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| Je crois en Marge |
| Épisode n°22 |
Saison 8 |
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Titre original
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In Marge We Trust
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Titre québécois
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Je crois en Marge
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Code de production
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4F18
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1re diffusion aux É.-U.
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27 avril 1997
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1re diffusion en France
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14 février 1998
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Tableau noir
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Gag du canapé
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Il n'y a pas de canapé. Homer met une pièce pour en avoir un mais rien ne se passe. Il tape sur la machine et un canapé tombe du plafond en l'écrasant.
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Scénariste
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Donick Cary
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Réalisateur
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Steve Moore
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| Catégories |
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Guide des épisodes
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| Listes |
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Liste des épisodes des Simpson
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Je crois en Marge (In Marge We Trust) est le 22e épisode de la saison 8 de la série télévisée d'animation Les Simpson.
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Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Pendant la messe, les sermons du révérend Lovejoy endorment toute l'assemblée. De retour à la maison, Homer et les enfants vont jeter le sapin de Noël qui commence à se faire vieux. Pendant ce temps-là, Marge rend visite au révérend et lui suggère de se montrer plus à l'écoute de ses paroissiens. De son côté, à la décharge, Bart trouve un emballage pour un nettoyant japonais qui porte la tête d'Homer. Lovejoy raconte à Marge que lorsqu'il est arrivé à Springfield, il était bien décidé à relever ses manches pour aider son prochain, mais voilà que Ned Flanders a fait irruption dans sa vie et l'a découragé. Il propose alors à Marge de faire du bénévolat et de s'occuper des appels. Cela lui vaut un succès immédiat, tandis que le révérend Timothy Lovejoy sombre dans la déprime...
- Essais nucléaires français
- Jesus is Just Alright des Doobie Brothers.
[modifier] Répliques célèbres
- Lovejoy [raconte à Marge pourquoi il a peu à peu cesser de prêter attention aux appels de ses paroissiens] :
- « Ah ah ah ! Oh Marge, moi aussi j'ai été idéaliste comme vous. C'était au milieu des années 70, je venais de sortir du séminaire. Les sixties étaient déjà loin derrière et une fois encore les gens étaient prêts à se sentir mal à l'aise dans leurs baskets. »
- [Flash-back dans les années 70. Le révérend Lovejoy arrive à son poste à l'Eglise dans une voiture de sport rouge avec une guitare] : « Et j'arrivais à Springfield bien décidé à remonter mes manches pour aider mon prochain. Seulement il y avait un prochain sur lequel je n'avais pas compté. »
- Ned Flanders : « Mon révérend j'ai... j'ai peur qu'une chose terrible soit arrivée. »
- Lovejoy : « Eh bien asseyez-vous et dites-moi tout, mon frère ! Je suis là pour ça. »
- Ned : « On m'a poussé à danser une danse appelée « l'auto-tamponneuse », mais ma hanche a glissé et mes... mes fesses sont entrées en contact avec les... fesses d'un autre jeune homme. »
- Lovejoy : « Je... vois. » [Il continue son histoire] « Les appels ont alors commencé. »
- Ned [appelant tout le temps le révérend chez lui, quand il joue avec son train électrique et même pendant un voyage en France] : « Je crois que je regarde ma femme avec convoitise... J'ai de l'humilité mais je pourrais sûrement tacher d'en avoir plus... Je.. je pense que j'ai avalé un cure-dent. »
- Lovejoy : « À la fin j'ai cessé d'y prêter attention. Par chance, les années 80 étaient là et personne ne s'en est aperçu. »
