Discuter:Linguistique

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À moins que je me trompe, le terme de « prouxisme » ajouté par Anarkus aux entrées de cette page ne renvoie à aucune notion de la linguistique. Si on ne me détrompe pas, j'efface. Vincent 18 sep 2003 à 23:18 (CEST)


Sommaire

[modifier] Linguistique

Cher monsieur qui écrit des articles pour wiki, je voudrais vous préciser, tout gentiment, qu'il est un peu erroné de passer sans concession des sciences du langage à la linguistique, celle-ci n'en étant qu'un hyponyme, une sous-matière... Il y aurait aussi la morphologie, la lexicologie, la sémantique, la phonétique, la phonologie... Et si vous souhaitez un peu d'aide pour traduire des articles en anglais, je suis là ;D

[modifier] un portail !

Il n'y a pas encore de portail linguistique ? Pourquoi ?

Bonjour,

j'aimerais qu'on m'explique pourquoi l'adresse Internet des cours en ligne que j'ai placée de l'université d'Aix en Provence ont été supprimés en toute impunité De même, l'adresse internet d'une association spécialisée sur l'illettrisme. A quoi ça rime!!!!!!!!!!!!!!!!!!J'attends des explications!!!!!!

Un participant écoeuré

[modifier] Histoire des langues, linguistique historique, comparée, diatonique... je ne comprend plus ;)

Je pense qu'un portail pourrait être utile effectivement. J'ai voulu m'intéresser à l'histoire des langues, en commençant par les grands goupes, mais j'ai eu beaucoup de mal à cause des termes utilisés (ils sont bons, mais quand on ne les connaît pas...). J'ai créé une catégorie "histoire des langues", étant donné que ce qui m'intéresse n'est pas l'étude en soit, mais l'histoire que l'on peut en dégager, avec les échanges, les migrations et expansions des grands groupes de langues, puis leur évolution individuelles, etc... J'ai maintenant un doute sur le bienfondé de ma catégorie. La langue (et les langues) a une histoire, c'est certain, mais est-il judicieux de faire une catégorie appelée "histoire des langues" ? Ou alors faut-il l'appeler "linguistique historique" ? A ce sujet, l'article français présente la linguistique historique comme synonyme de linguistique comparée et les articles sont donc confondus. L'article anglais lui, affirme que la linguistique comparée n'est qu'une partie de la linguistique historique, ce qui voudrait dire que le titre français serait mal choisi. Pour résumer, voilà donc deux problèmes : *Est-il judicieux de faire une catégorie nommée "histoire des langues" et peut-être un article retraçant une histoire à l'échelle mondiale, ou alors faut-il inclure ces sujets dans un titre plus proche des notions de linguistiques ? (dans ce cas on peut très bien faire une redirection...) *Faut-il renommer l'article linguistique comparée en linguistique historique ? Merci de m'avoir lu étaler mon ignorance :)Korr 7 novembre 2006 à 15:27 (CET)

[modifier] très comique

j'ai bien aimé le paragraphe "vers une conception plus étroite...". Il devrait y avoir plus d'humour comme ça dans wikipedia ! ha ha ha --Motunono 17 août 2007 à 01:05 (CEST) par contre cela m'étonne que quelqu'un de sérieux et chassant les idées inédites et autres interventions un peu trop personnelles n'ait pas effacé ce paragraphe depuis longtemps. Et merci de vos commentaires...--Motunono (d) 5 mars 2008 à 00:37 (CET)

[modifier] /le/ ou /lε/ (Texte écrit par un locuteur natif du français)

le mot français legs, par exemple, dans lequel le g n'est pas étymologique, est le plus souvent prononcé /lεg/, par influence de la graphie, alors qu'à l'origine on disait /le/  ?


Lorsqu'un linguiste s'intéresse à une langue dont il n'est pas particulièrement familier, il consulte généralement des locuteurs natifs, que l'on appelle des informateurs. Je pense que, même s'il en était particulièrement familier, il lui resterait le devoir de consulter ces locuteurs natifs. Il se pose alors une question : comment reconnaître un locuteur natif ? Je ne sais pas si une méthodologie complètement formelle existe mais il est clair que cette reconnaissance se base sur une enquête "paralinguistique" (je ne sais pas si le terme est adéquat ?) qui vise à déterminer le degré réel d'intimité des informateurs potentiels avec la langue cible. En particulier, l'enquêteur cherchera probablement à déterminer si l'informateur possède aussi d'autres langues, dans quel ordre respectif elles ont été apprises et lesquelles sont le plus employées par lui actuellement, mais ces points ne sont pas les plus importants. L'enquête ne pourra être déterminante que par la connaissance de l'emploi de la langue en question par les personnes qui ont élevé l'informateur, ses parents en général et sur la manière dont eux même ils l'ont apprise.


Dans de nombreux cas, le linguiste finira ainsi par reconnaître des informateurs natifs "vrais" avec des informateurs pseudo-natifs, ces derniers ayant une connaissance pouvant être plus ou moins approfondie de la langue en question, voire tout à fait courante, ayant pu être acquise par un contact familial et/ou social plus ou moins prolongé d'eux mêmes ou de leur ancêtres récents avec les premiers...il est possible aussi que ces informateurs pseudo-natifs puissent eux-même se considérer et se présenter (de bonne fois d'ailleurs) comme des informateurs natifs, ayant une connaissance suffisante de la langue pour suffire à l'enquête.

S'il est clair que les informations provenant des seconds ne seront pas forcément à écarter, il n'en reste pas moins qu'elles auront à être recoupées par une enquête chez les premiers, seuls dépositaires réels de certains traits caractéristiques de la langue.

Ce souci d'authenticité est probablement très clair chez les linguistes qui vont au fond d'une jungle lointaine recueillir une langue dont les derniers locuteurs vivent probablement dans des milieux bilingues ou trilingues mais il l'est peut-être moins chez les linguistes qui étudient les grandes langues européennes. Par exemple Henriette Walter a donné des exemples de prononciation du français chez des informateurs basques (?!?)sur le même plan que ceux des informateurs normands ou angevins. (doucement les basques, ne vous énervez pas, songez seulement à ce que vous diriez si on prenait comme exemple de la prononciation de mots basques MA prononciation !).

Pour illustrer encore ce problème de trouver des informateurs natifs fiables, l'extrait que j'ai fait plus haut d'une digression de l'article sur le mot "leg" montre que certaines personnes, qui ont raison de faire remarquer la prononciation vulgaire déformée de certains mots, ne possèdent pas eux même la prononciation correcte, à moins que ce soit une erreur de leur notation phonétique; voir http://fr.wiktionary.org/wiki/legs

A propos du paragraphe : parole et écriture, avec lequel j'agrée complètement, on devrait peut-être ajouter que cet état de fait n'est pas lumineux pour tout le monde et que de nombreux chercheurs, notamment improvisés, ne comprennent absolument pas la prééminence de l'oral sur l'écrit, quant à l'objet réel de la linguistique. On peut en trouver de nombreux exemples dans les pages linguistiques de Wikipedia, par exemple...

--Motunono (d) 2 mars 2008 à 01:42 (CET)

[modifier] Démarche descriptive, démarche prescriptive

Je suis entièrement d'accord avec la manière dont ce paragraphe aborde le problème, cependant j'aimerais relever une contradiction ou un paradoxe dans cette supposée pratique (celle des linguistes qui prétendent décrire la langue sans juger ce qui est compatible avec les règles), dont je ne sais pas s'il a déjà été pointé ? L'objet d'étude des linguistes est le langage, le langage est représenté par des langues or ces langues sont ELLES-MEMES prescriptives ! Pour commencer, même si un martien ne pourrait pas distinguer disons un locuteur natif du français avec un allemand, par exemple, parlant parfaitement français mais avec un accent dont il ne pourrait se débarrasser, ayant appris la langue à l'âge adulte...eh bien il reste que cette personne EST distinguée comme ne parlant pas absolument le français "comme il faut" par les locuteurs natifs, c'est une des propriétés de toute langue. Même un linguiste martien serait obligé de prendre en compte ce fait, sauf si le dernier locuteur du français était cet allemand... L'idée d'étudier un langage sans tenir compte de ce qui est bon ou pas est donc paradoxale. On le voit bien d'ailleurs si on relis la phrase : "...ceux qui suivent une démarche descriptive vont surtout chercher les origines de ces usages, des règles ou des erreurs qu'ils pourront simplement décrire comme des usages particuliers, voire comprendre que derrière une faute se cache un besoin de rationalisation de la langue..."

On voit que malgré leur démarche descriptive, ils tentent désespérément de trouver une justification aux "erreurs" et aux "fautes" (par exemple en les qualifiant d' "usages particuliers") mais alors comment ont-ils reconnus, en premier abord, que c'était des erreurs ou des fautes ??????--Motunono (d) 5 mars 2008 à 00:36 (CET)

[modifier] Actes d'énonciation

le terme "acte d'énonciation" renvoie à une page supprimée plusieurs fois, et inexistante actuellement. Or, la page énonciation existe et me paraît valable. Pourquoi ne pas limiter le lien à "énonciation", où l'acte d'énonciation est défini ?