Discuter:Léopold II de Belgique

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on a un empereur germanique et grand duc d'Autriche qui fut Léopold II Treanna 14 nov 2003 à 13:03 (CET)

Je ne sais toujours pas si une décision a été prise quant à la dénomination de tous ces monarques? Hémant 14 nov 2003 à 13:09 (CET)

Je crois qu'il faut remettre une partie de la discussion à plat :(Treanna 14 nov 2003 à 13:14 (CET)


Salut R,

Plutôt que de prendre une décision unilatérale, pourrais-tu participer au vote en cours ici et attendre qu'une décision soit prise? Hémant 19 nov 2003 à 00:12 (CET)

J'ai réverté la modification de R, car le "transfert" avait été fait en copiant-collant ce qui fait perdre l'historique (sacro-saint) de l'article. L aprochaine fois, merci d'utiliser la fonction de déplaceent d'article. -- Looxix
Désolé Hémant, je n'étais pas au courant de l'existence de la discussion. Comme j'ai décidé de traduire l'article de en:, je préférais le faire sur une page avec nom non-ambigu... Je ne referai plus le fasciste :-(
Ca ne t'empêche pas de poursuivre la traduction, mais comme tu le vois, on est à la recherche d'une solution pour nommer toutes ces pages de têtes couronnées. Ton avis est le bienvenu :-) Hémant 19 nov 2003 à 01:15 (CET)

Hochschild réfuté par Stengers dans /cOngo Mythes et réalités/

Je pense que ce n'est pas exact car l'ouvrage de Stengers est antérieur à celui d'H. D'une manière générale, Stengers a tendance justement à ne pas nier les exactions de l'Etat indépendant du Congo tout en les attribuant à un "système". J'ai donné un autre historien qui réfute les accuisations contre L. II dans Histoire de la monarchie belge

Utilisateur: José Fontaine 25/8/6 heure très tardive... 1h19


Sommaire

[modifier] Possibilité d'une modification de cette page

  • Je voudrais averitur d'une révocation possible de l'idée que Stengers remet en cause Hochschild. Mais d'abord je présente quelques citations de son livre Congo. Mythes et réalités.

" À partir de 1891 (...) l’État, entame la récolte de son caoutchouc. Cette récolte (...) sera faite par les indigènes, qui se la voient imposer au titre de l’impôt en travail. Les agents de l’État sont chargés de veiller à ce que le travail se fasse, et chargés de rassembler le caoutchouc récolté. Les instructions envoyées aux agents sont simples, et elles iront sans cesse en se répétant et en s’accentuant: il faut, leur enjoint-on, pousser la “ production ” au maximum ” (p.97). “ Les prestations à exiger des indigènes ” poursuit Jean Stengers “ seront longtemps laissées à leur libre appréciation ” c’est-à-dire l’appréciation de fonctionnaires, payés “ par des primes proportionnelles aux quantités récoltées ”. Maintenant, quels sont les moyens de pression pouvant être utilisés par les “ fonctionnaires ”? Toute une “ gamme ” de moyens de contrainte et de répression : “ faire surveiller les villages par des soldats détachés ”, “ infliger de peines de fouet ”, “ prendre des otages ” et enfin, “ Lorsqu’un village se montre récalcitrant, ils peuvent requérir la force armée pour mener contre lui une expédition punitive. ” (p.98)

Les violences, poursuit Jean Stengers, sont interdites par le Code pénal de l’État indépendant de Léopold II et ceux qui s’en rendent coupables sont traduits devant les tribunaux où beaucoup furent condamnés. Mais plus loin Jean Stengers écrit: “ L’agent en pratique, échappe donc dans la majorité des cas à toute surveillance efficace de la justice ”. D’ailleurs “ L’administration toute entière est tendue vers l’objectif majeur qui lui est assigné, et qui est la récolte du caoutchouc ”. L' État IN?dépendant du Congo est entièrement voué à l’exploitation et d’ailleurs “ l’agent qui a la main un peu lourde sait qu’on ne lui en fera pas grief s’il atteint un bon niveau de production. Une baisse dans la production est la seule chose qui ne se pardonne pas. ” Le travail forcé éloigne des villages des masses énormes d’indigènes de leurs villages y déstabilisant entièrement la vie sociale et économique. Lorsque les villages sont récalcitrants au travail forcé, des “ soldats détachés sur place ” dont Jean Stengers vient de parler “ maltraitaient ou tuaient ”, constate-t-il. Et il poursuit “ On tuait aussi lors des expéditions militaires dirigées contre ces villages ”. Quels villages? Ceux qui étaient “ réfractaires à l’impôt ” (souvenons-nous un travail forcé dont la durée n’est pas réglementée avant 1903 au plus tôt). Ces expéditions étaient nombreuses, “ fréquentes ” pense Jean Stengers. (p.99). mais l’historien nuance: “ Ce tableau fort sombre ne doit cependant pas être appliqué en bloc au Congo de Léopold II. Ce serait là une généralisation grossière. ” (p.100). Citant Casement, Jean Stengers rappelle que ce n’est pas partout ainsi: Casement parle de “ many parts of the country ” (p.100).

Jean Stengers reconnaît le caractère atroce de ces pratiques directement ordonnées par l’ État indépendant du Congo (propriété exclusive de Léopold II roi absolu dans son “ jardin ”). Mais là où l’exploitation est laissée à des sociétés privées (dont cependant l’État-Léopold II encaisse la moitié des bénéfices), c’est ... pire encore: “ L’Abir et l’Anversoise firent des bénéfices inouïs, mais leur concession furent des enfers. Les agents de ces sociétés ne connaissaient qu’une loi: celle du lucre. Leur conduite, dans plus d’un cas, ne différa guère de celles des sentinelles indigènes qu’ils employaient. ”(pp. 100-101: par “ sentinelles ” il faut entendre les soldats placés dans les villages).

L’effet de cette politique selon Groenweghe (téférence à donner), Hochschild, Jules Marchal (référence à donner), fut de diminuer de moitié la population du Congo. De ce chiffre Jean Stengers ne discute pas. Mais il écrit: “ On a cru parfois trouver la cause de cette dépopulation dans les abus dont furent victimes à l’époque de Léopold II. ”. Il le nie de suite, attribuant les morts à la circulation des maladies introduites par les Blancs comme en d’autres endroits qu’ils colonisèrent sur la Planète. Il parle de ces colonisations diverses comme de “ catastrophes ” et il situe ensuite la “ catastrophe ” congolaise: “ la place du Congo, dans le tableau général de ces catastrophes, qui s’échelonnent du XVIe au XXe siècle, est, si l’on voit bien les choses, une place en quelque sorte moyenne. ” (p.190).

Mais il écrit après avoir décrit l’atrocité “ moyenne ” du colonialisme sous Léopold II: “ le Congo, parmi les pays d’Afrique, est un de ceux qui ont sans doute le plus souffert”...


Utilisateur: José Fontaine 25/8/6 23h.

[modifier] Calomnies??? Prouvez le!!!

Les thèses développées par Morel et Casement au tournant du XXè siècle quant à l'esclavage organisé dans la colonie privée du Congo sont publiques et connues. C'est même parce qu'elles ont eu un certain retentissement que les choses ont évolué par le désaississement de la colonie au profit de l'Etat belge.

Alors parler de calomnie à propos d'une lutte courageuse menée par des hommes honnêtes en vue de dénoncer des saigneurs malhonnêtes, mélanger cette action avec d'autres postérieures, c'est proprement dégueulasse. Ce qui est maintenant renseigné dans l'article n'est pas une appréciation, c'est ce qui s'est rééllement passé.

Oui, je suis d'accord, mais qui a parlé de calomnies ?

[modifier] Rep: Calomnies??? Prouvez le!!!

Pour toute réponse, je citerai George Martelli, historien Anglais qui s'est penché sur l'histoire de l'Etat indépendant et du Congo Belge, et auteur de l'ouvrage fort reconnu pour sa neutralité "De Léopold à Lumumba" (ed. france-empire).


"On peut se demander aujourd'hui s'il était vraiment l'homme le plus indiqué pour mener cette enquête. Si l'on ne recherchait qu'un témoin à charge contre l'Etat indépendant, il convenait certainement, puisqu'il était déjà convaincu de sa culpabilité. Il n'y a aucun doute qu'il éprouvait une sympathie passionnée pour les indigènes et une indignation brûlante contre les Belges (...) mais il était de ce genre d'hommes dont les émotions influencent intensément tout ce qu'ils entreprennent et dont on peut rarement attendre de l'objectivité. Un de ceux qui le connut le mieux se montra bien plus sévère. Serjeant Sullivan, le fameux avocat qui défendit Casement lors de son jugement, le décrivit beaucoup plus tard comme un mégalomane, un homme ayant "une estimation fantastique de sa propre importance" et ajouta "Casement aurait dû être un charlatan. Vous auriez cru tout ce qu'il vous racontait. Il ne mentait jamais consciemment. Il avait les instincts d'un gentleman. Il aurait proféré les inventions les plus insensées et, non seulement les aurait crues lui-même, mais vous les aurait fait croire également".

Sa correspondance prouve aussi qu'il souffrait au surplus d'un complexe aigu de persécution. Sur tout sujet qui le tient à coeur ses lettres débordent de haine, non seulement envers l'injustice - ou envers ce que lui considère comme injustice - mais envers quiconque ne partage pas son avis. A tout propos, il se figure être le champion solitaire de ce qui est droit, méconnu, traité avec mesquinerie, objet d'intrigue, trahi. (...)

Le journal qu'il a tenu en 1903, pendant son voyage à travers le Congo, montre que ses deux grands pôles d'intérêt, hormis son travail, étaient l'argent et les dimensions des organes sexuels mâles. Mais même ses préoccupations en ce dernier domaine semblent avoir été plus techniques que sentimentales. On se demande si cet homme fut jamais amoureux ou capable d'une émotion autre que la pitié ou la colère. Admirable en certaines facettes - intelligent, travailleur et très courageux - il était plutôt inhumain et pas très stable.

Même avant sa désignation comme consul à Kinshasa, Casement était déjà convaincu que le Congo était mal gouverné. (...)"



George Martelli continue par la suite et fini par expliquer que le rapport de Casement était bon dans le fond, mais que tout y était exagéré.

Mon but ici n'est pas de défendre Léopold II, mais de détruire certains préjugés tels que "les belges au Congo étaient des bourreaux" et "Roger Casement était un saint qui a sauvé les congolais". cfr:"Alors parler de calomnie à propos d'une lutte courageuse menée par des hommes honnêtes en vue de dénoncer des saigneurs malhonnêtes, mélanger cette action avec d'autres postérieures, c'est proprement dégueulasse. "

Tout n'est pas blanc ou noir... Tout est gris.

--Julek (d) 11 janvier 2008 à 12:32 (CET)

[modifier] texte déplacé de l'article, section:Intérêt en Afrique (05 février 2007)

Parlons peu, parlons bien

L’espace virtuel qu’offre Wikipédia est un couteau à double tranchant, c’est bien connu : chacun a le droit d’y aller de sa petite science, peut modifier n’importe quel document y versé antérieurement et ce, à sa convenance. Pour ne rien dire de ce qu’un lecteur non averti ne manquera pas de s’y fourvoyer, tant nombre d’informations y circulant sont approximatives, voire erronées. Quant au régime léopoldien au Congo, il importe de garder la tête froide, de nous poser des questions demeurées sans suite et d’apporter ainsi quelque éclaircissement nouveau au bavardage des uns et des autres. Je retiendrai ici les critiques, certaines du moins, adressées à l’ouvrage d’Adam Hochschild : Les fantômes de Léopold II (Paris, Belfond, 1998).

Des critiques

Les critiques à Hochschild s’appuient généralement sur Jean Stengers dans Congo, mythes et réalités. On note, entre autres :

1. L’information recueillie dans Au cœur des ténèbres de Conrad (dont texte intégral en français sur http://www.cobelco.org) ne serait pas pertinente, puisque ce dernier auteur s’est rendu au Congo en 1890, donc juste avant la période considérée par Hochschild. Et on ajoute qu’il n’y a par conséquent pas lieu de parler d’holocauste, puisque les exactions sur les populations locales ne couvrent pas tout le Congo. 2. Le nombre de morts congolais serait contestable pour cause de la difficulté à estimer la population congolaise de l’époque. Ne va-t-on pas jusqu’à tirer argument de ce que l’administration belge ait dit n’avoir aucune idée de la population congolaise en 1948, soit après quarante ans de colonisation ? 3. Les mains coupées des Congolais qui ne s’acquittaient pas des quantités de caoutchouc exigées le seraient sur des cadavres. Mieux, la chose aurait eu lieu, de la part des soldats, pour prouver qu’ils n’ont pas revendu les balles ou ne les ont pas utilisées pour chasser...

Quelques réfutations

1. L’information fournie par Conrad remonte à 1890 soit ; mais à cette date, le système léopoldien est déjà à pied d’œuvre au Congo depuis des décennies. En effet, de l’expédition Tuckey en 1816 à la Conférence internationale de géographie de Bruxelles en 1876, en passant par l’arrivée des premiers pères du Saint-Esprit en 1841, ce qui va devenir le régime léopoldien se met tranquillement en place, bien avant la fameuse Conférence de Berlin. Le point d’orgue de cette manœuvre consistant à faire main basse sur la région du bassin du Congo avant la lettre du traité de la Conférence de Berlin sera atteint avec l’expédition Stanley (voir Cornevin, Histoire du Congo des origines préhistoriques à la République Démocratique du Congo). C’est Stanley qui, agissant au nom de Léopold II, s’emploie à la « construction effective des stations et postes, la signature par la force ou par la ruse des traités avec des chefs indigènes, un relevé géographique et ethnographique aussi précis que possible pour la connaissance du pays et des hommes tout au long du fleuve Congo, etc » (voir L. Emongo, Aux sources de la colonisation belge du Congo. Rôle et place des explorateurs, dans http://www.cobelco.org). Lorsque, donc, Conrad arrive au Congo, en 1890, Léopold II y sévit indubitablement et nombre d’écrits des pères spiritains de l’époque attestent des brutalités hors mesure de ses agents auprès de la population indigène. Au demeurant, ce que rapporte Conrad ne date pas de 1890 mais lui a été conté en partie, donc remonte à des années avant son arrivée. 2. L’holocauste : que les exactions léopoldiennes sur les populations indigènes aient été inégalement réparties sur le territoire congolais, est une chose ; qu’elles se soient traduites par un véritable holocauste le long des voies navigables des fleuve et rivières et, singulièrement, dans la région forestière riche en hévéas est indiscutable. Il n’est que de consulter les témoignages des victimes congolaises, recueillis lors de l’enquête ordonnée par le roi en personne en 1904, et d’autres, recueillis lors d’une enquête réalisée par le Centre Aequatoria en 1953 (dont transcription intégrale dans http://www.cobelco.org). On y apprend que des villages entiers étaient vidés de leurs adultes mâles en peu de temps et que ceux qui fuyaient ce régime meurtrier mouraient presque à coup sûr en forêt. Tout comme on apprend, par le documentaire « Le roi blanc, le caoutchouc rouge, la mort noire », que certains villages pouvaient compter jusqu’à 100 hommes adultes mâles tués ou mutilés par les serviteurs de l’État Indépendant du Congo… 3. Le nombre de morts congolais : il est pour le moins frappant que, selon nombre d’auteurs, la population congolaise a diminué de moitié là où sévissait le régime léopoldien. Que l’on parle, à partir de là, de 10 millions de morts ou de mutilés ou davantage, est en soi secondaire. Le fait est que nous sommes en face d’un holocauste ! Témoin : la hargne des Anglais contre le roi des Belges. Certes, les Anglais en voulaient à Léopold II pour des raisons économiques et commerciales ; mais de réclamer, ni plus ni moins, sa pendaison en dit long sur l’énormité du crime ! Par ailleurs, on doit se demander pourquoi Léopold II a fait détruire les archives de son régime au Congo, au moment de la passation du flambeau à la Belgique ? D’autre part, Stengers qui semble faire autorité sur la question des morts congolais souffle le chaud et le froid : s’il reconnaît les atrocités, voire certains chiffres, il récuse néanmoins les causes des décès. Et d’avancer que l’hécatombe serait essentiellement le fait des nouvelles maladies introduites par les Blancs. Demandons-nous : par quel miracle ces maladies nouvelles et si ravageuses ont-elles pu épargner les soldats du régime léopoldien qui, pourtant, vivaient au contact direct avec les Blancs vecteurs ? Comment se fait-il que les différentes expéditions d’exploration n’aient pas décimé les populations rencontrées, du fait des fameuses maladies ? Stengers n’essaye-t-il pas d’appliquer à l’État Indépendant du Congo la « médicine » des colons français sur les indigènes d’Amérique du nord ? Tant d’interrogations jettent, à tout le moins, un doute légitime sur la science de Jean Stengers, du moins sur la question des morts congolais. Le soupçon, dès lors, se fait insistant d’avoir voulu dédouaner le roi des Belges à trop bon compte. Certes, on pourrait lui accorder que le mouvement des travailleurs indigènes et des soldats de la Force publique a contribué à la propagation de la maladie du sommeil par exemple ; toutefois, celle-ci n’est qu’une cause indirecte de la décimation des régions entières du Congo, la cause directe étant le travail forcé, cette autre dimension de l’holocauste congolais sous Léopold II (voir les travaux de Jules Marchal, dont textes intégraux sur http://www.cobelco.org). 4. Les mains coupées : si les images d’archives ne suffisent pas à attester que l’on coupait la main des vivants et non pas seulement des morts, qu’on se réfère aux témoignages des victimes congolaises que j’ai signalés plus haut. Par ailleurs, à qui donc les soldats auraient-ils pu vendre les balles au Congo de Léopold II ? Mais de quelle chasse au fusil parle-ton, puisque la soldatesque léopoldienne vivait aux crochets de la population ?

En conclusion, les insuffisances et approximations provoquées par « l’encyclopédie libre » que se veut Wikipédia exigent plus que de la prudence. Aller aux documents d’histoire qui existent dont, parmi les rares, les témoignages des Congolais sur les atrocités commises par le régime léopoldien, est un impératif scientifique et historique dans cette conjoncture. D’autant plus que nombre de ces témoignages inestimables sur le plan heuristique sont disponibles sur Internet (voir notamment le précieux site plus d’une fois cité : http://www.cobelco.org). La rectitude historique le commande ; la conscience nationale congolaise le réclame et, sans doute, la conscience nationale belge aussi. Sans doute aussi avons-nous le droit d’espérer, d’ores et déjà, la reconnaissance prochaine par la Belgique des crimes contre l’humanité qu’a perpétrés au Congo son roi Léopold II, à l’instar de la reconnaissance par la France du crime contre l’humanité qu’a été la traite négrière.

Signé: Elo

[modifier] Léopold II dictateur au Congo ?

Bonjour, je voudrais savoir si la mention de Léopold II comme dictateur est justifiable ou non sur la page Dictateurs du XXe siècle ? Merci, Papa6 9 mars 2007 à 12:58 (CET)La page a été supprimée, le problème a ainsi été réglé. --Papa6 28 mars 2007 à 01:14 (CEST)