse (s'il n'a pas d'action), etc.--Manu (discuter) 27 mai 2006 à 22:15 (CEST)
Il est froid et individualiste, mais une explication convenable est trop longue pour rentrer dans l'article je pense. Alors que dire qu'il a pas de sentiment, c'est prendre les marginalistes pour des cretinos quand même.--Aliesin 27 mai 2006 à 22:47 (CEST)

[modifier] Ajout d'un paragraphe sur "Say" ?

Ne pensez-vous pas qu'un lien vers Jean-Baptiste Say et la loi des débouchés serait judicieux ? Il me semble qu'il est un des premiers (en tant que classique) à parler clairement d'une "loi" de l'offre et de la demande. Pour Say, O=A, dans le sens où, quand un producteur fabrique un objet valorisé, il cherche à s'en débarraser au plus vite pour obtenir sa valeur monétaire. Somme d'argent qui ne sera pas conservée puisque le producteur l'utilisera pour acheter un autre objet. Ainsi quand une offre est crée, elle crée immédiatement sa propre demande. Say a le mérite de voir le principe inhérent à l'économie (O=A), mais il oublie de prendre l'épargne en compte. Cyrflo2000 le 26 novembre 2006 à 22:15 (CET)